Dogville

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Pascal Terjan.
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juin
2003
Cinema
A l'occasion du festival de Cannes, et maintenant dans vos cinéma (depuis une semaine déjà), est sorti Dogville, le dernier film de Lars Von Trier.

A l'affiche, dans le role titre Nicole Kidman, Lauren Bacall et Jean Marc Barr (que je n'ai pas vu ...).
L'histoire en quelques mots : dans un hameau microscopique perdu dans les Rocheuses, apparait un jour Grace, jeune fille poursuivie par des gangsters cherchant à la tuer.

Elle sera cachée par les habitants contre du travail. Mais bientôt, alors que les recherches s'intensifient, l'attitude des habitants envers la pauvre Grace se modifie ... Ce film est un violent réquisitoire contre les Etats Unis et la bassesse de ses habitants. Le générique de fin est à ce titre un moment d'anthologie de cynisme.

Filmé dans un hangar, avec uniquement des marques sur le sol pour représenter les maisons et quelques meubles epars, le décors est minimaliste, mais sert l'histoire d'une manière remarquable.

Le jeu des acteurs est superbe, et la voix du narrateur ajoute beaucoup à l'atmosphère oppressante de ce huis-clos.
Ce film est dur, mais allez le voir ! Il est absolument génial !

Aller plus loin

  • # Re: Dogville

    Posté par  . Évalué à 8.


    Ce film est un violent réquisitoire contre les Etats Unis et la bassesse de ses habitants. Le générique de fin est à ce titre un moment d'anthologie de cynisme.


    Pas du tout d'accord. Ce n'est pas tourné contre les Etats Unis. L'histoire racontée est universelle: une "illustration", un exemple. D'autre part, cynisme n'est pas le mot juste. C'est bien trop simplificateur. C'est plutot une "illustration" de la loi du plus fort.
    • [^] # Re: Dogville

      Posté par  . Évalué à 4.

      Je ne sais pas pourquoi, mais le thème du film me fait penser au "festin de Babette"
      Une espèce de hui-clos sociologique qui tourne mal.
      • [^] # Re: Dogville

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        je n'avais pas remarqu que le "Festin de Babette" tournait mal !
        il me semblait au contraire que c'était l'ouverture et le dépaysement pour une communauté de personnes qui vivent dans leur microcosme, ça tourne plutôt bien, non ?
      • [^] # Re: Dogville

        Posté par  . Évalué à 1.

        De mon coté ne voyant la fin du film, j'ai plutôt pensé à "Un justicier dans la ville" avec Charles Bronson.
        Le coté "je fais ma justice tout seul" m'a un peu dégouté et c'est pour cela que je ne l'ai pas forcément conseillé à mes amis pour passer un bon moment.

        Cependant, je suis indéniablement esbaourdi par la maestria de Lars Von Triers dans sa mise en scène. Je ne partage pas son propos, et ses idées, c'est tout...
    • [^] # Re: Dogville

      Posté par  . Évalué à 6.

      Heu, les images du generique de fin viennent de cliches de la crise de 29 ... aux Etats Unis.

      Apres, effectivement l'histoire est universelle mais elle a lieu aux USA...

      "Le cinéaste explique qu’il a conçu Dogville par défi à ceux qui lui reprochaient d’avoir fait un film (Dancer in the dark) sur les Etats-Unis sans jamais y avoir mis les pieds."

      http://cinema.telerama.fr/edito.asp?art_airs=MAF2124100&vrub=2&(...)
      • [^] # Re: Dogville

        Posté par  . Évalué à 3.

        La photo de nixon ne doit pas dater de 1929. Télérama peut *aussi* dire n'importe quoi...
        Le diaporma commence au début du siècle et se finit.. je ne sais plus quand. Mais je vais retrouner voir ce film très très bientôt.
  • # Re: Dogville

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

    " Ce film est un violent réquisitoire contre les Etats Unis et la bassesse de ses habitants"
    Ca se passe aux US certe mais cela fonctionnerait partout ailleurs. La bassesse n'est pas propriété americaine.....On la retrouve dans toutes les cultures! La preuve en est....
    Ceci dit le film est interressant en effet! Et bien que preferant de plus en plus les vieux Lars Von Trier cela merite le detour (+ que swimming pool qui est raté...Grrr Francois Ozon!)
  • # Re: Dogville

    Posté par  . Évalué à 4.

