Le truc qui ne sert presque jamais… Ceux qui savent ce que c'est qu'un nom d'hôte font ça en console, les autres n'en ont pas besoin. Aucun intérêt donc.
Il existe certainement des utilisateurs de Gnome qui n'utilisent pas la ligne de commande, et qui sont heureux de pouvoir modifier le nom de leur ordinateur. Par exemple : pour attribuer des noms différents à leurs machines, afin de les distinguer sur un réseau local. Cela me semble donc utile que Gnome offre cette fonctionnalité.
D'ailleurs, je ne comprends pas ton raisonnement :
Tu estimes qu'il n'y a « aucun intérêt » à ce que Gnome propose cette fonctionnalité.
j'imagine que c'est plus simple, mais c'est faisable sans.
Faire fonctionner la totalité de Gnome 3.10 sans utiliser systemd est certainement faisable. J'imagine que pour cela, il faut modifier lourdement Gnome (et maintenir ces modifications pour les futures versions de Gnome). Qui est volontaire pour faire ce travail ?
Ça commence à faire beaucoup de choses à mettre à la poubelle juste pour un DE, et un init.
L'éventuel abandon de SysVinit par Debian n'est pas dû qu'à ça ; les systèmes d'init modernes (Upstart, OpenRC ou systemd) apportent des fonctionnalités séduisantes.
Ça marche très bien pour mes nouveaux fichiers ou ceux modifiés depuis le dernier backup, mais ça n'efface pas sur les disques externes les fichers que j'ai entre-temps supprimés sur le disque interne.
in the past.
[…]
The command below compares the current files in répertoire-où-sauvegarder with the files in trucs-à-sauvegarder, displaying which ones have changed :
Le système de fichier btrfs […] a été considéré comme stable pour l'usage quotidien.
C'est le système de fichiers par défaut à l'installation ? Dans la mesure où btrfs n'a pas encore été déclaré stable par ses mainteneurs officiels, c'est un choix audacieux !
Petite erreur dans la dépêche :
Finitions
openSUSE 13.1 arrive avec une amélioration du lissage des polices grâve au nouveau moteur de polices Freetype 2.5.
Aujourd'hui, c'est mon troisième jour avec mon tout nouveau clavier TypeMatrix 2030. Je voulais revenir un peu dessus pour faire un premier retour rapide.
Quelle est ton opinion sur la position centrale des touches Suppr, Del et Entrée (qui les rend autant accessibles par les index des deux mains) ?
Diantre, je parlais des touches «guillemet français droit» et «guillemet français gauche».
Sainte Merde, ce quiproquo de fou ! :o)
Et là, tu vas pas me dire qu’il n’y a pas de touche qui écrit «guillemet français droite» quand même! :p
Non, mais je vais te dire que les caractères « et », s'ils sont effectivement indisponibles sur le clavier azerty, sont présents sur d'autres claviers que le bépo ! Je viens d'essayer dans une console :
$ loadkeys fr-latin9
Le « est obtenu avec AltGr+W, le » avec AltGr+X. :–)
Je ne crois pas avoir vu de touche « ou » sur l’azerty !
Je ne comprends pas : sur le bépo non plus il n'y a pas de touche « ou », non ?
Une licence sur un truc est, à mon avis, la liste des droits et des interdictions de l'utilisateur du truc. C'est-à-dire : ce que l'utilisateur a le droit de faire avec le truc, et ce qu'il ne peut pas faire avec le truc. Qu'est-ce que les utilisateurs peuvent faire avec une disposition de clavier libre qu'ils n'ont pas le droit de faire avec une disposition de clavier pas libre ?
Ah, un commentaire positif parmi tous les grincheux de Linuxfr ! :)
N'accorde pas trop d'importance aux grincheux. Ce n'est pas parce qu'ils grognent longtemps qu'ils sont nombreux :-) Et merci encore d'avoir fait intégrer le bépo dans kbd, cela va faciliter la vie de beaucoup de monde !
ayant aussi une disposition custom, j'aimerai savoir s'il n'y a pas moyen de faire autrement.
