Journal Lancement du netlabel de l'Aigle | LAM000 communication zero

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21
nov.
2007
La création d'un netlabel est un moment très particulier. Des mois de travail, de recherches en tous genres et de stress.

L'aigle mécanique se devait de marquer le coup avec un évènement particulier. Alors, nous avons la joie de vous annoncer la sortie du premier album. Et pas des moindres !

Accueillons avec plaisir "Not your friend" de Communication zero (mark XIII district) !!! Et oui M. PI nous a fait la joie de nous garder cet album sous le coude et de nous permettre de poser la première pierre (sans aucun jeu de mot!) de ce projet.

C'est ainsi que vous pourrez découvrir une bombe electro/indus, un mur de son qui s'empare de vos enceintes et vous retourne la tête comme des litres et des litres de vodka.

Cet album marque hélas la fin de ce projet, mais un projet s'éteint, un netlabel se crée, cercle de la vie et renouveau...

Alors...longue vie je l'espère à notre netlabel et...enjoy. La communication pose peut-être problème mais laissez vous simplement porter par la musique Wink

Venez nous retrouver nombreux sur le http://netlabel.laiglemecanique.com

PS: sous licence creative commons http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/
  • # ok d'accord

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    bon juste un commentaire sur la forme (j'ai pas écouté, j'ai cru comprendre que c'était de la musique à écouter, je verrai ca plus tard) - faut s'accrocher pour comprendre.
    N'oublie pas qu'on dispose pas tous du contexte, et là, ce que tu cherches à expliquer est quand même très mystérieux en tout cas à mes yeux.

    À propos, des litres et des litres de vodka j'pense que ca me retourne plus l'estomac que la tête, mais j'ai pas l'intention d'essayer :))
    • [^] # Re: ok d'accord

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 0.

      Il y a quand même des mots-clés comme netlabel ou album => on parle de musique.

      Pas de mention du genre parce que "it's all relative" mais effectivement j'aurai pu préciser que cela fait parti de la famille électronique.
      • [^] # Re: ok d'accord

        Posté par  . Évalué à 3.

        j'aurai pu préciser que cela fait parti de la famille électronique.

        C'est fait :
        C'est ainsi que vous pourrez découvrir une bombe electro/indus


        Par contre, je me demande toujours autant ce que c'est que l'Aigle Mécanique avant d'être un netlabel (ya bien un lien mais la flemme, toussa).
  • # Bah oui mais...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    ...çapucépalibre.

    Parcequ'il faut bien que quelqu'un se dévoue.
    • [^] # Re: Bah oui mais...

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      Oui c'est pas libre comme certains l'entendent.
      On aurait pu encoder en ogg vorbis aussi.

      Mais c'est garanti sans DRM :D
      • [^] # Re: Bah oui mais...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

        Bof, les DRM ne sont qu'une manifestation concrète de cette volonté, que je juge malsaine (c'est mon avis, je le partage et l'approuve), de contrôler le savoir. Dans une licence CC-by-nc-nd, cette volonté de contrôle est toujours présente.

        Nous sommes des nains sur l'épaule d'un géant, mais certains nains aimeraient bien contrôler le géant.
        • [^] # Re: Bah oui mais...

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

          Contrôler le savoir?

          "Chacune de ces conditions peut être levée si vous obtenez l'autorisation du titulaire des droits sur cette oeuvre."

          C'est de cela dont tu parles?

          Tu peux "reproduire, distribuer et communiquer cette création au public" dans un but non commercial simplement en citant l'origine.

          Quel est le problème réellement pour toi en fait?
          • [^] # Re: Bah oui mais...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

            CC-by-nc-nd est couramment admise comme non libre à cause des restrictions qui sont imposées.
            À titre personnel je pense que CC-by-nc-nd appliquée à la musique est une forme de licence libre, même si le "nd" me pose un peu problème, la libre redistribution me semble l'élément fondamental. (Dans le cas du logiciel, l'aspect "travail dérivé" a beaucoup plus d'importance)

            Réfléchissez à retirer la clause nd, d'ailleurs, parce que à mon avis ça va pas changer grand chose, peut-être vous faire un peu de pub, et contribuer à améliorer l'image.