    Je le conseille aussi chaudement...

    Pour JM Barr, je l'avais pas vu non plus, mais une fille (elles ont l'oeil ;-) m'a dit qu'il faisait le conducteur de la premiere voiture de gangster passant à Dogville.
    A verifier...
  • # Re: Dogville

    Posté par  . Évalué à 6.

    Ce film est un violent réquisitoire contre les Etats Unis et la bassesse de ses habitants.

    Personnellement, je n'ai pas ressenti ça. Il me semble que c'est une histoire beaucoup plus universelle que ce film essaie de raconter, et que le fait qu'elle se passe aux USA n'est qu'un "hasard" (parcequ'on y trouve beaucoup de petites villes isolées, parce que l'époque "gangsters", parce que c'est plus vendeur pour le juteux marché US,...) mais que ça aurait pu se passer dans n'importe quel pays. Les traits de caractéres dénoncés au cours du film ne m'ont jamais semblés particuliérement américains.

    Pour le reste, je ne peux pas être plus d'accord : c'est génial. Le meilleur film que j'ai vu cette année, je pense (et d'ailleurs, ce millénaire :) et j'attends la suite de pied ferme.

    Bref, ne soyez pas trop effrayés par la longueur (une fois qu'on est dedans, ça passe tout seul) ni par les décors minimalistes (idem) et allez le voir.
    • [^] # Re: Dogville

      Posté par  . Évalué à 5.

      En sortant du film, j'ai demandé aux types qui s'occupaillent de ma petite salle préférée ce qu'ils en avaient pensé.

      -M. tshirt rouge : très très moyen. En plus cette fin d'ume morale toute protestante, c'est vraiment ça en fait qu'il démontre : la rigueur protestante, le vieux machin de la vengeance, loi du talion etc... et comme il ne se cache pas d'être devenu profondément religieux...
      -votre serviteur : ah. tu vois la fin comme ça toi ? Il n'y aurait qd même pas un je ne sais quoi en rapport avec les états-unis qd même, là, avec ce diaporama ? C'est bien là que le film prend fin non ?
      -M.t.r : il me semble que c'est juste un pied de nez.
      [...]
      -Mlle mini-mini : Son meilleur film. l'universalité blabla....
      -Mlle mini-mini-2 : la veangeance de fin est un vrai acte de femme et ce n'est pas un acte sauvage. (???)
      -M. veste longue : une lumière extra, un décor kitu blabla...
      -M. dernier : malgré la durée, malgré un sujet difficile, malgré Nicole Kidman, malgré Lars von Triers, un très bon film.
      (M. dernier avait de l'humour).
      Bref, je n'en ai pas encore bcp parlé "en société", mais ce qui ressort pour le moment c'est que ce film se laisse approprier facilement et que chacun semble vouloir/pouvoir y trouver son compte.
      Lars , un un nouvel Amélien ? Dogville, un film raffarinesque ?
      Je ne dirai pas pourquoi j'ai adoré ce film :-) (dogville).
      Deux choses.
      - Kidman : Qu'une actrice à XX millions de $ par film accepte (et réussisse à convaincre ses agents) pour tourner là-dedans m'étonne. En tout cas elle joue presque très très très bien. Elle s'en fout mais : "bravo madame".
      - Les états-unis s'en prennent véritablement plein la gueule (ou lars von triers se fait son cinéma à propos des états-unis, comme vous voudrez). Universel, peut-être, mais ça se passe bien "dans cette petite ville des montagnes rocheuses où la rue des ormes n'a pas d'ormes", le narrateur nous le dit au moins 5 fois... qd même :-)

      à propos du narrateur qui me disait quelque chose : le même que celui de Barry Lindon. Qq'un sur f.r.c.d. n'a donc pas manqué de paralléliser sur l'itinéraire du personnage décalé dans une société qu'il ne comprend pas.
      Il va y avoir du Dogville en maitrise de cinéma l'année prochaine.
      • [^] # Re: Dogville

        Posté par  . Évalué à 1.