Pour ma part, j'utilise le programme xmodmap pour personnaliser la disposition bépo. Au démarrage de ma connexion graphique, la commande suivante est automatiquement lancée :
$ xmodmap /home/pikachu/.xmodmap.conf
Cela applique des règles de personnalisation du clavier qui surchargent celles du système. Le fichier /home/pikachu/.xmodmap.conf contient ceci :
! Smiley sous les touches C, T, S et N :
keycode 43 = c C NoSymbol NoSymbol copyright U0001F60D
keycode 44 = t T NoSymbol NoSymbol U0001F61E U0001F610
keycode 45 = s S NoSymbol NoSymbol U0001F60A U0001F604
keycode 47 = n N NoSymbol NoSymbol U2661 U2665
! Caractère # accessible directement avec AltGr+D :
keycode 31 = d D NoSymbol NoSymbol numbersign numbersign
! Le séparateur décimal est la virgule (au lieu du point) :
keycode 91 = KP_Delete comma NoSymbol NoSymbol period U202F period
Cette méthode ne nécessite pas de créer de fichier dans le répertoire /usr/share/X11/xkb/, il n'y a donc pas besoin des droits administrateur sur la machine pour personnaliser sa disposition de clavier. De plus, les mises-à-jour du paquet xkeyboard-config n'affecte pas cette méthode. En revanche, il est nécessaire que le paquet xmodmap soit installé sur la machine.
si Lennart réécrit une bonne partie des services pour qu’ils s’interfacent mieux avec systemd, pourquoi pas. […] Le problème avec une partie des autres, c’est qu’il faudrait en finir un avant d’en ajouter d’autres. Un automount suffisant sauf si on en a vraiment besoin, une gestion de l’ACPI suffisante sauf si on en a vraiment besoin, c’est quand même dommage. Autant en faire moins, mais les faire jusqu’au bout. […]
D’un côté, on a systemd qui remplace le système d’init en faisant aussi le café et la vaisselle, d’un autre, on a des services associés qui ne font que la moitié de leur boulot. Il ne sont pas à la hauteur.
C'est nouveau, ça vient de sortir : systemd proposera prochainement systemd-networkd pour gérer le réseau (plus d'explications par ici).
personne n’avait entrepris de contacter les développeurs du projet kbd.
Défi accepté.
Merci pour ton initiative !
J’ai donc recontacté le mainteneur, et les fichiers ont été à nouveau renommés : ce sont désormais les fichiers fr-bepo.map et fr-bepo-latin9.map, disponible dans la toute fraiche version 2.0.1 de xkb
Non, puisque là, on est sur les postes clients et qu’il n’est pas lancé.
C’est autofs qui est lancé et il est bien stoppé au bon moment… sauf qu’il reste parfois des répertoires encore montés derrière.
Si systemd s'obstine à « patiner pendant un certain temps dessus », l'option TimeoutStopSec=, placée dans le service qui patine, diminuera l'attente (mais ne résoudra pas le problème).
Le problème avec une partie des autres, c’est qu’il faudrait en finir un avant d’en ajouter d’autres. […] Autant en faire moins, mais les faire jusqu’au bout.
Entièrement d'accord sur ce point. J'utilise systemd pour remplacer cron, mais pour la gestion de l'énergie, je préfère utiliser le service acpid plutôt que systemd. Systemd veut faire trop de trucs, il se propose même de remplacer la commande mount. Par exemple, si vous avez un point de montage /media/data dans votre fstab, on peut remplacer
Changer la priorité ne va pas tout du diminuer la charge, ça va juste permettre aux autres processus d'avoir plus de temps d'exécution mais au final, il aura toujours le problème des ventilateurs qui tourneront.
C'est parfaitement exact, nous sommes d'accord. Le changement de priorité permettra juste d'éviter que
journald sature les accès disque et le cpu
Autrement dit, l'ordinateur restera utilisable, même lorsque journald fera des opérations lourdes.
les pics d'utilisation CPU […] ont lieu dans journald lui même alors que je ne fais aucune requête utilisateur. […] journald sature les accès disque et le cpu.
Ah. J'avais mal compris.
