Conférence sur la Propriété intellectuelle

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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24
nov.
2001
GNU
Le 30 novembre 2001 est organisé une conférence intitulée "Les enjeux de la Propriété intellectuelle".
La journée sera principalement consacrée à la question des brevets et parmi les intervenants on trouve quelqu'un de Thomson Multimedia qui parle des "protections du logiciel".
Je doute qu'il parle de la GPL.
Les thèmes abordés et avoués sont éloquents :
· Protéger ou publier : mythe ou réalité ?
· Contraintes et avantages pour l'inventeur
· Les critères de brevetabilité
· Lebrevet : source d'information scientifique
· Les modes de protection des logiciels
· Les spécificités du vivant
· Les spécificités de l'Internet

La journée se déroule :
Amphithéâtre de la Maison JeanKuntzmann
110, Rue de la Chimie - 38041 Grenoble Cedex

(Ci joint le fichier complet avec l'invitation indispensable à remplir avant... demain)

Note du modérateur: Ouups... il semblerait que cette information soit passée au travers de notre ... modération. Désolé.
  • # En gros...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    ILs sont réuni pour dire "vive les brevets" donc y compris les brevets logiciels. Si ce n'était que des représentant de grosse boites, on pourrait toujours dire que c'est comme d'habitude, les grosses boites qui veulent garder leur monopole. Mais là, sur l'invitation, on lit :
    « Aujourd’hui, le savoir et surtout la circulation des connaissances sous forme d’information, pourraient jouer un rôle comparable auxcapitaux comme moteur de l’économie. Cette révolution est rendue possible par la nouvelle « révolution industrielle » que représentent les nouvellestechnologies de l’information et de la communication et le passage à la société de l’information. A l’aube du 21ème siècle, ce capitalisme du savoir remet en cause les rapports entre science, technologie et économie et explique pourquoi les questions de propriété intellectuelle et industrielle sont d’une importance capitale »
    Extrait d’une lettre de Roger-Gérard Schwartzenberg, Ministre de la Recherche, préface à la brochure« Le brevet, vecteur de valorisation et de veille »éditée en 2001.
    Autrement dit, il y a au moins un ministre en France favorable aux brevets. Si le ministre de la recherche est favorable au brevet, ça va leur donner une aura certaines auprés de certains hésitants et c'est, je crois, dangereux.
    • [^] # Re: En gros...

      Posté par  . Évalué à 1.

      As tu pense que ce serait interessant que d'y aller plutot que de condamner sans savoir? Ils sont reunis pour dire vive les brevets? Qu'est-ce que t'en sais, ca a meme pas eu lieu.

      Y a un an, il y a eu une mini conference au meme endroit a ce sujet, et on y apprenait des choses interessantes. Bien sur on peut breveter ce que l'on veut (ce que je ne trouve pas normal mais la subtilite vient), cependant, le brevet peut tres bien etre caduque a la premiere plainte car il est incomplet ou non valide (breveter le clic droit est non valide, ce n'est pas un procede nouveau. C'est quelque chose de naturel que le premier golmon venu peut faire. Donc brevetable mais non valide si le gars porte plainte).

      De nombreuses choses ne sont pas brevetables a cause de cette regle. Il convient de lire ce qui est brevetable et de le savoir (oui lire ca prend du temps que d'avoir des idees preconcues).

      Les administrations qui permettent le depot d'un brevet ne peuvent regarder la validite de tous les brevets dans les details: il y en a trop et ca augmenterait le coup de depot d'un brevet.

      Bien sur, on pourrait toujours rester dans l'utopie que rien ne devrait etre brevetable pour pouvoir tout laisser a tout le monde. C'est une issue interessante.

      Cependant, les entreprises pour rendre la R&D rentable ont besoin des brevets pour s'assurer un certain retour sur investissement. Je vois mal une compagnie quelconque investir dans la R&D si c'est juste pour le bien de l'humanite. La R&D coute cher et doit etre rentabilisee. A moins bien sur que - comme cite plus bas - dans notre monde utopiste les chercheurs ne soient pas payes a l'instar des professeurs...
      • [^] # Re: En gros...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        Je confirme, je n'y suis pas allé, et n'irait pas, non par mépris mais parce que je vit loin de Grenoble. Evidement, je ne peux pas dire avec certitude que la GPL y sera trainé dans la boue et les brevets logiciels y seront sanctifié mais:
        1.La journée sera principalement consacrée à la question des brevets et parmi les intervenants on trouve quelqu'un de Thomson Multimedia qui parle des "protections du logiciel".
        Je doute fortement qu'il se prononce contre les brevets logiciels.
        2.Le texte que j'ai cité, copier coller de l'invitation est assez éloquent: le ministre de la recherche est pour les brevets logiciels! Ca me semble quand même lourd de menaces!
        3.Il convient de lire ce qui est brevetable et de le savoir La roue a pu être breveté en Australie, le WYSIWYG est en partie breveté au USA... Ce n'est pas à moi qu'il faut dire qu'il est nécessaire de bien réfléchir avant de breveter. D'ailleurs, comme tu le dit si bien Les administrations qui permettent le depot d'un brevet ne peuvent regarder la validite de tous les brevets dans les details: il y en a trop et ca augmenterait le coup de depot d'un brevet.
        N'est ce pas la meilleure preuve que le systéme de brevet est idiot? D'ailleurs, une petite PME n'auras pas toujours les moyens de se défendre contre une multinationales qui tenteras de lui piquer son brevet.
        4.A moins bien sur que - comme cite plus bas - dans notre monde utopiste les chercheurs ne soient pas payes a l'instar des professeurs...
        Tu as des problémes de comprehension je crois... Il n'est pas question de ne pas payer les profs mais de rendre gratuit le savoir. Un profs n'est pas là pour lire un cours mais pour aider les étudiants à le comprendre. Dans l'IUT où j'ai passé les 2 derniéres années, les cours étaient divisé en cours magistraux et en travaux dirigés. Le CM était destiné à (en gros) une lecture d'un texte préparé à l'avance, tandis que dans les TD, le prof nous aidait à comprendre le cours. Ce qui doit être gratuit ici, c'est le contenu des cours, mais le profs doit être rémunéré pour l'aide à la comprehension, ce qu'aucun livre ou site web ne sait faire actuellement, et je doute que ce soit un jour le cas, le contact humain est indispensable ici.
        • [^] # Re: En gros...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Oui la roue a ete brevetee en Australie, mais le brevet n'en est pas pour autant valable.

          Est-ce que tous les constructeurs de voiture leur reverse quelque chose si ils construisent une voiture? Non.

          Que se passerait il si le porteur du brevet portait plainte sur utilisation de la roue: le brevet etant non valable (ceci est facile a deviner: ce n'est pas un procede. La roue est un objet, non un procede donc le brevet est non valide), il suffit de faire remarquer a l'administration aupres de laquelle le brevet a ete depose et leur apporter un dossier (3 lignes) comme quoi ce brevet est non valide. L'administration se penche sur le probleme et rendra le brevet caduque.
      • [^] # Oui mais ...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        > Bien sur on peut breveter ce que l'on veut (ce
        > que je ne trouve pas normal mais la subtilite
        > vient), cependant, le brevet peut tres bien etre
        > caduque a la premiere plainte car il est
        > incomplet ou non valide

        Le problème c'est que si une grosse boite avec un gros cabinet d'avocats t'attaque à propos d'un brevet débile, t'auras pas forcément les moyens de te défendre même si tu as raison - c'est la situation actuelle aux USA.

