Je partage car c’était une excellente lecture. Il y a 92 ans, cet article recommandait explicitement une semaine de travail de 20 heures avec d’excellents arguments.
Je trouve très pertinente la partie qui explique que nos sociétés ont choisi de forcer certains à l’oisiveté excessive (= le chômage de masse) et les autres au travail excessif (= le surmenage) et que les deux nous rendent misérables alors qu’un meilleur équilibre entre les deux nous rendrait tous plus heureux.
Alors voilà, meilleurs vœux pour 2024, et je vous souhaite de trouver votre équilibre entre travail et oisiveté.
Courage ! Je sais que mes mots ne pèsent sûrement pas grand chose, mais je compatis.
Aussi je tiens à préciser que j’utilise ici le terme « oisiveté » comme traduction de « idleness » au sens de l’article, qui n’est pas le même que le sens macronien. L’auteur explique qu’une certaine proportion d’oisiveté est nécessaire pour une vie heureuse à l’échelle individuelle, et pour une société saine à l’échelle collective. Il entend par oisiveté le fait de pouvoir poursuivre ce qui nous intéresse indépendamment de l’aspect financièrement viable ou pas. Je le comprends comme la réponse à « qu’est-ce que tu ferais s’il y avait un revenu de base suffisant pour payer le loyer ? ». Bah dans mon cas je passerais le boulot à mi-temps et je ferais plus de musique (sans chercher à en tirer un revenu, juste parce que j’aime ça).
# Pour quand ?
Posté par Guillawme (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.
Je partage car c’était une excellente lecture. Il y a 92 ans, cet article recommandait explicitement une semaine de travail de 20 heures avec d’excellents arguments.
Je trouve très pertinente la partie qui explique que nos sociétés ont choisi de forcer certains à l’oisiveté excessive (= le chômage de masse) et les autres au travail excessif (= le surmenage) et que les deux nous rendent misérables alors qu’un meilleur équilibre entre les deux nous rendrait tous plus heureux.
Alors voilà, meilleurs vœux pour 2024, et je vous souhaite de trouver votre équilibre entre travail et oisiveté.
[^] # Commentaire supprimé
Posté par Anonyme . Évalué à 9.
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[^] # Re: Pour quand ?
Posté par Guillawme (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4. Dernière modification le 07 janvier 2024 à 21:55.
Courage ! Je sais que mes mots ne pèsent sûrement pas grand chose, mais je compatis.
Aussi je tiens à préciser que j’utilise ici le terme « oisiveté » comme traduction de « idleness » au sens de l’article, qui n’est pas le même que le sens macronien. L’auteur explique qu’une certaine proportion d’oisiveté est nécessaire pour une vie heureuse à l’échelle individuelle, et pour une société saine à l’échelle collective. Il entend par oisiveté le fait de pouvoir poursuivre ce qui nous intéresse indépendamment de l’aspect financièrement viable ou pas. Je le comprends comme la réponse à « qu’est-ce que tu ferais s’il y avait un revenu de base suffisant pour payer le loyer ? ». Bah dans mon cas je passerais le boulot à mi-temps et je ferais plus de musique (sans chercher à en tirer un revenu, juste parce que j’aime ça).
[^] # Commentaire supprimé
Posté par Anonyme . Évalué à 3.
Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.
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