Si les modifications proposées par Xavier Claude ne fonctionnent pas, tu pourras diminuer la priorité de journald pour accéder aux ressources (je viens d'essayer chez moi, ça marche) :
j'observe très souvent journald qui prend 80% d'un de mes deux cœurs
Même constatation chez moi. C'est parce que journalctl affiche tous les logs enregistrés, qui peuvent remonter à plusieurs mois. journalctl -b n'affiche que les logs du boot actuel, la consommation processeur est alors infiniment moindre.
Il y a d'autres options pour afficher moins d'informations, et ainsi diminuer la consommation du processeur :
À noter que journald peut utiliser beaucoup d'espace disque (répertoire /var/log/journal et commande journalctl --disk-usage). On peut limiter cet espace disque en utilisant les bonnes options dans le fichier texte /etc/systemd/journald.conf. Chez moi, j'ai mis MaxRetentionSec=3week.
Systemd remplace (hormis le système d’init) l’automontage (mal), la gestion de la veille (sans fournir toutes les fonctionnalités non plus), les journaux système …
→ Systemd propose une alternative à autofs (avec l'option x-systemd.automount à ajouter dans le fstab). Si cette solution ne satisfait pas ton besoin, libre à toi de ne pas l'utiliser, et de préférer autofs.
→ Systemd se propose de gérer la mise en veille. Si tu préfères qu'il ne le fasse pas, voici comment faire : avec un éditeur de texte, modifie le fichier /etc/systemd/logind.conf, et utilise les options suivantes :
HandlePowerKey=ignore
HandleSuspendKey=ignore
HandleHibernateKey=ignore
HandleLidSwitch=ignore
Bien entendu, tu peux utiliser le traditionnel démon acpid pour gérer la mise en veille, l'hibernation, etc.
→ Systemd centralise les journaux système, et tu peux utiliser syslog qui écrira les logs dans des fichiers texte.
Bref : que ce soit pour l'automontage, la gestion de l'énergie ou le format des logs, l'utilisateur a le choix.
À l’opposé, sur un serveur, le démarrage parallélisé, voire à la demande, rend plus difficile de vérifier que tous les services ont démarré correctement.
Si le démarrage parallélisé des services ne répond pas à ton besoin, tu peux personnaliser les fichiers .service pour imposer un ordre de démarrage :
$ cat /etc/systemd/system/truc.service.d/personnalisation.conf
[Unit]
# truc.service doit être lancé après machin.service :
Requires=machin.service
After=machin.service
Il arrive que des points de montage NFS restent après l’arrêt du réseau
Ah.
Peut-être avec en personnalisant nfsd.service ?
$ cat /etc/systemd/system/nfsd.service.d/personnalisation.conf
[Unit]
# nfsd.service doit être *lancé après* reseau.service,
# et *stoppé avant* reseau.service :
Requires=reseau.service
After=reseau.service
Au démarrage, reseau.service sera d'abord lancé, puis ensuite nfsd.service. Et à l'extinction, nous aurons l'ordre inverse : nfsd.service sera stoppé le premier, puis ensuite reseau.service sera stoppé (comme expliqué sur ce lien).
Oui et non.
Les logs générés par journald sont des fichiers binaires ; pour autant, il est parfaitement possible d'utiliser syslog avec systemd. Voici comment faire :
Installez syslog (chez moi, syslog-ng)
Demandez le lancement automatique de syslog-ng au démarrage, avec la commande systemctl enable syslog-ng.service
Pour que journald redirige les logs vers syslog, ajoutez l'optionForwardToSyslog=yes dans le fichier de configuration /etc/systemd/journald.conf (ce fichier de configuration est un fichier texte, comme tous ceux contenus dans le répertoire /etc/systemd/).
Au démarrage suivant, le répertoire /var/log/ contiendra les fichiers habituels générés par syslog :
daemon.log
everything.log
messages.log
user.log
errors.log
auth.log
kernel.log
syslog.log
Tous ces fichiers sont des fichiers texte. Je viens d'essayer un
tail -f /var/log/messages.log
et ça fonctionne : les nouveaux évènements du système s'affichent en temps réel.
Si au moins on avait des arguments, là on pourrait discuter, mais là, c’est vraiment du troll pur et simple.
