C’est certain le sujet est d’importance économique, et le rôle du libre — dans une acception sensiblement plus large mais incluant celle généralement admise ici (merci au passage à Zenitram pur son rôle de gardien infatigable des bons usages) — y est prépondérant. Il faut bien avouer que les positions des éditeurs sont relativement fragiles : le travail est réalisé aux frais des instituts de recherche (essentiellement publics) ; puis analyser & évalué par les mêmes (peer review) ; puis facturé toujours aux mêmes bonnes poires (les fameux pear) par les éditeurs après tout de même un vrai de boulot de classification, d’édition, et de publication. Ça fait tout de même beaucoup de beurre et d’argent pour une contribution relativement minime à l’ère du logiciel libre.
Je ne peux accéder à l’intégralité de l’article. Mais les équivoques de la première phrase et notamment de l’expression « analyse de la production scientifique » m’évoquent impérieusement ce genre de réflexion :
# Sujet de dépêche ?
Posté par Ysabeau 🧶 🧦 (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 8 (+5/-0).
Je crois qu'il y a vraiment quelque chose à faire là-dessus.
Voir aussi ce lien
Lire aussi les commentaires de l'article, évidemment :-)
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
[^] # Re: Sujet de dépêche ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 5 (+3/-0).
C’est certain le sujet est d’importance économique, et le rôle du libre — dans une acception sensiblement plus large mais incluant celle généralement admise ici (merci au passage à Zenitram pur son rôle de gardien infatigable des bons usages) — y est prépondérant. Il faut bien avouer que les positions des éditeurs sont relativement fragiles : le travail est réalisé aux frais des instituts de recherche (essentiellement publics) ; puis analyser & évalué par les mêmes (peer review) ; puis facturé toujours aux mêmes bonnes poires (les fameux pear) par les éditeurs après tout de même un vrai de boulot de classification, d’édition, et de publication. Ça fait tout de même beaucoup de beurre et d’argent pour une contribution relativement minime à l’ère du logiciel libre.
Je ne peux accéder à l’intégralité de l’article. Mais les équivoques de la première phrase et notamment de l’expression « analyse de la production scientifique » m’évoquent impérieusement ce genre de réflexion :
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
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