        Mais surtout, le fait de laisser breveter des solutions logicielles, même si elles ne sont théoriquement pas valables, justifie les brevets logiciels ("on a 2000000 brevets logiciels enregistrés à l'OEB, vous voyez bien que ça correspond à une réalité qu'il faut accepter"), et ça les grands groupes - à qui ça profite - en sont bien conscients.
        • [^] # Re: Oui mais ...

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          un autre probleme est que les brevets empechent ou ralentit le developpement des medicaments au lieu d'en favoriser l'expension.

          qui n'a pas entendu parler des medicaments generiques contre le sida qui violait les brevets.

          malheureusement je ne suis pas tres au courant,
          mais j'en sais assez pour facilement imaginer que les brevets tues. Indirectement certes, il n'en demeurent pas moins que ce n'est certainement pas l'africain moyen qui est en mesure de s'acheter des condoms et/ou des medicaments pour ralentir le virus du sida. Dois-je rappeler qu'une mort sur 6 en afrique est du au sida?
          • [^] # Re: Oui mais ...

            Posté par  . Évalué à 1.

            Certes, mais s'il n'y avait pasde brevet pour protéger le travail des laboratoires de recherche en garantissant à l'inventeur qu'il pourra exploiter financièrement sa découverte et rembourser son investissement, personne ne chercherait de nouveaux remèdes car ce ne serait pas rentable. Il est très facile d'analyser un médicament pour deviner sa composition chimique.
          • [^] # Re: Oui mais ...

            Posté par  . Évalué à 1.

            Certes les brevets sur les medicaments posent probleme. Mais discutons nous du brevet en general ou du brevet logiciel?

            Pour le brevet en general, il est certaines choses qui devraient etre reglementees: les brevets sur les medicaments sont utilises a outrance par les compagnies de medicaments. Certains medicaments devraient etre "ouverts", c'est ce qui est d'ailleurs en discussion sur la plupart des conferences sur l'afrique. Une legislation nouvelle devrait permettre de diminuer la duree du brevet sur les medicaments qi concernent la vie directe d'une personne. Une certaine limitation devrait aussi etre mise en ce qui concerne les prix des medicaments. On attend cela avec impatience.
            Ces brevets n'empechent pas le developpement des medicaments mais leur utilisation a grenade echelle. C'est pour cette raison que des mesures vont etre prises pour permettre leur acces plus facilement.

            Mais j'ai l'impression d'un egarement... Est-ce que le logiciel va sauver la vie de quelqu'un? Pas a ce que j'en sais pour le moment.
            Il n'existe pas un brevet mais des brevets, ce qui permet de differencier leur domaine d'application. Le brevet logiciel est different du brevet pharmaceutique.
      • [^] # Re: En gros...

        Posté par  . Évalué à 1.

        Cependant, les entreprises pour rendre la R&D rentable ont besoin des brevets pour s'assurer un certain retour sur investissement. Je vois mal une compagnie quelconque investir dans la R&D si c'est juste pour le bien de l'humanite. La R&D coute cher et doit etre rentabilisee. A moins bien sur que - comme cite plus bas - dans notre monde utopiste les chercheurs ne soient pas payes a l'instar des professeurs...
        La recherche, c'est aussi une affaire de collaboration. Quand A trouve une idee, il n'est pas rare que B, C... y pensent et ameliorent l'idee de A. Si le moteur principal de la recherche est effectivement la popriete exclusive (offerte par les brevets) permettant l'exploitation, quel interet auront alors B et C a ameliorer l'idee de A ? En effet, A ayant deja un brevet, B ou C ne pourront pas deposer de brevet pour proteger leurs ameliorations, et n'ont donc aucun interet a ameliorer l'idee de A.
        Conclusion: les brevets peuvent etre un obstacle a l'avancee de la science.

        Il faut certes remunerer les gens qui ont des idees. Le capitalisme s'est averee etre un moyen assez efficace de remunerer les efforts des gens. Faut-il en conclure que les brevets, application de la logique capitaliste aux idees, sont la meilleure solution ? Les idees ne sont pas des biens, et la solution du capitalisme n'est a mon avis pas bonne.
        • [^] # Re: En gros...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Si B ou C ont une amelioration a apporter a l'idee de A, ils peuvent breveter cette amelioration (tant que cette amelioration est un procede innovant et apporte quelque chose a l'idee de A).

          Afin de commercialiser cette nouvelle idee, B ou C doivent cependant a priori payer des droits d'utilisation du produit de A. Ils peuvent aussi vendre ce nouveau brevet a A pour que A ameliore son procede.
          • [^] # Re: En gros...

            Posté par  . Évalué à 1.

            Si B ou C ont une amelioration a apporter a l'idee de A, ils peuvent breveter cette amelioration (tant que cette amelioration est un procede innovant et apporte quelque chose a l'idee de A).
            Le probleme est bien la. L'amelioration en elle meme est souvent une idee deja utilisee dans d'autres domaines. En plus, avant de se lancer dans une eventuelle recherche pour ameliorer, on ne sait pas si l'amelioration sera garantie d'etre brevetable.
        • [^] # Ce qu'est un brevet

          Posté par  . Évalué à 1.

          Excusez moi de rajouter un post alors que j'ai deja repondu mais j'oubliais un point:

          le brevet n'est pas l'application du capitalisme aux idees: on en peut pas breveter une idee. On brevette un procede.

          Si je decouvre que pour transformer l'argent en or il suffit de suivre l'etape A, puis la B et enfin appliquer la C, le brevet que je deposerais concernera cette methode. Sera contenu dans le brevet le detail de la procedure a suivre pour passer de l'argent en or. C'est cette procedure, dans son integralite, qui sera brevetee.

          Bon la ou je suis moins sur, c'est qu'une fois apres avoir deposer le brevet, j'ai un an pour mettre en oeuvre quelque chose pour commercialiser ce que je viens de breveter. Si apres un an, rien n'a ete commercialise, le brevet tombe dans le domaine public. Ce point evite certaines personnes de breveter mais de ne pas se servir d'une decouverte et mettre cete decouverte au service des gens.

          On ne peut pas breveter des idees. Si je me cree un nouveau mode gouvernemental, je ne peux pas le breveter.

          Pour en revenir a notre exemple, si une tierce personne trouve un nouveau procede pour transformer l'argent en or, il peut tres bien l'utiliser et le breveter a son tour. Les memes regles s'appliquent alors.

          J'ai l'impression qu'il y a un certain manque d'information en ce qui concerne le brevet. Je ne suis pas a 100% pour le brevet et le brevet logiciel est a prendre avec des pincettes: comment peut on considerer un logiciel comme un procede innovant? Certains bouts de codes tels que des algorithmes de cryptage ou de compression peuvent etre reconnus comme des procedes. Ce n'est pas le produit fini (le fichier compresse par exemple) qui est brevetable mais le procede qui mene a la creation de ce fichier.