Effectivement. Autant l'entretien est intéressant, détaillé et bien écrit, autant la réponse à cette dernière question est bâclée. C'est dommage, l'opinion argumentée d'un développeur *BSD sur systemd est certainement intéressante à connaître.
Confirmation : le support de Red Hat Enterprise Linux est de 10 ans, et peut s'étendre jusqu'à 13 ans.
Avec support pendant 10 ans de la même version du noyau ?
Je l'ignore. J'imagine mal, vu le nombre de clients qui utilisent leurs produits pour des applications critiques, que Red Hat prenne le risque de changer la version du noyau en cours de route.
[^] # Re: Gnome fonctionne-t-il sans systemd ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Gnome 3.8 dans debian Jessie !. Évalué à 3.
Il existe certainement des utilisateurs de Gnome qui n'utilisent pas la ligne de commande, et qui sont heureux de pouvoir modifier le nom de leur ordinateur. Par exemple : pour attribuer des noms différents à leurs machines, afin de les distinguer sur un réseau local. Cela me semble donc utile que Gnome offre cette fonctionnalité.
D'ailleurs, je ne comprends pas ton raisonnement :
Tu traines ton ressentiment contre systemd dans tous tes posts. Qu'est-ce que ça sera si le Comité Technique Debian décide d'utiliser systemd par défaut !
[^] # Re: Ouais et j'ai pris cher...
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Gnome 3.8 dans debian Jessie !. Évalué à 7.
C'est un risque lorsque l'on utilise testing. La FAQ de Debian précise même que testing peut être cassée pendant plusieurs mois.
[^] # Re: Vendredi
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Gnome 3.8 dans debian Jessie !. Évalué à 3.
Ah. J'ils vois plus clair \(ö)/
[^] # Re: Gnome fonctionne-t-il sans systemd ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Gnome 3.8 dans debian Jessie !. Évalué à 1.
D'après les commentaires de cet article, Gnome 3.10 ne fonctionne que partiellement sous OpenBSD.
Faire fonctionner la totalité de Gnome 3.10 sans utiliser systemd est certainement faisable. J'imagine que pour cela, il faut modifier lourdement Gnome (et maintenir ces modifications pour les futures versions de Gnome). Qui est volontaire pour faire ce travail ?
L'éventuel abandon de SysVinit par Debian n'est pas dû qu'à ça ; les systèmes d'init modernes (Upstart, OpenRC ou systemd) apportent des fonctionnalités séduisantes.
# Gnome fonctionne-t-il sans systemd ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Gnome 3.8 dans debian Jessie !. Évalué à 4. Dernière modification le 22 novembre 2013 à 14:57.
Gnome fonctionne-t-il correctement sans systemd ? Les développeurs de Debian ont beaucoup discutés sur le fait que Gnome dépend de plus en plus de systemd. Le Comité technique de Debian a même été saisi pour choisir le système d'init de Jessie (voir la présentation des candidats sur le wiki Debian).
EDIT : Ouh, ça sent le brulé :o)
# rdiff-backup
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au message Backup : faire mieux que cp -fRuv mais aussi simple ?. Évalué à 5. Dernière modification le 21 novembre 2013 à 13:10.
Pour cela, j'utilise rdiff-backup.
rdiff-backup propose cela :
# Btrfs par défaut ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche openSUSE 13.1 est là. Évalué à 4.
C'est le système de fichiers par défaut à l'installation ? Dans la mesure où btrfs n'a pas encore été déclaré stable par ses mainteneurs officiels, c'est un choix audacieux !
Petite erreur dans la dépêche :
# C'est fait !
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Ça y est : la version 2.0.1 de kbd est disponible sous Archlinux. Il suffit maintenant d'un :
ou d'un :
pour avoir un clavier bépo en console. Génial !
# Suppr, Del et Entrée
Posté par Sylvain Blandel . En réponse au journal Où l'on essaye le TypeMatrix, J+3. Évalué à 1.
