Interview de Nat Makarevitch

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fév.
2003
Communauté
Un «chat» de Nat Makarevitch, Directeur Technique de Idealx et, entre autres, fondateur de linux-france.org et ikarios.fr, s'est déroulé mercredi dernier sur le journaldunet. Inutile de faire une copie du chat ici, les intéressés iront d'eux-même lire les 45 questions qui lui ont été posées.

Aller plus loin

  • # Re: Interview de Nat Makarevitch

    Posté par  . Évalué à 10.

    Sympa cette interview ...

    C'est un résumé des actualités des dernières semaines sur linuxfr ;) :

    On y parle de tout : .NET, open-source vs Libre (la question récurrente), le Libre dans l'administration, ...
    • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

      Posté par  . Évalué à 10.

      Dans un très grand nombre de cas, les décideurs locaux eux-mêmes ne savent pas que certains services (serveur de fichiers ...) sont assurés par des logiciels open source ! Ils peuvent soutenir mordicus qu'ils n'en emploient pas ... dans un message routé par sendmail. :-)

      Cette réponse très amusante au premier abord dresse finalement un constat assez effrayant : nos bien connus décideurs pressés que l'on devrait convaincre d'utiliser du logiciel libre
      - dans le meilleur des cas se foutent royalement de ce qui tourne dans leur entreprise ;
      - dans le pire des cas ont de plus un a priori suffisamment négatif pour nier en utiliser sans se renseigner (genre "j'ai demandé au service info de mettre du matériel sérieux")

      Il reste du travail à faire niveau communication -- c'est sûr qu'il y a aussi la peur que suscitent souvent les informaticiens dans de nombreuses entreprises, ce qui ne facilite pas les choses.
      • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

        Posté par  . Évalué à 10.

        je ne suis pas d'accord.

        j'ai deja croise quelques decideurs sinceres qui ne font pas forcement la distinction entre outil unix livre "gratuitement" avec le materiel, logiciel gratuit, logiciel a sources publiques et logiciel libre.

        pourtant ces gens-la sont generalement tres interesses a ce qu'on leur explique et a ce qu'on defende leurs interets d'utilisateur.

        le logiciel libre est un atout majeur dans le jeu d'un decideur informatique, techniquement et commercialement, independamment de toute consideration ideologique. soyons pedagogues, ecoutons les problemes des autres...

        cela dit on a peut etre pas croise les memes decideurs... certains sont surement obtus et ininteresses aux benefices de leur entreprise...
      • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

        Tout aussi gênant, les décideurs ne connaissent pas toujours les implications d'utiliser du libre dans leur développement.
        Mon patron a ainsi *"découvert"* (ça lui avait pourtant été clairement expliqué il y a 6 mois) avant hier que distribuer du code GPL modifié implique aussi de distribuer son code source !
        Il y a une confusion entre libre et domaine publique par certaines décideurs, malgré le tapage de M$ (la GPL est virale, etc...).
        • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

          Posté par  . Évalué à 10.

          Il y a une confusion entre libre et domaine publique par certaines décideurs, malgré le tapage de M$ (la GPL est virale, etc...).

          Décidément, Microsoft n'arrive jamais à faire du bon boulot...

          -> [ ]
  • # Re: Interview de Nat Makarevitch

    Posté par  . Évalué à 0.

    Linux OS de geek : mythe ou réalité ?
    A mon sens tout OS est un bidule de geek tant que l'IA forte ne règnera pas. Le logiciel directement utilisable par tout un chacun devra pouvoir comprendre l'utilisateur et interagir avec lui, prévoir un délai... D'ici là, des informaticiens doivent installer et paramètrer le bidule. Ceci vaut aussi pour MS-Windows et Mac OS, nous le savons bien. La question devient donc, pour moi, est-il possible aujourd'hui de configurer un poste de travail animé par Linux de sorte qu'un béotien puisse l'employer ? Ma réponse est : OUI.


    Ma réponse est NON. Et cela sur n'importe quelle plateforme (Win, GNU/Linux, MacOS...). D'ailleur, ce n'est pas de la fonction du "béotien".
    Très sicèrement à quoi ça sert de savoir configurer ses paramètres réseau lorsqu'on ne les modifie jamais et que surtout ce n'est pas son rôle. C'est pas parce que je travail sur un ordinateur que je suis forcement informaticien. En tant qu'utilisateur, je veux que le bidule fonctionne (ce que dit Nat dans une des questions précèdentes).

    Linux OS de geek est une réalité. A savoir q'un geek aiment bien savoir comment cela fonctionne (il aime savoir commet configurer ses paramètres réseau). Ce n'est pas pour autant que GNU/Linux n'est pas un "machin" adéquat aux utilisateurs.
    • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

      Posté par  . Évalué à 10.