        Je suis d’accord que la fin ressemble un peu à une fin style « loi du talion » (œil pour œil, dent pour dent) et ça semble un peu expédié. J’ai cherché pour voir s’il y avait plus loin a voir dans le religieux en voyant dans « Grâce » (nom évocateur) une figure de Jésus, mais il semble que Lars veut nous faire oublier cette idée dès le début puisqu’elle est d’emblée une voleuse. Même si c’est le seul mal qu’elle commet pendant les neufs premiers actes, elle n’est pas parfaite. Toutefois, elle a un regard naïf sur l’humanité (qui est je crois représentée par la population de cette ville). Elle pense d’abord que les gens sont bons puis qu’ils sont en quelque sorte victimes de leurs instinct a l’instar d’un animal, d’un chien. On peut sans trop se tromper supposer que cette ville s’appelle « Dogcity » pour cette raison. Mais nous même, les spectateurs, nous ne pouvons qu’être horrifié par la méchanceté de ces gens, ce qu’elle même ne semble pas voir. Même son « ami », Tom, se sert d’elle depuis le début pour illustrer ces thèses. Jusqu’au bout on veut croire qu’il est gentil, mais même face au « jugement dernier» sa traîtrise est si évidente que Grâce elle même ne lui fait plus grâce. Il me semble que le film nous renvois à ce qu’est capable de faire l’être humain, chaque être humain, même celui qu’on croit être moins mauvais que les autres (dans le film, Tom, dans la réalité, moi, c’est probablement pour cela que le réalisateur veut qu’on s’identifie à lui). Il semble bien qu’un tel mal doit apporter une conséquence. Qui n’a pas espéré que Grâce serait vengée de la traîtrise de Chuck ou encore de celle de Ben qui devait la délivrer et qui a doublement abusé d’elle ? Pour ma part j’aurais aimé voir Tom entrer avec une batte de base-ball… Mais la « rétribution » à la fin du film semble tellement cruelle, ces enfants tués devant leur mère… La vengeance était le moteur de cette rétribution et non la justice, en ça Grâce faillit une deuxième fois. Elle utilise le pouvoir d’une façon qui nous révolte. Je me rends compte que ce film me renvois à mes actes, je ne suis pas meilleurs que n’importe lequel d’entre vous ni même qu’aucun personnage de ce film. Il me semble juste qu’il y ai une rétribution, mais pas dicté par la vengeance, non, il doit bien y avoir autre chose. Ce film donne soif !!!
        • [^] # Re: Dogville

          Posté par  . Évalué à 1.

          ce film est un film nazi.

          tout le film est construit comme une démonstration pour arriver à la conclusion suivante : les déshérités sont des ordures qu'il faut éliminer. je suis arrivé à cette conclusion sur le film juste une seconde avant le générique, et les images montrées me sont apparues exactement telles qu'elles étaient employées par les nazis pour justifier leur actes : regardez ces pouilleux qui ne méritent pas de vivre !

          il y a plusieurs ressorts de la démonstration :

          1) ce qui se passe dans la tête de la pauvre petite, qui nous amène à comprendre de l'intérieur pourquoi les minables méritent d'être exterminés : tu viens gentiement leur apporter la fragile beauté, gratuitement, et ils te mettent en esclavage avant de te vendre. bien sûr, c'est pas vraiment leur fautes, les pauvres, si ils n'ont pas ce sens inné du beau que seuls les maîtres du monde ont à leur disposition. mais on ne peut pas tout excuser, décision terrible de justice, souffrance de l'âme, quand on sait par ailleurs à quel point tous les philosophes ont d'arguments pour justifier les exactions des pauvres. mais il faut savoir être juste. à moins que la miséricorde soit à envisager ? quand on est soit même si bon et généreux, la miséricorde la plus extraordinaire doit être possible ! mais, pas de chance, un rayon de lumière un peu trop cru et patatrac tu vois un poux dans une chevelure, une teigne ou un oeil chassieux, et la triste réalité se dévoile : ces gens sont trop laids pour mériter de vivre !