          Apres se pose la grande question de l'innovation: cet algorithme est il innovant? La ca se complique car il faut pouvoir savoir d'ou sort cet algorithme. S'il releve de l'application d'une propriete mathematique, le brevet ne peut etre valide (il y a des clauses, je ne sais plus lesquelles, qui previennent tout depot de brevet lie a de tels resultats).

          Dans le domaine general, le brevet a une certaine utilite et des regles existent pour en eviter l'abus. Meme si le brevet est depose, il peut tres bien etre caduque (mauvaise description du procede, utilisation d'un procede brevete et non licencie, procede non innovant, etc...). C'est a celui qui depose le brevet de faire tres attention a ce qu'il brevette pour que son brevet soit valide.

          Dans le domaine du logiciel, le brevet a peut etre la aussi son utilite: le gars qui trouvera l'algo pour permettre la diffusion de film en qualite DVD sur un 56k ne meriterait il pas de recevoir quelquechose pour le temps passer a rechercher un tel algorithme? (je parle pas de i2bp, d'ailleurs je suis decu de plus avoir de nouvelles, je me marrais bien) Si ce tel veut renoncer a son brevet et le mettre libre, c'est son choix, mais une compagnie qui investi de l'argent dans une telle recherhce aimerait bien s'y retrouver financierement (ou alors a quoi bon investir?).

          L'interet d'une telle conference est d'informer sur ce qu'est un brevet et sur ce que n'est pas un brevet. Une fois qu'on sait comment cela fonctionne alors on peut avoir son opinion.
          • [^] # Re: Ce qu'est un brevet

            Posté par  . Évalué à 1.

            Bonne idee que de moderer en -1 les messages qui cherchent a informer...

            Se boucher la vue pour ne voir que sa version des choses n'apporte rien a un debat et au contraire tant a la desinformation. L'information n'est pas le but originel de ce site? J'ai du me tromper d'URL...
  • # J'aimerais y aller, j'habite à Grenoble

    Posté par  . Évalué à 1.

    Mais ça manque un peu d'informations là. Où sont les coordonnées?
  • # expression == logiciel == gène

    Posté par  . Évalué à 1.

    Aux Etats Unis, une jurisprudence a enfin été obtenue qui place le logiciel dans le champ du Premier Amendement.
    http://www.eff.org/IP/Video/DVDCCA_case/20011101_eff_fap_bunner_pr.(...)
    Le logiciel exprime une pensée. Coup dur contre le DMCA: Congress shall make no law...

    Que sont ces spécificités du vivant ?
    Maintenant on envisage d'intègrer des machines de turing dans les cellules.
    http://www.liberation.fr/quotidien/semaine/20011124samx.html(...)
    Les programmes génétiques seraient ils équivalents à des gènes ? Et si on brevète les logiciels, est ce qu'on n'obtient pas un monopole sur un soit disant effet technique, un phénotype. Avoir des yeux bleus et des grandes oreilles par exemple?

    Donc, il faudrait peut être demander à quelques philosophes ou se terminent les enjeux et ou commencent les grosses conneries.

    On comprends bien que l'innovation informatique est en crise grave. Qu'un remède de cheval - modifier les lois - va être nécessaire. Que l'OEB est le leader éclairé que nous attendions. Que l'action de Thomson Multimédia faiblit malgré ses nombreux copyright.
    Mon coiffeur trouve cette situation désolante. Seulement...

    Combien de philosophes chez Thomson Multimedia?
    Combien de programmeurs ?
    Combien d'êtres vivants ?
    • [^] # Re: expression == logiciel == gène

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

      il est clair qu'il serait important que l'on se pense sur plusieurs question d'ordre ethique.

      cependant, puisque nous posons la science economique comme absolut verite et que toute decision doit necessairement en decouler ; j'ai bien peur que la rentabilite soit plus importante.

      ca coute trop cher de penser.
  • # invitation a la reflexion...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Pour de la lecture tres interessante,
    produit par un petit collectif s'opposant a la Propriete intellectuel.

    http://www.contre.com/abolish-ip(...)

    l'information et l'education ca se partage, ca ne se vend pas.

    -evilynux
    • [^] # Re: invitation a la reflexion...

      Posté par  . Évalué à 1.

      Il faut se rappeler que l'information et l'éducation, ça demande des moyens.Même si je suis d'accord qu'avec le web, un prof peut mettre son cours en ligne sans frais.

      Par contre, pour les arts, le problème reste entier... c'est bien beau de dire (par exemple) que les artistes font ça pour le plaisir, pas pour l'argent, mais il faut bien qu'ils vivent...

      -1 car répété 1000 fois
      • [^] # Re: invitation a la reflexion...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        c'est pcq nous vivons dans un contexte economique...
        certes c'est une utopie, cependant il existe deja des alternatives correspondants certainement plus au sens moral qu'on tente de developper...

        http://artlibre.org/news/(...)
        est un site web tres interessant a ce niveau.
      • [^] # Re: invitation a la reflexion...

        Posté par  . Évalué à 1.

        c'est bien beau de dire (par exemple) que les artistes font ça pour le plaisir, pas pour l'argent, mais il faut bien qu'ils vivent...

        Oui, en travaillant par exemple, comme tout le monde. Sinon moi aussi je réclame que mes passe-temps et autres hobbies soient payés. Car, que fais tu de tous ceux qui font un art, n'en vivent pas, et doivent gagner leur vie à coté ? Faut pas confondre les arts et les industries qui cherchent à les exploiter, car ces dernières n'ont aucune légitimité.
        • [^] # Re: invitation a la reflexion...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Es-tu en train de nous expliquer qu'il ne devrait pas etre possible de vivre de son art ?

          C'est déjà vrai pour un peintre, mais alors les musiciens, les chanteurs ?


          Il y a de gros abus dans certaines industries d'arts (termes à priori incompatibles), mais vu du coté de l'Artiste, c'est justement ce qui forme son Travail, celui dont tu parles.
          • [^] # Re: invitation a la reflexion...

            Posté par  . Évalué à 1.

            Es-tu en train de nous expliquer qu'il ne devrait pas etre possible de vivre de son art ?

            Mais non. Je dis juste qu'il ne faut pas confondre l'artiste musicien et l'industrie du disque par exemple. Le point de vue des producteurs n'a pas sa place dans un débat sur la propriété intellectuelle dans le domaine de la musique. L'avis des artistes a sa place, à condition qu'on parle bien de tous les artistes. Je souhaite juste qu'il n'y ait pas d'inégalités entre eux (et les inégalités sont basées simplement sur la logique de ceux qui ne pensent qu'à récupérer leur musique pour faire du profit.)

            Il y a de gros abus dans certaines industries d'arts (termes à priori incompatibles), mais vu du coté de l'Artiste, c'est justement ce qui forme son Travail, celui dont tu parles.