      Très sicèrement à quoi ça sert de savoir configurer ses paramètres réseau lorsqu'on ne les modifie jamais et que surtout ce n'est pas son rôle. [...]

      Est -ce que vous ne dites pas précisément la même chose ? Nat dit justement que tout OS est un bidule de geek et que des informaticiens doivent installer et paramètrer le bidule.
      Relie plus lentement la phrase concernant l'utilisateur :
      La question devient donc, pour moi, est-il possible aujourd'hui de configurer un poste de travail animé par Linux de sorte qu'un béotien puisse l'employer ? Ma réponse est : OUI.
    • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

      Je n'ai pas compris sa phrase dans ce sens.
      Il a parlé de confier à un béotien un poste préconfiguré, pas de rendre la configuration du poste plus aisée au béotien.
    • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

      Posté par  . Évalué à 4.

      je crois comprendre que Nat parlait d'un poste de travail (...) qu'un beotien puisse (...) employer, et Linux peut tres bien etre utiliser pour constituer ce poste de travail.
      donc ma reponse est oui.
    • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

      Posté par  . Évalué à 10.

      > Ma réponse est NON

      ?

      ns affirmons sauf err la mm chose !

      je tentais d'exprimer :

      - il n'existe à ma connaissance pas d'OS installable sainement (surtout de façon stable, sécurisée, évolutive ...) et exploitable au mieux (sans pépins ...) par l'"utilisateur de base" car cela exigerait un logiciel manifestant de l'intelligence "humaine"

      - ce n'est pas la fonction du béotien : o, d'ailleurs il ne le pourrait (et échoue le plus souvent lorsqu'il s'y aventure : pertes de données, interruptions d'exploitation, contorsions pour l'utilisation, machine piratée ...). c'est pourquoi j'écrivais "des informaticiens doivent installer et paramètrer"

      - ma question était : est-il possible aujourd'hui de configurer un poste de travail animé par Linux de sorte qu'un béotien puisse l'employer ... je maintiens que c'est possible et peux le prouver l'ai déjà fait :-) install et config sera bien entendu effectuée par une personne compétente mais ensuite la machine fonctionnera, pour le lot des applications installées et mises-à-jour, de façon autonome

      tout ceci vaut bien entendu pour le plus gros des machines employées par des personnes peu compétentes en info (=> bureautique, application verticale, communication (web-mail-news-...) ...)

      Linux OS de geek est UNE dimension de la réalité mais n'est pas LA SEULE. il anime des machines (bornes, postes de travail ...) employées par des non informaticiens. il convient, pour cela, de le 'carrosser' de façon adéquate, de le configurer de sorte qu'il fournisse une interface homme-machine habituelle, ergonomique et plaisante (KDE, Gnome ...).
      • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

        Posté par  . Évalué à 0.

        Point 1:
        Sûrement. On peut même dire OS installable sainement et répondant aux besoins de l'utilisateur. Il apparait donc difficile de trouver une solution dans l'état actuel des sciences de l'informatique.

        Point 2 & 3:
        Vivement le week-end, je crois que j'en ai bien besoin. Effectivement, il s'avère tout à fait possible pour un béotien d'employer un poste de travail animé par Linux. D'ailleur des solutions existent déjà ( http://www.ximian.com/products/redcarpet_enterprise/(...) ) afin d'automatiser et déléguer les tâches de maintenance du poste de travail.

        Ma réponse devient OUI techniquement (encore faut il que la politique de l'entreprise/organisation appuie l'initiative).

        Merci Nathan pour ces éclaircissements
      • [^] # Re: Interview de Nat Makarevitch

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

        Il est clair qu'aujourd'hui à un moment ou à un autre (par exemple à l'installation) tout ordi a besoin d'une personne compétente pour s'occuper de lui, indépendemment de l'OS.

        Pour ce qui est d'installer GNU/Linux chez un particulier - un ami par exemple - on se retrouve vite devant le problème: il faut quelqu'un qui s'y connaisse pour pouvoir maintenir/faire évoluer la machine, typiquement lors d'installation de logiciels. Il se trouve que certains tiennent comme acquis qu'un ordinateur devrait être simple et facile à utiliser/administrer, et que même quelqu'un dôté du QI d'une huitre devrait pouvoir manipuler le bidule.

        Pourquoi?

        Il y a plein d'outils qui ne sont pas faciles à manipuler, et on apprend à le faire. Par exemple, on passe son permis pour conduire. Autre exemple, avant d'écrire, il faut savoir se servir d'un stylo. Ca a l'air de rien, mais c'est super technique de se servir d'un stylo. Essayez de la main gauche (droite pour les gauchers) et vous mesurerez l'ampleur de l'apprentissage.

