Journal Apache sur votre mobile

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juin
2006
Un fabricant de mobile bien connu[1], viens d'annoncer la disponibilité d'un port apache à faire fonctionner sur son terminal.[2]

L'accès au mobile à partir d'un browser (sur PC ou mobile) se fait via une passerelle entre le monde IP et 2G/3G

Apache a donc été porté vers l'OS Symbian et les sources[3] sont disponibles sous licence Apache 2.0

On peut aussi noter qu'il existe un port de python[4] et mod_python

L'interet de la chose heu ... se connecter sur le mobile de P. quand il achète son pain ? ;)

[1] et dont on parle beaucoup ici ces derniers temps
[2] http://opensource.nokia.com/projects/mobile-web-server/
[3] http://sourceforge.net/projects/raccoon
[4] http://opensource.nokia.com/projects/pythonfors60/
  • # L'intérêt ?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7.

    LinuxFr hébergé sur un portable...
  • # ca peut servir

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

    un serveur http sur périphériques portables ca peut être utile pour faire des applications à base de services web (protocole de précédure à distance au dessus de la couche http), cela dis c'est clair qu'un serveur web plus "léger" que Apache ferait aussi bien voir mieux l'affaire :)
  • # apres les sites portails de la bulle Web 1.0

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    ... voici les site portables de la bulle Web 2.0

    il n'empeche que http://opensource.nokia.com/projects/symbian-perl/index.html existe aussi pour tous nos amis trolliformes :)
  • # Chouette

    Posté par  . Évalué à 7.

    Les portables encore relativement épargnés vont enfin s'ouvrir au monde des DoS,Slashdottage, buffer overflow, directory traversal, Cross site scripting et autres joyeusetés :-).

    Je trolle dès quand ça parle business, sécurité et sciences sociales

  • # Je râle

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

    Je suis fatigué, après une dure semaine de travail, et par conséquent un peu (!) râleur.

    Et là je râle, désolé ça tombe sur ton journal, mais j'en ai marre de voir en permanence des références à un certain P. et à sa boulangère. Outre le fait que je n'ai pas suivi la fameuse histoire qui fait tant parler, je trouve que les conditions ne sont pas remplies pour que le comique de répétition fonctionne.

    Voilà, et désolé, je n'aime pas qu'on voie que je râle, et en plus je ne suis pas clair.
    • [^] # Re: Je râle

      Posté par  . Évalué à 2.

      Moi personnellement je n'ai absolument rien contre P. et sa boulangère, mais j'ai tout de même trouvé la remarque quand à l'utilité d'un tel téléphone portable tout à fait bien vue.
    • [^] # Re: Je râle

      Posté par  . Évalué à 3.

      mais j'en ai marre de voir en permanence des références à un certain P. et à sa boulangère.


      N'empêche que c'est quand même fou l'ampleur que ça a pris, cette histoire de boulangère. Après Pierre Tramo et Charles Bronson, l'artisane geek qui entre au panthéon gallolinuxéiste ... 'faudra penser à faire une gallerie.
    • [^] # Re: Je râle

      Posté par  . Évalué à 1.

      Salut Sam ! Héhé c'est pas plutôt Yann ou moi le râleur d'habitude ?
      Voilà le fin mot de l'histoire, ou plutôt Le Post Par Lequel Tout A Commencé : http://linuxfr.org/~ploum/21185.html

      Bisouilles
      • [^] # Re: Je râle

        Posté par  . Évalué à 1.

        tiens, je viens de réaliser un truc :
        "le fin mot de l'histoire", veut dire en fait, "la fin de l'histoire" -> "le mot 'fin' de l'histoire"...
        ça serait pas genre, une expression anglaise mal traduite ?
        • [^] # Re: Je râle

          Posté par  . Évalué à 6.

          En français, la position de l'adjectif n'a été fixée que récemment. Le latin permet de le poser n'importe où. Avec la perte des différents cas (= la modification de la forme du mot suivant sa fonction, comme les désinences en latin), le français a perdu l'information de la fonction du mot. Pour remplacer la perte de cette information dans la morphologie, on l'a replacée dans la syntaxe : la position obligatoire (ou presque).
          Les mots anglais ont une morphologie très peu variable (juste le pluriel, le -s des verbes pour he/she/it, les -ed, -ing des verbes, le -ly des adverbes (et encore, c'est discutable)). Donc la position est très importante en anglais.
          On peut aussi penser au chinois (qui a subi il y a 2000 ans ce que l'anglais subit aujourd'hui).

          Or donc, pendant la phase transitionnelle entre le marquage morphologique des cas et leur marquage positionnel, le français a oscillé et a été plus souple que maintenant (mais il reste encore souple). Cela permet de jolies distinctions : brave homme / homme brave...
          D'ailleurs, le français a un mécanisme oral très pratique pour discerner certains cas ambigus (un peu comme la distinction d'accent en anglais ou en chinois) : la liaison, qui n'est possible qu'à l'intérieur d'un groupe solidaire. P.ex. : « le savant aveugle » qui peut être prononcé avec ou sans liaison (*taveugle) suivant qu'il s'agit respectivement d'un aveugle qui est savant ou d'un savant qui est aveugle.

          Pour revenir au « fin mot de l'histoire », « fin » y est l'adjectif courant : « pas épais ».
          Il faut avoir l'esprit plus fin !

          Ah, elle est fine, celle-là ! -->[]
          • [^] # Re: Je râle

            Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.

            Tu crois que sous ta fausse identité, on ne t'a pas reconnu maître Capello ?!
            • [^] # Re: Je râle

              Posté par  . Évalué à 2.

              Pourtant, j'emballe toutes mes pièces de 10 francs dans du coton avant de les mettre dans le nourrain.
          • [^] # Re: Je râle

            Posté par  . Évalué à 1.

            Euh, et donc ; "le mot pas épais de l'histoire", ça veut dire quoi ?
            • [^] # Re: Je râle

              Posté par  . Évalué à 3.

              D'après le TLFi, étique « FIN, FINE, adj. » :
              I. [Dans des expr.]
              A. Emploi adj. Qui constitue l'extrémité ultime de quelque chose (souvent le tout début ou l'extrême fin).
              [...]
              - Au fig. Le fin mot de. Le mot qui donne la clé de quelque chose. Fabrice comprit le fin mot de tout ce qui lui arrivait (STENDHAL, Chartreuse, 1839, p. 33).

              J'avais mis « pas épais » pour expliciter adjectif courant, en opposition au nom fin. Mais ce n'est pas le sens le plus terre à terre « pas épais » de l'adjectif fin qui est utilisé.

              En fait, c'est une sorte de final dans le sens « à l'extrémité » (et non dans le sens « en rapport avec la finalité, l'objectif »). Ce sens de fin n'est utilisé que dans les expressions.

              En nom masculin, ça veut aussi dire « caché, secret » (dans « le fin du fin »).
              En adj., ça veut aussi dire « complètement » : « fin saoul ».
              Il y a aussi « fin fond ».

              Enfin, fin, c'est finaud.

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