            Un chanteur, un musicien, gagne de l'argent en concert, aucune suppression de propriété intellectuelle ne l'en empechera. Moi je vois des groupes pas très connus et pas du tout diffusés qui arrivent bien à en vivre. Et je pense que l'abolition de la propriété intellectuelle leur ferait plutot du bien : accès à l'égalité devant la diffusion, et donc rémunération (concerts, soutien (CDs, merchandising)) en conséquence, ie en fonction du succès réel, bref : méritée. (ce qu'on ne peut pas dire de tout le monde aujourd'hui, et ce qui "étouffe" les "petits")
            • [^] # Re: invitation a la reflexion...

              Posté par  . Évalué à 1.

              Je ne connais pas précisément ce qui se passe pour les chanteurs et musiciens, mais je connais mieux pour la littérature.
              Les cas d'auto-édition rentable sont rares, très rares. Il est certains que l'on gagne plus d'argent en auto-édition qu'en étant édité par un éditeur, mais il faut que le livre se vende (en clair, qu'il soit distribué) et c'est pas gagné.
              Un éditeur n'offre pas seulement comme service d'imprimer un ouvrage (ca, n'importe quel imprimeur peut le faire). Il offre, un travail éditorial (dans les bonnes maisons), une distribution conséquente, de la publicité.
              C'est en fonction de ces services que l'on accepte de "s'enchaîner" à un éditeur. Et croyez-moi, j'ai reçu mon contrat de Flammarion et les chaînes sont subtiles.
              Un auteur, "cède" ses droits à l'éditeur. En fait, sa marge de négociation est faible quand il débute.

              Dans le domaine de l'écriture, la propriété intellectuelle existe, mais sous deux formes : droits patrimoniaux, et droits annexes. Les premiers sont la propriété inaliénable de l'auteur (droit moral, essentiellement), mais rapportent que dalle. Les deuxièmes sont dans les mains de l'éditeur (et ce sont eux qui rapportent). En fait, certains collectifs d'auteurs demandent que les contrats ne cèdent les droits annexes que pour une durée limitée à 5 ans (et non à 75ans). Ben c'est pas facile.
              Tout ceci pour dire que les relations entre un artiste et son éditeur sont complexes et qu'il s'agit d'un équilibre entre les avantages "possibles" pour chaque acteur de ce marché.
              L'art n'ayant que peu à voir avec tout ça, et les petits comme les grands sont à la même enseigne.
              • [^] # Re: invitation a la reflexion...

                Posté par  . Évalué à 1.

                C'est en fonction de ces services que l'on accepte de "s'enchaîner" à un éditeur.
                Et croyez-moi, j'ai reçu mon contrat de Flammarion et les chaînes sont subtiles.
                Un auteur, "cède" ses droits à l'éditeur. En fait, sa marge de négociation est faible quand il débute.


                Le probleme est toujours le meme : du point de vue artistique, l'artiste devrait souhaiter voir son oeuvre diffusée le plus possible et accessible à tout le monde. Du point de vue "économique", pour gagner se vie, tout ce qu'on lui propose c'est de vendre des exemplaires de son oeuvre, ce qui va à l'encontre de la diffusion. Donc déja le système économique ne lui est pas vraiment favorable. Ensuite, comme les moyens de distribution sont dans les mains de quelques uns, il faut se plier devant eux, c'est bien dommage. Il me semble qu'à l'origine le droit d'auteur a été créé pour protéger les auteurs des éditeurs, et non des gens qui achètent... de plus en plus, ces protections sont détournées pour passer au service exclusif des éditeurs/distributeurs. Voila juste ce que je regrette, et les réflexions sur la propriété intellectuelle ont malheureusement trop tendance à considérer cela comme quelque chose de normal.
            • [^] # Re: invitation a la reflexion...

              Posté par  . Évalué à 1.

              "Moi je vois des groupes pas très connus et pas du tout diffusés qui arrivent bien à en vivre"

              Je pense que tu mélange vivre et survivre, sans compter de payer le matos, la casse, les déplacements, difficile si t'es un groupe sans soutien d'une grosse boite de distribution de diffuser tes cd et ainsi t'assurer un minimum de salaire descent mensuel. T'es obligé de bosser à coté sinon tu peux aller dormir dans les squats !
              • [^] # Re: invitation a la reflexion...

                Posté par  . Évalué à 1.

                Ne te fixe pas sur cette phrase, j'ai dit d'autres choses.
                Si tu cherches le soutien d'une boite de distribution, tu t'en sors, mais ça laisse sur le carreau tous les autres, tous ceux qui n'ont pas ce privilège. Aujourd'hui la diffusion de la musique connait le meme problème que les ventes d'ordinateur : on est face à un monopole, les gens achètent ce que quelques uns ont décidé. Ces groupes qui survivent ne font que survivre parce qu'on empeche la diffusion de leur musique. Si la musique est simplement connue, il y a un succès mérité et un revenu en conséquence (les CDs se vendraient toujours!). Vouloir aller vers une boite de distribution, c'est peut-etre attrayant et c'est une solution pour ceux qui y accèdent, mais ça ne change rien à la vie des autres.
                Pour ce qui est de l'abolition de la propriété intellectuelle, je ne sais pas si l'abolition totale convient à tous les domaines, ou à quel degré elle convient, mais le fait est qu'à chaque fois qu'on en parle, les artistes sont en fait oubliés et les producteurs les seuls à dire leur mot. Il faut dire aussi que le contexte économique n'est pas adapté à l'art, alors tant qu'on l'a sur le dos, les solutions concernant l'art seront toujours bancales.
                • [^] # Re: invitation a la reflexion...

                  Posté par  . Évalué à 1.

                  "mais ça laisse sur le carreau tous les autres,"

                  Si un groupe ( un vrai, qui commence a faire des concerts pour se faire connaitre ) a de l'audience lors de ses concerts, c'est que ce qu'ils fait est de qualité ( et qu'il a fait ses preuves ) et je peux t'assurer qu'il y a plein de petite label independents qui iront leur proposer un contrat. Si maintenant tu fait de la daube, tu peux quand meme pas esperer etre mieux loti que les autres !
                  Et même, si ce qu'ils font est de qualité mais que ca n'interresse personne, on ne peut pas forcer les gens à aller voir un groupe qui ne leur plais pas (regarde stallman, il essaye de faire du pipo mais il n'as pas de succes, alors selon toi il meriterai de gagner + ? :)

                  Pour ce qui est de la musique, c'est différent que les ventes d'ordinateurs car personne n'a les mêmes gouts et t'as vraiment le choix ( Je ne parle pas de la musique qui passe sur des radios genre nrj ou 70% du contenu me parait ininterressent ) Va à la fnac pour t'en convaincre, ils proposent meme les petits (tres petits) labels.

                  Personne ne t'empeche de diffuser ta musique, mais allors faut que tu m'explique comment tu fais tout seul (j'entend par là, sans structure nationale) ?

                  C'est bien tout le probleme des musiciens qui travaillent uniquement en studio (ou home studio), il faut bien se demerder pour etre diffusé ( et c'est là que les radios jouent un rôle important car ca te coute pratiquement rien ).

                  Enfin, on ne peux rien faire pour les gens qui n'ont aucune curiositée, ou qui se comportent comme des moutons. S'ils ne sont pas capable de choisir la musique par eux meme, les radios et la télé le font pour eux mais personne ne peut changer ca.