          2) la question des salopes de mères qui cassent les joujoux des enfants, alors c'est normal qu'on leur tue leurs enfants devant leurs yeux : si la salope de vera est inhumaine au point de faire pleurer la petite grâce en lui cassant ses statuettes, elle mérite bien d'avoir ses enfants tués devant ses yeux. à noter qu'entre les femmes qu'on imagine pouvoir baiser et celles auxquelles on doit seulement la vie, le calcul de qui mérite de vivre est vite fait. et, tu te rends compte, les beaux joujoux qu'elles tient entre ses mains, la bandante grâce, et que l'autre salope bousille, c'est un peu toi et moi !

          3) mais attention, si tu fais joujou avec les pouilleux, si tu vois sous la jupe d'helenne des trésors qui méritent une offrande, mon petit, tu risques gros : ne donnes rien pour rien : ne t'envoie pas trop en l'air gratuitement dans le septième ciel de la générosité, parce que cette salope de classe ouvrière, cette bande de buveuses de dons gratuits risquent de te ratiboiser la générosité : il ne restera de toi qu'un pauvre chien pouilleux, aimable encore parce que encore capable de se faire prendre ailleurs, d'aller se faire voir chez des bonnes pattes prêtes à le nourrir. démonstration à multiples détentes sur l'impossibilité de la gratuité, sur le danger qu'il y a à donner, à faire grâce, sur qui mérite la grâce : par exemple les chiens et pas les hommes. démonstration à connotation érotique sur le rapport entre le bon engagement de celle qui vient du principe paternel, mais malheureusement impossible parce que le corps social, le corps non phantasmé, pour de bon fait de chair avec ses défauts, ses odeurs, ses succions, est l'objet à éliminer, mais tout n'est pas perdu, celle qui venait du mitrailleur revient au mitrailleur, et un corps est épargné dans le grand autre : un chien qui rappelle la masculinité qui s'en sort. coup suivant de retournement supérieurement jouïssif : ce corps masculin préservé à l'étranger peut être acquis par l'acte de le nommer du nom qui fait référence au corps détesté sous la forme du chef des pouilleux. le réalisateur en maître : des belles filles, des mitraillettes, de Moïse lui-même, seule menace à la hauteur d'un maître du monde qui va là où sa confiance le mène.

          une outrance à signaler aussi : la chose qu'il faut faire de soi-même : une balle dans la nuque du philosophe. au cas où on n'aurait pas complètement compris que la défense de la stylistique nazie est aussi un but.

          bien sûr qu'ils ne sont pas drôles, les gens de cette ville. bien sûr que chacun est bas à sa façon. bien sûr que le penseur organisateur se comporte très mal. mais se rend on compte à quel point les dés sont trucqués depuis le départ et pendant tout le film ? quelle est la nécessité qui pousse les gens à la bassesse ? celle que le réalisateur, voix-off divinisante et divinatrice a décidé depuis le départ : je vous montre comment des rats de laboratoires ne savent pas sortir d'un laboratoire. je place des personnages dans une situation impossible pour prouver qu'ils ne s'en sortent pas. bravo la rigueur du raisonnement. un peu le contraire de la tragédie grecque : au lieu de présenter une fatalité vécue par des gens pourtant admirables avec la distance d'une scène pour aimer l'humanité dans ses tragiques épreuves, fabriquer un imbroglio complètement abruti pour prouver qu'il n'y a qu'à cracher sur les miséreux qui n'y peuvent rien. est-ce qu'on imagine sérieusement une fille à papa amenant les subtiles intuitions du bebop à des ouvriers de chez moulinex, mais à condition qu'ils acceptent de la cacher d'une bande mafieux ? prenons que ce soient des idéalistes et qu'ils l'hébergent pour se donner à eux-mêmes des leçons de morale, par mesure de pénitence de peur qu'on leur coupe les crédits, est-ce que la présence de la parfumée ne risquerait pas de se terminer en drame ? mais non, ce n'est pas parce que la situation est complètemment dejantée que les malheurs arrivent, c'est parce que c'est des abrutis. la voix off est là depuis le début pour nous le dire : ce sont des cons. pas le réalisateur, qui reste off. un peu comme un dictateur qui fait un tour de piste avant de lancer les bombes, qui a besoin de bonnes raisons pour exterminer tout le monde.