            Une question tant qu'on y est : pourquoi l'album est-il téléchargeable à partir de archive.org ? pensez à le partager sur bittorrent ou quoi....

            enfin, une remarque par rapport à l'album pour ceux qui se demandent s'ils doivent écouter - c'est de l'électro agressif voire assez violent, dans le genre à retourner la tête. Pas trop fait pour écouter en codant, et clairement pas une musique d'ambiance, mais intéressant à petite dose.
            • [^] # Re: Bah oui mais...

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

              Peut-être que je ne comprends pas bien la licence.

              Mais pour les clauses restrictives elles peuvent être levées avec l'accord des ayants droits (ici le compositeur). C'est à mes yeux une assurance d'être au courant de l'utilisation qui pourrait en être faite à l'avenir qu'une réelle ressource financière.

              Nous utilisons archive.org comme d'autres netlabels pour l'espace de stockage. Une simple question économique (nos revenus sont faibles voir déficitaires quand on organise des soirées) qui nous interdit un hébergement important et de qualité (actuellement nous sommes chez online et... enfin celui qi connaît toutes les règles du jeu de cet hébergeur me fait signe).

              Bittorent est effectivement un complément intéressant mais cela reste lié à un client (même si aujourd'hui n'importe qui devrait pouvoir installer un client).

              Je script en écoutant cette musique mais à chacun sa sensibilité ;)
              • [^] # Re: Bah oui mais...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.


                Mais pour les clauses restrictives elles peuvent être levées avec l'accord des ayants droits (ici le compositeur). C'est à mes yeux une assurance d'être au courant de l'utilisation qui pourrait en être faite à l'avenir qu'une réelle ressource financière.

                Bah oui, l'assurance de pouvoir contrôler l'utilisation du savoir et de la culture. Nous contrôlons vos savoirs, nous contrôlons votre esprit. Bravo!
          • [^] # Re: Bah oui mais...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

            Le problème c'est qu'on ne peux QUE «reproduire, distribuer et communiquer cette création au public dans un but non commercial».

            Le problème c'est l'appropriation de la culture et du savoir. Le problème c'est que cela limite sévèrement la propagation et l'amplification de la culture et du savoir (on se base toujours sur quelque chose).

            Par exemple dans ton cas, si je veux chanter une chanson d'un de tes artistes à un concert que je fais, je ne peux pas le faire de manière spontané (du moins légalement). Il faut que je demande l'autorisation à l'avance, et si ses majestés les auteurs m'en accordent le droit. Aussi on peut aimer une ½uvre et être en froid avec les auteurs de celles-ci, parceque par exemple ces des gros connards néo-nazi. Du coups, adieu leur fantastique ½uvre parceque sinon tu te mangeras un procès.

            De manière générale, comme dis, je trouve tout simplement malsain de réclamer autre chose que la paternité d'une ½uvre. Tout simplement parcequ'une ½uvre se découvre, et ne se crée pas (on ne la sort pas du néant).

            Limiter la publication du savoir et de la culture c'est aussi une atteinte à la liberté d'expression de chacun, c'est un intolérable (pour moi) despotisme.
          • [^] # Re: Bah oui mais...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            Et puis «Chacune de ces conditions peut être levée si vous obtenez l'autorisation du titulaire des droits sur cette oeuvre», mais je me marre quoi, ils auraient pu mettre la même chose dans le texte sur le droit d'auteur, le brevet, les marques déposés, où je ne sais qu'elle autre forme de propriété intellectuelle.
            • [^] # Re: Bah oui mais...

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

              J'appelle cela voir le mal partout dans le cas présent. C'est limite un cliché extrémiste mais libre à toi de ne penser que du mal de cette licence.

              Tu pourrais nous comparer à universal ce serait plus simple à mon avis.

              Tu veux chanter une des chansons de cet album? Mais as-tu seulement écouté? Tu te rendrais compte que ce serait difficile :D mais possible après tout.
              Dans le genre qui nous intéresse plus particulièrement tu pourras toujours sampler les morceaux, à moins d'un plagiat honteux, personne t'enverra la sacem ou la riaa.

              La levée des conditions sont-elles si restrictives franchement?

              De façon générale, de la musique légale, en téléchargement gratuit, sans DRM, quel que soit le style (je ne prêche pas que pour notre paroisse), en tant qu'audience lambda , répondrait à mes attentes.

