• # Histoire sympatique

    Posté par  . Évalué à 10.

    Le style de rédaction est agréable et si l'histoire était un peu plus longue on pourrait en faire des nouvelles a publié :-D

    Concernant le fait relaté, on constate bien que la crainte des ondes est encore tenace mais basé sur une ignorance profonde des principes élémentaires de physique. Se sentir mieux a coté d'un brouilleur c'est tout de même assez ironique pour un «électro sensible».

    • [^] # Re: Histoire sympatique

      Posté par  . Évalué à 8.

      Se sentir mieux a coté d'un brouilleur c'est tout de même assez ironique pour un «électro sensible».

      Justement, il est suffisamment sensible aux ondes émises par le brouilleur pour en ressentir du bien-être. Notre type doit être un mutant utilisant de la radiosynthèse (cousin de la photosynthèse) pour se maintenir dans la bonne humeur ou un cyborg ayant une prothèse spéciale pour remplacer le circuit de la récompense biologique.

      Je vous laisse, j'ai un type bizarre en tenue de croque-mort qui me dit par télépathie de faire une pause avec les films de série B.

    • [^] # Re: Histoire sympatique

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.

      Le style de rédaction est agréable et si l'histoire était un peu plus longue on pourrait en faire des nouvelles a publi*é* :-D

      Déja, tu peux aller lire ce recueil de nouvelles qui raconte plein d'histoires d'ondes trop étranges. Et ensuite, Da Scritch a aussi pas mal traité ce sujet dans ses émissions.

      • [^] # Re: Histoire sympatique

        Posté par  . Évalué à 2.

        Excellent le recueil de nouvelles ! Je vais le mettre sur ma liseuse pour attendre quand le train a décider d'aller plus lentement que prévu.

    • [^] # Re: Histoire sympatique

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.

      Non ça montre que le brouilleur fonctionne …au point de brouiller la sensibilité. (:

      “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

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