                  Je suis pour que les petits groupes aient un peut plus d'aides, genre plus de salles pour repeter et des petits studios bon marché pour faire des maquettes.
                  • [^] # Re: invitation a la reflexion...

                    Posté par  . Évalué à 1.

                    Pour ce qui est de la musique, c'est différent que les ventes d'ordinateurs car personne n'a les mêmes gouts et t'as vraiment le choix ( Je ne parle pas de la musique qui passe sur des radios genre nrj ou 70% du contenu me parait ininterressent ) Va à la fnac pour t'en convaincre, ils proposent meme les petits (tres petits) labels.

                    Moi je vais chercher ce que je veux, pas de probleme. Quand je dis que c'est comme l'informatique, tu soulèves précisémment ce qui se passe : en informatique, les gens vont chez Darty et se retrouvent avec PC/Windows. C'est peut-etre meme ce qu'ils demandent puisqu'ils ne connaissent que ça. En musique, ils écoutent la radio (voire, la télé!) et achètent donc ce qui passe sur nrj (70%, tu es indulgent). Pourtant beaucoup apprécieraient surement autant d'autres musiques, mais ils ne font pas l'effort, et pourquoi le feraient ils puisqu'on les bombarde de daubes à la radio et qu'ils finissent par aimer ? Pour moi c'est comme en info, il n'y a pas de vrai choix. Il n'y a de choix que pour ceux qui connaissent et ont fait l'effort de ne pas choisir la solution la plus rassurante.

                    Pour les groupes récupérés par les labels indépendants, je ne suis pas sur que tous trouvent une place, et ensuite, ils ne se retrouvent pas à égalité avec ceux qui sont propulsés sur les radios, donc c'est peut-etre mieux pour eux, dans un premier temps, mais ce n'est souvent pas suffisant par rapport à ce qu'ils méritent. Je trouve que comme solution c'est du bricolage, il n'y a aucune égalité, et meme s'ils en vivent, tellement d'autres vivent 100 fois mieux avec beaucoup moins de mérite. Je ne trouve pas ça vraiment satisfaisant comme situation.

                    Pour ta question sur "diffuser sa musique", il y en a qui sont auto-produits et voient leurs cds en fnac grace à un distributeur (distributeur uniquement, pas plus). Evidemment faut avoir fait ses preuves avant, enfin j'imagine.
    • [^] # Re: invitation a la reflexion...

      Posté par  . Évalué à 1.

      Donc les profs devraient travailler gratuitement et avoir du plaisir a se faire insulter par des eleves, a donner des lecons a des gens qui n'en on rien a taper et a se faire tabasser s'ils mettent une mauvaise note?
      • [^] # Re: invitation a la reflexion...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        Evidement non, mais je pense que ce qu'il veut dire c'est que le contenu des cours doit être gratuit. Un profs est là pour enseigner diverses matiére à d'autres personnes, mais ça ne signifie pas lire un cours, ça veut aussi dire comprendre les éléves, les aider...
        Le probléme ne se pose pas pour les classes jusqu'au bac où l'éducation est (en théorie, mais je ne rentrerais pas dans le débat) gratuite. Aprés le bac, les écoles sont souvent fort chère (moi j'ai de la chance, c'est le gouvernement britannique qui prends en charge les frais de scolarité, mais beaucoup de personnes n'ont pas cette chance).
        Mais personne ne devrait payer pour le contenu des cours mais plutôt pour leur suivi, l'encadrement pédagogique... Personnellement, je n'apprend rien d'un type qui se contente de lire, je peux le faire moi-même et je ne considére pas ce type comme un vrai prof. Mais si ce type, en plus de lire, essai de guider l'étudiant, d'une maniére ou d'une autre, alors là, oui, je peux apprendre et surtout comprendre.
        • [^] # Re: invitation a la reflexion...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Effectivement, tout ce que tu cites est le travail d'un prof. Cependant creer un cours fait aussi partie de ce travail. Le prof ne travaille pas seulement quand il est en cours avec ses eleves mais aussi et surtout en dehors des cours.

          Il prepare son cours, arrange le contenu pour le rendre comprehensible.

          Certains profs mettent cela dispo sur le net, d'autres non. Ceux qui le mette se contentent souvent de mettre les transparents, souvent inutiles si on n'assiste pas au cors.

          Rediger un cours et le mettre sur le net rempli deja un gros bout du travail de professeur. Apres c'est au prof de le rendre accessible aux eleves mais ce n'est pas la seule fonction du prof.

          Un prof qui lit ce qu'il a fait a deja fait qqc meme s'il est tres mauvais pedagogue.
          • [^] # Re: invitation a la reflexion...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            Je ne suis pas d'accord, le travail d'un prof consiste à mettre en forme un savoir prééxistant de maniére à en faire un cours cohérent et qui lui convienne. Le cours en lui même représente du travail, il n'empéche que le contenu du cours doit être accessible à tous.
            Je ne dénigre aucunement le travail des profs, mais de là à penser que, si on met le contenu d'un cours sur le net, des profs ne seront plus payés, il y a une marge!
            • [^] # Re: invitation a la reflexion...

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

              tout a fait d'accord,
              de plus, pourquoi ne pas construire le contenu des cours en collaboration avec d'autres personnes?

              si ca se trouve, montrer de l'ouverture pourrait en stimuler certain et le resultat ne serait que meilleur.

              je ne veux pas dire que le professeur ne devrait pas etre paye, je dis seulement qu'il ne devrait pas necessairement se taper la construction des cours/etre la source ultime de connaissance.
            • [^] # Re: invitation a la reflexion...

              Posté par  . Évalué à 1.

              D'accord, je vais reformuler ce que j'ai dit precedement:
              comment peux tu mettre le contenu d'un cours sur le net sans faire au prealable un travail de mise en forme?

              Le contenu se doit d'etre exprime pour etre transmis. Cette expression peut se faire par plusieurs moyens: ecrit (net ou livre), oral (amphi). visuel (transparents) ou quel qu'il soit. Mettre un contenu sous l'une quelconque de ces formes implique un travail.

              Et c'est cette mise en forme qui est le travail d'un prof.
              Un prof qui lit son cours a fait le travail de l'ecrire. C'est en partie ce travail qui est remunuere. Mettre ce travail ecrit sur le net sans remuneration revient a ne pas remunere le travail qu'a realiser le professeur pour mettre sous forme ecrite son cours.

              Bien sur, lire un cours en amphi est mauvais au niveau pedagogique. Cela ne signifie cependant pas qu'il n'y a eu aucun travail pour realiser le document ecrit qui (je me repete) met en forme le contenu du cours.
              • [^] # Re: invitation a la reflexion...

                Posté par  . Évalué à 1.

                Un prof qui lit son cours a fait le travail de l'ecrire. C'est en partie ce travail qui est remunuere. Mettre ce travail ecrit sur le net sans remuneration revient a ne pas remunere le travail qu'a realiser le professeur pour mettre sous forme ecrite son cours.