              • [^] # Re: Bah oui mais...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.


                J'appelle cela voir le mal partout dans le cas présent. C'est limite un cliché extrémiste mais libre à toi de ne penser que du mal de cette licence.


                Ce sont des faits, qu'on ne peut nier donc : des personnes veulent le contrôle sur des ½uvres.
                Et mon avis dessus qui n'engage que moi : c'est Mal(tm).

                Après on peut ne pas être de mon avis, je respecte l'opinion de chacun, je ne le partage pas forcément.


                Tu veux chanter une des chansons de cet album? Mais as-tu seulement écouté? Tu te rendrais compte que ce serait difficile :D mais possible après tout.


                Je parlais de manière général pour la musique, au temps pour moi. Bah ton album par exemple, je ne pourrais pas légalement le diffuser dans un bar par exemple, vu que je gagne de l'argent en vendant des boissons. Enfin voila, c'est juste le premier exemple qui me passe par la tête.

                Dans le genre qui nous intéresse plus particulièrement tu pourras toujours sampler les morceaux, à moins d'un plagiat honteux, personne t'enverra la sacem ou la riaa.

                Tu risques pas de m'envoyer à la SACEM puisque d'après ce que j'ai compris les auteurs de ce netlabel n'y sont pas inscrit.

                Par contre, un de ces auteurs pourrait me trainer devant les tribunaux pour avoir diffusé une de ces ½uvres dans un cadre commerciale...

                La levée des conditions sont-elles si restrictives franchement?

                Pas plus que celle d'un brevet ou d'une ½uvre sous droit d'auteur. Ou tout autant si tu préfères.

                De façon générale, de la musique légale, en téléchargement gratuit, sans DRM, quel que soit le style (je ne prêche pas que pour notre paroisse), en tant qu'audience lambda , répondrait à mes attentes.

                Tout est dit, tu veux du gratuit, sans restrictions techniques. Moi ce à quoi j'aspire c'est du libre, payer ne me dérange pas pour obtenir du libre (dans la limite de ce que je peut raisonnablement me payer bien sûr), sans restrictions légales.

                Ce n'est pas une question de prix, c'est une question de liberté.

                Les ½uvres sont autre chose que des produits de consommation à mes yeux, elles sont un patrimoine social et un moyen d'expression de l'individu.
                • [^] # Re: Bah oui mais...

                  Posté par  . Évalué à 2.


                  La levée des conditions sont-elles si restrictives franchement?


                  Pas plus que celle d'un brevet ou d'une ½uvre sous droit d'auteur. Ou tout autant si tu préfères.


                  Tu veux dire sous copyright , parce que sans droit d'auteur ta licence GPL , ou ta licence Art Libre , c'est au mieux des bytes gaspillés , au pire un papier cul
                  • [^] # Re: Bah oui mais...

                    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                    Je veux bien jeter la GPL et la licence art libre aux chiottes si on y met également toute forme de propriété intellectuelle, leur véritable place.
                    • [^] # Re: Bah oui mais...

                      Posté par  . Évalué à 3.

                      Ce qui serait franchement dommage pour le logiciel libre.
                      Dans un monde de BSDsounours, ok, se débarrasser du droit d'auteur ne poserait pas trop de problème.
                      Mais sans droit d'auteur, et donc sans licence comme la GPL, comment inciter les développeurs qui réutilisent du code à partager à leur tour leurs contributions (sous forme de code source, j'entends) ?
                      • [^] # Re: Bah oui mais...

                        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                        Tu peux les inciter en leur expliquant les avantages que cela procure. Tu ne peux pas les y obliger.

                        Par contre les personnes qui ne font pas de retour n'ont aucun contrôle sur les binaires distribués, ce qui empêche toute interdiction de reverse-engenering. Après on peu faire de l'assombrissement tout ça, c'est vrai.

                        Je trouve que c'est un compromis plus équitable que ce que permet le droit d'auteur aujourd'hui. Bien sûr c'est mon avis, je comprends que tout le monde ne le partage pas.
  • # sacem

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Comment ce passe la relation avec la sacem ? Etes vous declaré ?
    • [^] # Re: sacem

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      Nous ne sommes pas déclarés à la sacem.

      Le problème ne devrait pas se poser puisque les artistes n'y sont pas déclarés non plus.

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