          c'est l'un des thèmes du film : l'esthétique. les pauvres sont moches. ils ne sont pas sensibles à la beauté, à la grâce. à la vraie grâce, celle que je filme, que je suis seul à posséder, que je ne dois prêter à personne, au nom de laquelle tout doit être décidé. mais, c'est là que le bas blesse, ce film est sans grâce, sa mise en scène n'est pas dépouillée, elle est brutalement nue, d'une nudité qui est une offense aux corps filmés, la voix off est casse-pied, l'intrigue déficiante t'amène à la conclusion dès les trois premières minutes, tu attend avec angoisse comment le verdict ignoble va t'être asséné, comment l'humiliation te sera infligée, humiliation du coeur, du corps, profond ennui du film didactique pour une cause à gerber. et même cette attente n'est pas déçue : tu n'imaginais qu'on puisse t'infliger l'assassinat des enfants devant les yeux des mères, les coups de pistolets dans la nuque comme une tâche à faire soi-même, et, si ! tu y as droit, mais, supplément gratuit, c'est pour une cause juste.

          alors, c'est sûr, il y a un répit : ces faces ruinées de pauvres, crasseux, vulgaires, louches, que l'on pressant puantes, menaçantes, prêtes aux avanies, oui, ces faces ont quelquechose d'humain, et on se prend à espérer vivre dans les taudis les plus reculés du monde pour échapper à la saloperie, oui, ces faces, elles sont belles.
          • [^] # Re: Dogville

            Posté par  . Évalué à 1.

            « Salauds d'pauvres ! » disait Jean Gabin dans "La traversée de Paris" ...
  • # Re: Dogville

    Posté par  . Évalué à 4.

    Ce film fait un peu penser à un "loft" 1930. En effet c'est un film tout à fait excellent. Je le conseille à tous et à toute.
    L'absence de décors, le fait que ce film soit tourner caméra à l'épaule et la longueur ne devrait pas vous empêcher d'aller le voir ! De plus, il est plus vivant en VO ! ! !
    • [^] # Re: Dogville

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      Pardon si ca n'a pas vraiment un sujet avec le fil mais les bande-annonces d'allocine sont elles visibles chez vous ?
      Ou est-ce encore un de ces site qui ne tient pas comptes des utilisateurs linux ?
      Merci.
      J.C
      • [^] # Re: Dogville

        Posté par  . Évalué à 3.

        avec mozilla 1.3 et le plug-in mplayer les jours de beau temps, avec Firebird non :(
        • [^] # Re: Dogville

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

          avec firebird et le plug-in mplayer ca marche aussi.

          Le plus simple et de faire, dans le repertoire de plugin de firebird, un lien symbolique vers chaque plugin de mozilla. Comme ca lors des mise-à-jour de mozilla et ses plugins, firebird en profite.
          • [^] # Re: Dogville

            Posté par  . Évalué à 2.

            Le procédé utilisé par Lars Von Trier est remarquable.
            Les presque trois heures passent toutes seules...

            Je suis en revanche plus réservé sur le propos du film...
  • # DOGVILLE

    Posté par  . Évalué à 1.

    Bonjour,

    quelqu'un(e), pourrait il (elle) me dire ou on peut trouver la musique et les paroles, surtout les paroles du générique de fin ( ce qui est chanté sur les images fixes à la fin )

    par avance merci


    contactsite@wanadoo.fr
    • [^] # Re: DOGVILLE

      Posté par  . Évalué à 1.

      la chanson de fin est de David Bowie "young americans"
      en MP3 sur kazaa ou WinMX sans problème ou chez votre disquaire préféré

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