Quelle est ton opinion sur la position centrale des touches
Suppr
,Del
etEntrée
(qui les rend autant accessibles par les index des deux mains) ?[^] # Re: licence ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Sainte Merde, ce quiproquo de fou ! :o)
Non, mais je vais te dire que les caractères
«
et»
, s'ils sont effectivement indisponibles sur le clavier azerty, sont présents sur d'autres claviers que le bépo ! Je viens d'essayer dans une console :Le
«
est obtenu avecAltGr+W
, le»
avecAltGr+X
. :–)[^] # Re: licence ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire. Sur mon clavier bépo, au-dessus de la touche « é », il y a trois touches :
" 1 — „
« 2 < “
» 3 > ”
Je ne vois pas de touche qui, lorsqu'on appuie dessus, affiche la lettre « o » suivie de la lettre « u ».
[^] # Re: licence ?
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Je ne comprends pas : sur le bépo non plus il n'y a pas de touche « ou », non ?
Une licence sur un truc est, à mon avis, la liste des droits et des interdictions de l'utilisateur du truc. C'est-à-dire : ce que l'utilisateur a le droit de faire avec le truc, et ce qu'il ne peut pas faire avec le truc. Qu'est-ce que les utilisateurs peuvent faire avec une disposition de clavier libre qu'ils n'ont pas le droit de faire avec une disposition de clavier pas libre ?
Ma question est sincère.
[^] # Re: Mon expérience après pas mal de temps
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
N'accorde pas trop d'importance aux grincheux. Ce n'est pas parce qu'ils grognent longtemps qu'ils sont nombreux :-) Et merci encore d'avoir fait intégrer le bépo dans kbd, cela va faciliter la vie de beaucoup de monde !
[^] # xmodmap
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 2.
Pour ma part, j'utilise le programme
xmodmap
pour personnaliser la disposition bépo. Au démarrage de ma connexion graphique, la commande suivante est automatiquement lancée :Cela applique des règles de personnalisation du clavier qui surchargent celles du système. Le fichier
/home/pikachu/.xmodmap.conf
contient ceci :Cette méthode ne nécessite pas de créer de fichier dans le répertoire
/usr/share/X11/xkb/
, il n'y a donc pas besoin des droits administrateur sur la machine pour personnaliser sa disposition de clavier. De plus, les mises-à-jour du paquetxkeyboard-config
n'affecte pas cette méthode. En revanche, il est nécessaire que le paquetxmodmap
soit installé sur la machine.Plus d'infos sur xmodmap.
[^] # Re: C’est du propre
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 1.
C'est nouveau, ça vient de sortir : systemd proposera prochainement
systemd-networkd
pour gérer le réseau (plus d'explications par ici).# Merci
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Merci pour ton initiative !
kbd plutôt ?
[^] # Re: C’est du propre
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 3.
Si systemd s'obstine à « patiner pendant un certain temps dessus », l'option TimeoutStopSec=, placée dans le service qui patine, diminuera l'attente (mais ne résoudra pas le problème).
Entièrement d'accord sur ce point. J'utilise systemd pour remplacer cron, mais pour la gestion de l'énergie, je préfère utiliser le service
acpid
plutôt que systemd. Systemd veut faire trop de trucs, il se propose même de remplacer la commandemount
. Par exemple, si vous avez un point de montage/media/data
dans votre fstab, on peut remplacerpar
# Gnome dépendant de systemd
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Debian 7.2 et futur gel de Debian 8.0. Évalué à 8.
La dépendance de plus en plus forte de Gnome envers systemd génère actuellement d'intenses discussions sur les listes de Debian.
[^] # Re: Utiliser syslog avec systemd
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 1.
C'est parfaitement exact, nous sommes d'accord. Le changement de priorité permettra juste d'éviter que
Autrement dit, l'ordinateur restera utilisable, même lorsque
journald
fera des opérations lourdes.[^] # Re: Utiliser syslog avec systemd
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 0.
Ah. J'avais mal compris.
Si les modifications proposées par Xavier Claude ne fonctionnent pas, tu pourras diminuer la priorité de journald pour accéder aux ressources (je viens d'essayer chez moi, ça marche) :
Les paramètres Nice et IOSchedulingClass sont expliquées sur cette page.