        Alors certes, ce "serait bien" si on pouvait écrire, conduire sans danger, et installer un serveur IMAP sans avoir à rien apprendre. Mais bon, l'informatique reste pour moi un domaine comme les autres, à la différence près que certains commerciaux ont réussi à faire rentrer dans la tête des gens que c'était simple comme chou.

        Je reste convaincu que le progrès passe par un certain apprentissage. Sans aller jusqu'à savoir comment administrer un système UNIX, je pense qu'on gagnerait à ce que les gens apprennent à cerner le fonctionnement global de leur ordi. Simplement pour éviter le "ça marche pas mon ordi est planté j'ai tout cassé" alors que c'est juste le câble réseau qui est débranché... Mais évidemment c'est pas facile quand on entend tous les jours qu'avec un Pentium IV on surfe plus vite sur le grand Ternet. En fait, pour peu que l'on ait un minimum de connaissances théoriques sur le fonctionnement d'un ordinateur, l'installation d'un OS (genre une Mandrake avec sa boiboite et son bouquin) devient AMHA abordable. Il faut faire la différence entre les mémoires permanentes, celles qui sont volatiles, et dépasser le cap de "c'est dans l'ordinateur". Sans vouloir faire de tout le monde des informaticiens - il y a plus urgent, par exemple réduire l'analphabétisme - je trouve qu'à notre époque ce n'est pas idiot de se dire que tous ceux qui utilisent des ordinateurs sachent un peu comment ça marche.

        Entendons-nous bien, je ne veux pas bombarder tout le monde gourou Unix, simplement se dire que si quelqu'un se sert d'un ordinateur toute la journée - et c'est le cas de pas mal de monde - ça ne peut pas faire de mal à sa culture générale d'apprendre un peu les concepts liés au bidule. Une secrétaire qui tape toute la journée des documents qui sont stockés sur un serveur réseau gagnerait AMHA à savoir un peu comment ça marche. Mais on peut se contenter de lui dire: tu fous les documents là-dedans! C'est sûr, ça marche. On peut pas dire le contraire.

        Maintenant, ce n'est pas dans l'air du temps, on vit à une époque où il faut tout pouvoir utiliser tout de suite sans effort sans investissement sans rien. A ce jeu là on se fait pourrir sa boîte mail Outlook par un vilain virus et on devient à terme dépendant soit du geek du coin de la rue soit de Microsoft, mais dans tous les cas je suis pas sûr qu'on y gagne... Cette culture de l'utile et de l'efficace et du rapide a le don de m'agacer. A ce train là, bientôt on arretera d'enseigner l'Histoire à l'école car ça n'a pas d'application concrête en entreprise sauf dans certains métiers précis.

        C'est aussi un peu parce que les gens ne comprennent pas comment leur ordinateur fonctionnent qu'ils n'arrivent pas à voir le danger et la portée d'initiatives comme DRM.
  • # le libre est-il politique ou technique?

    Posté par  . Évalué à 6.

    JDNet: Le logiciel libre, ça a une connotation politique ? En tout cas on le dirait bien...
    Nat: Libre : oui. Open source : non.


    open-source: purement technique (code source public). ok.

    mais libre?
    - oui c'est politique (voire religieux chez certain ;-)).
    - mais non ca n'est pas que politique, avoir la garantie de perenite par la liberte de publication, voire la garantie de non-alienation par le copyleft, c'est aussi tres technique, je connais des decideurs apolitiques a qui ca plait...
    • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

      Posté par  . Évalué à 6.

      libre
      n'est pas que politique

      je suis d'accord, mais la question portait sur cette seule connotation.

      à mon sens, toutefois, l'open source n'aliène pas davantage que le libre
      • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

        Posté par  . Évalué à 2.

        j'etais un peu allusif, effectivement.
        je voulais dire: la garantie que son propre code ne soit pas aliene par quelqu'un d'autre (et donc la garantie que l'on pourra beneficier des travaux derives de ses propres travaux), est garantie par le copyleft. et cet aspect du copyleft n'est pas politique mais purement technique.


        mes motivations a dire cela sont les suivantes:
        - beaucoup considerent (a mon sens a tort) que le copyleft est uniquement moral (pourquoi les autres se feraient du ble sur mon dos) ou politique (forcons les autres a faire du libre).
        - je pense que c'est un outil comme un autre. adapte dans certains cas. je conseille personnellement aux utilisateurs finals qui utilisent et modifie un logiciel libre de redistribuer les patches (parce que ca signifie mettre le patch dans le mainstream de l'editeur, ce qui est un gage d'economies a l'avenir et de perenite); et, s'ils ont le choix de la licence, de faire du copylefte, parce que c'est un gage de perenite de plus.
        • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

          Posté par  . Évalué à 3.