                Non le prof n'est pas payé pour ça, ça ne se passe pas comme ça. Le prof est payé pour faire un cours ? Dans ce cas s'il lui faut un support, un cours écrit, c'est à lui de se le taper, mais il ne sera pas payé plus cher s'il en écrit un. Ca fait partie des choses à faire, implicites, dans le métier, comme les corrections d'exam par exemple. Le résultat, c'est que s'il n'a pas le temps, le prof rédigera ce cours pendant ses vacances, ça arrive souvent. Qu'il mette ou non ce cours sur le net ne changera rien à sa paie. J'ai des collègues qui ont passé du temps à rédiger un cours que nous donnons en commun, et je t'assure qu'ils auraient certainement préféré y passer moins de temps, ce qui aurait été le cas si tout le monde mettait ses cours sur le net. Quel est l'intéret de faire du chacun pour soi sur des choses pour lesquelles on n'est de toutes facons pas payé ? Au contraire, si on diffuse, d'autres peuvent récupérer et éviter du temps perdu, et si tout le monde participe, tout le monde y gagne.
    • [^] # Re: invitation a la reflexion...

      Posté par  . Évalué à 1.

      Mouais. "Abolir la propriété intellectuelle" (ce qui ne veut pas dire grand chose, au passage: réunir les brevets, les droits d'auteurs, le copyright - c'est different - et autres droits d'exploitations, c'est un joyeux fourre tout qui ne tient pas compte des differences) est un peu stupide, surtout lorsqu'on se reclame des "avancees" de groupes de reflexions autour du copyleft et de la GPL.

      Car le copyleft a besoin du droit d'auteur pour fonctionner. Il a besoin d'un droit qui donne tout pouvoir de decision de l'auteur sur son oeuvre, en premier. Afin que celui ci aie le pouvoir de le mettre sous copyleft.

      Sans droits d'auteur, pas de copyleft.

      Et au cas ou vous ne le remarqueriez pas, sans legislation sur la propriete intellectuelle, plus d'acces libre a l'information. Car alors on ne parlera plus de propriete au sens legal du terme, mais au sens feodal du terme.

      Ne revez pas. Si d'apparence, ca ne semble pas evident, les droits d'auteurs (a l'europeenne) sont la meilleure arme des "faibles" contre les puissants. Car la loi a encore le pouvoir de favoriser celui qui s'inscrit dedans.

      Une fois qu'il n'y aura plus de "propriete", seuls les puissants auront ce qu'ils veulent.

      A la fin des croisades, les arabes, bien que degoutes et revoltes par le barbarisme et la pauvrete intellectuelle des occidentaux, n'en avaient pas moins ete heureusement surpris de decouvrir cette notion de propriete codifiee (appliquee alors aux terres, et toute relative alors) qui permettait a un paysan occidental d'exploiter sa terre paisiblement, sous "protectorat", alors que chez eux, la notion de propriete n'existait pas vraiment que sous forme orale, donc pas vraiment tangible, et a la merci des caprices des puissants.
      • [^] # Re: invitation a la reflexion...

        Posté par  . Évalué à 1.

        Car le copyleft a besoin du droit d'auteur pour fonctionner. Il a besoin d'un droit qui donne tout pouvoir de decision de l'auteur sur son oeuvre, en premier. Afin que celui ci aie le pouvoir de le mettre sous copyleft.

        Non, le copyleft utilise le droit d'auteur, parce qu'il n'a pas moyen de faire autrement : il fallait bien utiliser quelque chose de légal et d'existant. Pas moyen de faire autrement. D'ailleurs le copyright n'a pas permis à Stallman de faire ce qu'il voulait de la GPL, puisqu'un auteur peut revenir sur sa licence, c'est quelque chose qu'il ne faudrait pas normalement.

        Sans droits d'auteur, pas de copyleft. Et au cas ou vous ne le remarqueriez pas, sans legislation sur la propriete intellectuelle, plus d'acces libre a l'information.

        Pas de droit d'auteur, pas de propriété intellectuelle, ne veut pas dire l'absence de droits ou de devoirs envers une oeuvre, c'est d'ailleurs ce qu'est le copyleft théorique.

        Car alors on ne parlera plus de propriete au sens legal du terme, mais au sens feodal du terme.

        Je ne vois pas ce que tu veux dire par sens féodal , puisque celui ci implique quand meme propriété. Je trouve que ces 2 sens sont les memes aujourd'hui.

        Une fois qu'il n'y aura plus de "propriete", seuls les puissants auront ce qu'ils veulent.

        Les puissants ? C'est bien parce que eux seuls exploitent cette propriété qu'ils sont puissants. Amoindrir la législation sur la propriété intellectuelle, c'est bien pour les atteindre, eux.
  • # comment ça

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Passé au travers su system de moderation ?

    [moua]
  • # Je reves ou bien ??

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    C'est un fichier de traitement de texte qui est en attachment ??

    Vous savez qu'il est possible avec (presque) tous les traitements de texte de sauver en HTML et donc de permettre a tout le monde de lire le fichier ?

    Bon, heureusement que c'etait pas un ".doc"....
    • [^] # Re: Je reves ou bien ??

      Posté par  . Évalué à 1.

      Le fichier contient l'invitation, et c'est ce qui a été envoyé par les labos aux chercheurs.
      Déjà qu'on a reçu l'invitation en extrème limite (le 22 pour le 23).
      Sans doute que mon labo s'est dit que ca ne devait pas intéresser grand monde.
    • [^] # Re: Je reves ou bien ??

      Posté par  . Évalué à 1.

      Oui enfin le .rtf j'imagine qu'aujourd'hui on peut le considérer au meme titre que le HTML. C'est un standard, bien pratique. Comme c'est vraiment que du texte avec un système de balises, je m'en sers parfois pour créer des générateurs, qui me permettront d'insérer ma sortie à d'autres documents, et c'est souvent plus simple qu'avec du HTML (pas toujours, cela dit).

      D'ailleurs Word considère le RTF (Rich Text File) comme étant un fichier WordPerfect. C'est vrai ou pas ? RTF est-il (encore) un format propriétaire officiellement ?


      Enfin, d'un point de vue traitement de texte, il y a toujours quelque chose que je n'ai pas réussi à faire en HTML:

      Un saut de page.

      Quelqu'un confirme ?
      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        ...Enfin, d'un point de vue traitement de texte, il y a toujours quelque chose que je n'ai pas réussi à faire en HTML:

        Un saut de page...


        Un saut de page implique qu'il y est une notion de page, ce qui n'est pas le cas avec le HTML.

        C'est normal puisque le HTML n'a pas ete concu pour qu'a l'affichage, il y est quelque consideration de format d'impression que ce soit.
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  . Évalué à 1.

          C'est ce que j'essayais de dire de manière détournée. Le HTML a été inventé pour concevoir des pages fonctionnant sur le principe de l'hyperlien, et comme moteur du Web. Ce n'est pas un format idéal pour le traitement de texte.
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          C'est normal puisque le HTML n'a pas ete concu pour qu'a l'affichage, il y est quelque consideration de format d'impression que ce soit.

