• # Article sans abonnement

    Posté par  . Évalué à 10.

    Pour ceux qui ne sont pas abonnés au Monde, un article lisible en entier (probablement pas aussi détaillé que celui du Monde, mais plus que sa version tronquée).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # avec des pincettes

    Posté par  . Évalué à -7.

    j'y ai un petit cru jusqu’à ce qu'il y ai le mots harcèlement moral et demander le lanceur d'alerte comme protection.

    lorsque tu es dans cette état d'esprit l'esprit de revanche et l'explosion de sentiment contre ton employeur peuvent nuire à ton jugement sur des faits. et passé par la presse me rend dubitatif et confirme ce points pour moi.

    pour avoir le statut de lanceur d'alerte, je pense que tous le monde sait comment ça marche ici, et la presse ne fait pas partie des moyens qui permette de l'avoir, coup de bluff ? pour le faire passer pour quelqu'un d’honnête et désintéressé? mettre un petit coup de pression à l'employeur pour une rupture conventionnel ? why not

    par contre que les journaliste saute la dessus pour faire croire qu'elle va bientôt exploser, hum, c'est petit

    • [^] # Re: avec des pincettes

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

      J'ai lu l'article de LCI, dans celui-ci je ne vois pas trop les problèmes que tu pointes. D'après l'article, l'employé a fait rapports de défaillances à sa hiérarchie et pointé du doigt que l'ASN n'était pas mise au courant de ces problèmes. Ayant eu le sentiment d'être mis au placard suite à ça, il a entrepris des poursuites judiciaires et a pris des avocats.

      Jusque là, ça me parait être une procédure plutôt normale. Ça a l'avantage que la procédure est légale et qu'il y aura une enquête, et qu'il ne risque a priori pas être poursuivi pour avoir fait fuiter des documents confidentiels, comme ça aurait été le cas si il avait envoyé des document à la presse en cachette.

      Dans l'article du Monde, ils disent que c'est sur le point de péter?

      Un LUG en Lorraine : https://enunclic-cappel.fr

      • [^] # Re: avec des pincettes

        Posté par  . Évalué à 9.

        Non pas du tout.

        L'article pointe du doigt le manque de culture de la sécurité dans cette centrale cumulé a une culture du secret. Le fait qu'il faut absolument d'un point de vue politique prolonger cette centrale (et les autres) a amené les cadres a minimiser les incidents et à reporter la pression sur les salariés du groupe (menacés par SMS/mail, refus de prendre en compte les accidents du travail).

        En fond, on voit que le nucléaire est devenu en France une sorte de totem, les démonter est devenu impossible.

        • [^] # Re: avec des pincettes

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

          En fond, on voit que le nucléaire est devenu en France une sorte de totem, les démonter est devenu impossible.

          A force de nier les problèmes, ça va se démonter tout seul.

          Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

      • [^] # Re: avec des pincettes

        Posté par  . Évalué à -3.

        ah tiens, je pensais que la procédure de lanceur alerte officiel était connu ici, il y a une loi sur ce sujet et c'est très précis, contacter la presse ne fait pas partie de cette procédure.

        attaquer au prudhomme non plus, je suis dubitatif sur la réalité de la gravité de ce qu'il dénonce sans respecter la loi en vigueur sur le sujet, vu qu'il a un parti pris assez important dans cette affaire -> négocier une rupture conventionnel de ouf.

        surtout qu'il a un avocat qui le conseil et qui doit connaitre cette loi. sans avocat on peut penser a la bonne foi de cette démarche, avec j'ai un gros doute.

        loi sapin II pour ceux que cela interresse

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