          Je pense que tu as une idée très restrictive de la politique et de la morale. Parler de perennité et d'économies à l'avenir, c'est une façon de faire de la politique (et d'énoncer une morale qui est que l'on doit juger les actes à l'aune de leurs effets globaux et à long terme).
          • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

            Posté par  . Évalué à 1.

            tu joues sur les mots.
            par politique j'entends choix de societe, choix de systeme economique (capitaliste, socialiste, etc.), et non pas "politique de gestion".
            faire des economies n'est pas un choix politique.
        • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

          Posté par  . Évalué à 6.

          d'accord avec toi, d'autant qu'une réalisation sous Copyleft peut asseoir la méthode/convention/approche/... correspondante, ce qui s'avère rentable sur le plan tech et même biz lorsque des tiers (fournisseurs, clients ... concurrents !) l'adoptent car fait de son créateur une sorte de ténor, de référence aux yeux de tous.
    • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

      Posté par  . Évalué à 1.

      Moi, ca me dérange toujours quand je vois "politique" et "logiciels libres" dans la même phrase.
      Mais peut-être que je suis le seul !
      • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

        Posté par  . Évalué à -4.

        ouais .
        En fait les journaleux et autres bavards adorent employer le mot "politique" et l'expression "c'est politique" . Alors qu'en realité c'est le mot "liberté" qui convient le mieux. Mais c'est nettement moins "bien" pour eux, ca n'en jette pas assez...

        ( liberté : en clair , les entreprises ne choisissent pas le libre pour faires des economies et pour les qualite techniques, mais pour la liberté vis a vis des fournisseurs.)

        Evidement , a moins de dire que choisir la liberté est un choix politique ... là on n'en sort plus...
        • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

          Posté par  . Évalué à -1.


          Evidement , a moins de dire que choisir la liberté est un choix politique ... là on n'en sort plus...


          T'as raison, c'est compliqué....
          • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

            Le mouvement du logiciel libre est un mouvement qui n'est pas né avec l'invention de l'informatique, on pourrait plutôt rapprocher la philosophie de la FSF de mouvements comme le Free Speech Movement qui s'est dévellopé dans les années 60 aux USA et particulièrement à Berkeley.

            Cependant l'importance de la révolution technologique que nous connaissons avec l'informatique, inovation majeure de l'ordre de l'invention de l'écriture, en fait un enjeu crucial dans la mesure ou la puissance de ces outils ne pourra pas être contrôlée uniquement par quelques sociétés commerciales mais pourra être, sur son versant libre, à la portée de chacun.

            Cependant ce n'est pas parce qu'un logiciel est libre que la Liberté est nécessairement préservée et rien n'empêche d'utiliser un logiciel libre pour, par exemple, constituer un fichier classant les indivudus en fonction de leurs races, de leurs opinions politiques ou de leur préférences sexuelles, mai le rôle du LL n'est pas d'intervenir dans ce débat (ce qui n'empêche pas ses membres d'avoir une opinion.)
        • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

          Il me semble que la question de la liberté d'entreprendre, des libertés individuelles, ..., sont exactement les débats récurents sur la scène politique, non ?

          Maintenant, ça ne veut pas dire que les libre est directement rattaché à un parti politique précis. Heureusement !
          • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

            Posté par  . Évalué à 3.

            exact, tout à fait d'accord avec toi.
            Ma "peur" provient juste du fait que dans un discours/débats avec quelqu'un de néophyte, j'ai souvent remarqué (que ce soit par moi ou par un autre interlocuteur) que les deux mots "LL" et "politique" avait fait 36 fois le tour du cerveau de la personne en face avec, à chaque cycle, une dérive..
            et finalement, à la fin, la personne faisait un doux lien "LL" == "mouvement politique".
            C'est idiot certes, mais c'est un problème qui arrive malheureusement souvent.
      • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

        Posté par  . Évalué à 4.

        Bah, et dans "politique de sécurité", "politique de déploiment" ou "politique de mise à jour" ça te gène encore ?

        Donc si ça te gène tant que "politique" et "ll" soient dans la même phrase, c'est bien que le problème vient de toi... ne confondrais tu pas "politiques" avec "élus" ?
        • [^] # Re: le libre est-il politique ou technique?

          Posté par  . Évalué à 5.

          surement oui, j'ai souvent peur qu'on fasse une liaison rapide entre LL et mouvement politique.
          C'est pour cela que j'aime pas trop utiliser ces deux termes dans la même phrase.
          mais comme tu le précise, ca vient bien de moi :-)

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