          Maintenant, avec les CSS 2, on peut définir des "médias" qui indique sur quel support doit se faire l'affichage du document HTML.
          Ces médias peuvent être des feuilles de papier, des transparents, un écran d'ordinateur (celui que l'on connait), un navigateur "audio" qui lit les pages, etc.

          Donc on peut tout à fait définir des styles pour un média de type "feuille de papier", avec les marges, les saut de pages, et tout et tout.

          La richesse du HTML 4 et des CSS 2 permet de faire de très belles choses et surtout, largement diffusables. Pour peux que les logiciels qui les utilisent (navigateurs, traîtements de texte, tableurs...) les implémentent correctement.

          Pour plus d'info, consulter les spec des CSS :
          http://www.w3.org/TR/REC-CSS2/page.html(...) et http://www.w3.org/TR/REC-CSS2/media.html(...)

          Pensez à l'environnement avant d'imprimer ce commentaire - Please consider the environment before printing this comment

      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  . Évalué à 1.

        RTF est-il (encore) un format propriétaire officiellement ?

        Officiellement il est ouvert. Par contre le RTF créé par les logiciels MS est parait-il rarement conforme (comme c'est curieux). Donc ça doit être un bon format d'échange si on ne le crée pas avec un logiciel MS, il devrait etre lisible partout.
      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 1.

        Mouais mouais, moi le RTF je ne sais pas le lire sous Linux, ni mon Emacs ni mon Vim ne le lisent, et je ne vais pas installer SO pour lire un truc de 15 lignes. Je préfère le texte brut, là je peux le lire !
        • [^] # AbiWord fait ça très bien...

          Posté par  . Évalué à 1.

          ...ça irait pas?
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  . Évalué à 1.

          Fabien... Toi qui utilise Debian, un petit 'apt-cache search rtf' et qu'est ce qu'on trouve dans la liste :

          ---------------------------------
          fred@tothkiller:~$ apt-cache show ted
          Package: ted
          Priority: optional
          Section: editors
          Installed-Size: 1100
          Maintainer: Chris Waters <xtifr@debian.org>
          Architecture: i386
          Version: 2.10-3
          Depends: ted-common (= 2.10-3), lesstif1, libc6 (>= 2.2.3-1), libjpeg62, libpng2(>=1.0.10), libtiff3g, xlibs (>> 4.0.3), zlib1g (>= 1:1.1.3)
          Filename: pool/main/t/ted/ted_2.10-3_i386.deb
          Size: 416666
          MD5sum: 232f35dd7c25b0066038d4272b54ebb5
          Description: Graphical RTF (Rich Text Format) editor, lesstif version
          An editor designed for compatibility with popular MS-Windows applications
          that use the .rtf format, such as Word and Wordpad. Files created by Ted
          should be accepted as legal .rtf files. Compatibility the other way is
          more difficult to achieve, but Ted will ignore unsupported formatting.
          Ted supports font properties such as bold, italic and underline, in-line
          bitmap pictures, postscript printing, tables, and symbols. It can save
          documents in HTML format, and comes with built-in spell checking.
          .
          Ted acts as a MIME handler for the application/rtf MIME type.
          .
          This version of ted depends on the lesstif libraries.
          ------------------------------

          et c'est un peu moins lourd que SO ;) (je l'ai déjà utilisé une ou deux fois et ca marche bien). Bon c'est vrai que de l'ASCII 8 bit aurait fait l'affaire aussi, mais bon RTF est un format ouvert, et pour une fois qu'un document administratif n'est pas au format doc, moi je dis que c'est pas si mal.
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          Je suis en train d'écrire un convertisseur RTF<->XML<->Latex distribué pour un projet, et GNU unrtf ( http://www.geocities.com/tuorfa/unrtf.html(...) ) a été une très bonne base. Il convertit presque tout (même les codes de champs : numéro de pages, table des matières, ... etc) en plusieurs formats, dont LaTeX et HTML, mais les 2 gros morceaux :
          • feuilles style,
          • puces
          ne sont pas supportés correctement.

          Les puces marchent, mais ne sont pas exprimés correctement (sous forme de liste), mais c'est du à l'RTF, qui est vraiment pas terrible à ce niveau. Tu devrais essayer, c'est vraiment sympa.
      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        A priori le RTF est un format maintenu par Evil Bill Gates lui-même:
        http://www.faqs.org/faqs/graphics/fileformats-faq/part3/section-127(...)
        Inutile de dire que c'est Mal(tm).

        Par contre je ne sais pas si c'est MS qui l'a crée à l'origine, où bien si il a rejoint le côté obscur par la suite
    • [^] # Re: Je reves ou bien ??

      Posté par  . Évalué à 1.

      Savez vous que la majorite des ordinateurs savent lire les .doc et que le .rtf est ouvert?
      Tant qu'a faire pkoi pas faire un fichier ASCII, le HTML faut autre chose que VI pour que ce soit lisible...
      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        Savez vous que la majorite des ordinateurs savent lire les .doc

        Oui, je sais, mais ce format n'etant pas ouvert je ne le considere pas comme un standard. D'autant plus que les .doc sont generees par Word, et je crois on n'a pas besoin d'aider encore plus Microsoft en diffusant des fichiers dans leur format proprietaire. Et il n'est pas rare que ca merde quand on lit un .doc sous linux (normal M$ fait tout pour nous en empecher).

        Lorsque tu fait un truc sur le web tu t'adresses a tout le monde, donc il est normal de se mettre sur la meme longueur d'onde que tout le monde : on utilise des standards libres, connus de tous. Le HTML, en respectant les regles du W3C par exemple.

        Concernant le .rtf je sais que c'est ouvert, mais moi ca me fait bizarre de trouver un fichier de type traitement de texte avec mon navigateur HTML. Meme que ce n'est pas mon navigateur qui l'a interprete...

        Tant qu'a faire pkoi pas faire un fichier ASCII, le HTML faut autre chose que VI pour que ce soit lisible...

        Parce qu'on est sur le web, et que le format standard du web c'est le HTML, pas l'ASCII. Et puis de toute facon on peut pas lire de fichier via http depuis vi !! (bon ok, avec emacs ca doit etre possible...).
      • [^] # Re: Je reves ou bien ??

        Posté par  . Évalué à 1.

        ben figure toi que mon PC il a du mal à lire les .doc... ça doit être un mauvais PC, je vais peut-être le jetter suite à ta remarque.
        Non, franchement, je suis à l'ENSIMAG comme tu l'as été. Cette année, l'administration c'est mis à envoyer tous les documents sous forme de .doc ou .xls et je trouve ça vraiment lamentable quand on considère les moyens informatiques mis à la disposition des élèves (qq PCs et plein de TXs). En plus c'est mal (TM) d'utiliser un format propriétaire pour diffuser une information.
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  . Évalué à 1.

          Il faut agir pour essayer de leur faire comprendre le probleme et que ca change. Se presenter (et surtout etre elu) au ca de ton ecole devrait surement aider.
          • [^] # Re: Je reves ou bien ??

            Posté par  . Évalué à 1.

