Être dans une fac de lettres implique qu'à la moindre goutte de pluie, la cour et les rues alentour se remplissent par magie d'une gigantesque vague de parapluies.
Naviguer à travers ces ondulations à têtes de tissu coloré et d'aiguillons métalliques se fait alors au péril de sa vie.
# Re: Pensée-minute (et mouillée)
Posté par Ramón Perez (site web personnel) . Évalué à 1.
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