Peut-être faudra-t-il faire de même avec les unités
systemd-journal-flush.service
etsystemd-journal-gatewayd.service
?[^] # Re: Utiliser syslog avec systemd
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 6.
Même constatation chez moi. C'est parce que
journalctl
affiche tous les logs enregistrés, qui peuvent remonter à plusieurs mois.journalctl -b
n'affiche que les logs du boot actuel, la consommation processeur est alors infiniment moindre.Il y a d'autres options pour afficher moins d'informations, et ainsi diminuer la consommation du processeur :
À noter que
journald
peut utiliser beaucoup d'espace disque (répertoire/var/log/journal
et commandejournalctl --disk-usage
). On peut limiter cet espace disque en utilisant les bonnes options dans le fichier texte/etc/systemd/journald.conf
. Chez moi, j'ai misMaxRetentionSec=3week
.[^] # Re: C’est du propre
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 10.
→ Systemd propose une alternative à autofs (avec l'option x-systemd.automount à ajouter dans le fstab). Si cette solution ne satisfait pas ton besoin, libre à toi de ne pas l'utiliser, et de préférer autofs.
→ Systemd se propose de gérer la mise en veille. Si tu préfères qu'il ne le fasse pas, voici comment faire : avec un éditeur de texte, modifie le fichier
/etc/systemd/logind.conf
, et utilise les options suivantes :Bien entendu, tu peux utiliser le traditionnel démon
acpid
pour gérer la mise en veille, l'hibernation, etc.→ Systemd centralise les journaux système, et tu peux utiliser
syslog
qui écrira les logs dans des fichiers texte.Bref : que ce soit pour l'automontage, la gestion de l'énergie ou le format des logs, l'utilisateur a le choix.
Pour vérifier qu'un service a bien démarré :
Pour déboguer :
Les mêmes options, en version courte :
Si le lancement d'un service à la demande ne répond pas à ton besoin, tu peux lancer ce service automatiquement au boot :
Si le démarrage parallélisé des services ne répond pas à ton besoin, tu peux personnaliser les fichiers
.service
pour imposer un ordre de démarrage :Ah.
Peut-être avec en personnalisant
nfsd.service
?Au démarrage,
reseau.service
sera d'abord lancé, puis ensuitenfsd.service
. Et à l'extinction, nous aurons l'ordre inverse :nfsd.service
sera stoppé le premier, puis ensuitereseau.service
sera stoppé (comme expliqué sur ce lien).[^] # Utiliser syslog avec systemd
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 7.
Oui et non.
Les logs générés par
journald
sont des fichiers binaires ; pour autant, il est parfaitement possible d'utilisersyslog
avecsystemd
. Voici comment faire :syslog
(chez moi,syslog-ng
)syslog-ng
au démarrage, avec la commandesystemctl enable syslog-ng.service
journald
redirige les logs verssyslog
, ajoutez l'optionForwardToSyslog=yes
dans le fichier de configuration/etc/systemd/journald.conf
(ce fichier de configuration est un fichier texte, comme tous ceux contenus dans le répertoire/etc/systemd/
).Au démarrage suivant, le répertoire
/var/log/
contiendra les fichiers habituels générés parsyslog
:Tous ces fichiers sont des fichiers texte. Je viens d'essayer un
et ça fonctionne : les nouveaux évènements du système s'affichent en temps réel.
[^] # Re: C’est du propre
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 4.
Effectivement. Autant l'entretien est intéressant, détaillé et bien écrit, autant la réponse à cette dernière question est bâclée. C'est dommage, l'opinion argumentée d'un développeur *BSD sur systemd est certainement intéressante à connaître.
[^] # Re: Au risque de paraitre un peu raleur (encore) ....
Posté par Sylvain Blandel . En réponse à la dépêche Après 101 tours de jeu, fin de partie pour le noyau 3.0.x. Évalué à 3. Dernière modification le 26 octobre 2013 à 14:48.
Confirmation : le support de Red Hat Enterprise Linux est de 10 ans, et peut s'étendre jusqu'à 13 ans.
Je l'ignore. J'imagine mal, vu le nombre de clients qui utilisent leurs produits pour des applications critiques, que Red Hat prenne le risque de changer la version du noyau en cours de route.