            Bon, moi j'ai fini dans 4 mois alors je m'en fous un peu (je sais cette attitude n'est pas très sérieuse et ne fera pas avancer les choses). Il se trouve que jusqu'à l'année dernière les documents nous étaient au moins fournis en PDF (qui à l'avantage d'être lisible sous UNIX). Et cette année, on s'est plaint (enfin c'était pas moi directement, mais ca a été fait plusieurs fois) et la réponse a été : « tout le monde n'est pas ingénieur informaticien ». Confronté à des gens et des réactions comme ça, ben on est plus motivé...

            -1 parce que ma petite vie n'intéresse personne.
            • [^] # Re: Je reves ou bien ??

              Posté par  . Évalué à 1.

              tout le monde est pas informaticien mais tout le monde n'est pas non plus possesseur d'un word/excel. Sans pour autant vouloir aller trop loin dans le cote philosophique (et encore ca peut se debattre bien avec des gens de l'enseignement) il suffirait ptet de faire une petite note qui explique aux gens qui envoient les xls et les .doc que ca apporte rien, que c'est pas lisible pas tous et que pour changer cela il leur suffit d'aller par exemple d'aller dans le menu x (ou appuyer sur touche Y) et de faire enregistrer sous format texte.
              Je pense pas que ce soit trop dur de tenter ce genre d'approche, et ca peut faire avancer un peu les choses dans le bon sens.
              • [^] # Re: Je reves ou bien ??

                Posté par  . Évalué à 1.

                Je suis tout à fait d'accord, mais le dernier exemple en date est un emploi du temps qui nous à été envoyé sous format xls. La personne ayant fait cet emploi du temps ne s'est même pas servi des cellules Excel, mais les cases de l'emploi du temps sont constituées de petites zones de texte flottantes. Tout cela est si mal fait que même les exportateurs de Excel ne peuvent pas soritr un résultat correct !
                On est dans un cas où une petite explication ne suffira pas (à mon avis)
                • [^] # Re: Je reves ou bien ??

                  Posté par  . Évalué à 1.

                  "On est dans un cas où une petite explication ne suffira pas (à mon avis)"

                  Ca coute pas grand chose d'essayer au moins pour ce qui est hors de ce cas et eventuellement chercher si on peut pas trouver une meilleure solution pour ce cas.
                  • [^] # Re: Je reves ou bien ??

                    Posté par  . Évalué à 1.

                    Encore un fois je suis tout à fait d'accord. De toute façon le problème est plus sur le fond que sur la forme. En effet, dès qu'un document est fourni, dans la journée quelqu'un en fourni une verison Postscript. Mais le problème est toujours le même : la difficulté de communication avec l'admninistration. Les gens pensent qu'il faut fournir des efforts _énormes_ pour améliorer les choses et que nous sommes assez intéligents pour nous débrouiller. Même quand on veut leur expliquer, ils ne veulent rien entendre.
                    Mais bon, les choses avancent même si ça va lentement, et en plus, je trouve qu'on est pas trop mal lotis.
        • [^] # Re: Je reves ou bien ??

          Posté par  . Évalué à 1.

          Je sais que ca risque d'en interesser peu, mais il y a un nombre consequent de PC sous Windows et surtout un serveur metaframe pour pouvoir faire tourner Windows sur les terminaux (mais peu des eleves sont au courant car peu savent que ca existe, le taux d'attendance aux cours est tres bas).

          La seconde solution est de faire ce que j'avais fait l'annee passee (oui, meme si je fais partie de ceux qui trouvent qu'un .doc a des avantages par rapport a un simple .HTML je suis pas si obtu): tu convertis le fichier au format HTML (meme si c'est cradoc car produit par Word), et tu mets a dispo sur l'intranet de l'ecole. Si y a des problemes d'acces il suffit d'aller voir les webadmins qui peuvent tres bien aider (j'en faisais partie pour la note).

          Faut pas oublier bien sur a laisse des notes a l'administration pour leur signaler le probleme. Rester a raler dans son coin n'a jamais apporte quoique ce soit; et la mentalite du "m'en fiche je pars l'an prochain" c'est trop ca.

          J'hesite a passer ce post au -1, disons pour un peu rehabiliter l'image de l'ecole...
          • [^] # Re: Je reves ou bien ??

            Posté par  . Évalué à 1.

            Si tu lisais les enfilades en entier avant de poster, t'aurais l'air moins c*n. Oui, je connais metaframe, oui on s'est plaint, oui on converit les fichiers pour les rendre plus accessibles, oui j'ai déjà dit tout ça, oui tu aurais du te mettre en -1.
            Et merci pour ton dévoument à l'école en tant que Webadmin, c'est vrai que tu as contribué à faire bouger les choses, la preuve.
  • # CONTACT? ON S'INSCRIT OÙ?

    Posté par  . Évalué à 1.

    J'ai déjà posé la question dans un post qui a été mod à -1 (pourquoi?), quelqu'un a-t-il des infos concernant la personne à contacter? Je veux y aller et ferait un compte rendu.
    • [^] # Re: CONTACT? ON S'INSCRIT OÙ?

      Posté par  . Évalué à 1.

      Amphithéâtre de la Maison JeanKuntzmann
      110, Rue de la Chimie - 38041 Grenoble Cedex

      C'est sur la campus de St Martin d'Heres. Si je me rappelle bien ca doit etre juste derriere l'ENSIMAG (mon ecole).
      Rentre par l'entree principale (celle en face du Geant de SMH) continue sur la rue Pricnipale (je crois que ca s'appelle comme ca), apres 2 (ou 3) rond-points, ca va tourner sur la droite avec une petite allee sur la gauche. Prends cette allee, croise le tram. A priori tu peux pas manquer l'ENSIMAG (le gros batiment sur la droite de la premiere a gauche). Gare toi ou tu peux sur le parking de l'IEG et dirige toi vers l'IMAG, fait le tour du batiment ou passe sous le porche. La maison Kuntzman est derriere sur la droite (vers le tram).

      J'espere que ca servira et j'attends le rapport avec impatience.
    • [^] # Re: CONTACT? ON S'INSCRIT OÙ?

      Posté par  . Évalué à 1.

      Pour un plan, va sur mappy.fr et cherche a St Martin d'heres a l'adresse donnee. (je sais pas pkoi mais le lien marche pas, probablement des parametres en GET).

      La maison K n'est pas exactement dans le cercle bleu mais plus au sud entre la rue de la chimie et la rue qui lui est parellele en train fin blanc.
      • [^] # Re: CONTACT? ON S'INSCRIT OÙ?

        Posté par  . Évalué à 1.

        Bon vous êtes sympas, mais ça c'est une salle de conférence -- c'est pas le contact ou l'organisateur. Je vais me pointer là-bas, dire bonjour au concierge, et puis ... ?
        • [^] # Re: CONTACT? ON S'INSCRIT OÙ?

          Posté par  . Évalué à 1.

          Etant donne le format de l'invit, tu prends ton invit, tu la complete, tu te pointes la-bas a l'heure, tu demandes a l'entree (ou tu suis le troupeau si troupeau il y a) et c'est bon.
          Je crois pas qu'il y ait plus de 2 salles de conf.

          Pourquoi as tu besoin de contacter l'organisateur alors que c'est une conference ouverte?

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