webdev a écrit 2 commentaires

  • [^] # Re: HTML 5 et P2P

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Node.js v0.2.0. Évalué à 2.

    Node ne fonctionne pas dans un navigateur. L'essentiel du programme est écrit en C et ne tourne que sur Linux. Javascript est utilisé comme langage d'extension. Les applications reposant sur Node sont écrites en Javascript, pas Node lui-même.
  • [^] # Re: De la maturité des bases No SQL...

    Posté par  . En réponse à la dépêche NoSQL : Neo4J, Riak, Kyoto Cabinet et Graylog2. Évalué à 6.

    Le "NoSQL" est plus un mouvement en réaction au quasi monopole du SQL dans les années 90 qu'une technologie en soi. C'est un retour à la normale après un monopole anormal. On ne peut pas stocker les photos de millions d'utilisateurs dans un cluster MySQL, du moins ce n'est pas la solution idéale. Amazon S3 et Riak sont optimisés pour cela. D'autres bases "NoSQL" sont optimisées pour d'autres usages. Certaines peuvent répartir leurs données sur plusieurs serveurs (Cassandra, CouchDB), d'autres non (Kyoto Cabinet, Redis). Certaines ont des indexes secondaires (ou les vues de CouchDB), d'autres non (Riak, Voldemort).

    Les bases non-SQL sont très utilisées, puisque Memcached en est une (optimisée pour le cache). D'après ma petite expérience, le gros problème de ces nouvelles bases est leur manque de maturité (fonctionnalités, stabilité) et surtout de documentation, à part pour GAE et AWS (heureusement, vu leurs tarifs) et Memcached. La meilleure documentation que j'ai trouvé est celle de CouchDB, la pire était celle de Cassandra. Disons qu'en utilisant une base NoSQL aujourd'hui, on se retrouve dans la même position que ceux qui utilisait MySQL fin 1990/début 2000.

    Pour un petit site de e-commerce ou la vitrine d'une PME, il est clair qu'une solution LAMP est suffisante. Les solutions NoSQL sont destinées principalement aux applications web plus ambitieuses. Commencer avec MySQL et envisager de tout réécrire lorsque l'application aura du succès est une erreur, à mon avis.