Afin, je suppose, de gagner en efficacité et faire des économies dans la mise en place de l’état policier, le président français a décidé de se passer de l’avis de cette éternelle cocue de commission de défenseurs de la liberté, j’ai nommé, la CNIL.
Il apparaît en effet éminemment logique d’éviter de consulter une commission dont on ne tient systématiquement jamais de l’avis !
« Le petit surdoué d’Amiens », comme on le nomme parfois avec fierté dans son ancien lycée, aurait déclaré (…)