peck a écrit 565 commentaires

1. oui mais
J'aurais plutôt mis */6

2. oui mais
Elle se met après les redirections

Vu les capacités des routeurs, la réponse est toute trouvée.

Il te faut un truc ultra light, statique si possible. Sinon php, db en sqlite, et framework ultraléger ou rien.

Evite le dev pur.

C'est du temps perdu (si on ne compte pas la formation), mais surtout c'est rapidement très lourd à gérer coté évolutions.

Ensuite ça dépend de l'usage que tu compte en faire derrière. Plus c'est gros, plus tu devras l'utiliser souvent pour que ça soit rentable (à la fois en temps et en qualité).

En effet c'est un peu léger, donc il te faudra une distrib qui te permet de choisir facilement des outils adaptés. Je suis personnellement fan de debian, mais une autre distribution générique sera probablement aussi bien.

Installer le minimum ça veut dire : éviter kde/gnome (xfce c'est peut-être encore trop), éviter firefox / openoffice, utiliser autant que possible les outils en ligne de commande.

Ton plus gros problème ce sera la ram. Beaucoup d'outils sont très consommateur (le gimp par exemple).

Une fois ceci acquis, c'est tout à fait jouable. C'est quand on a le plus de contraintes qu'on apprend le plus de choses.

Rrdtool est comme mrtg, il y a tout à fait moyen de conserver tous les échantillons, c'est une question de configuration.
Il suffit que tu indique dans ta base qu'il n'y a pas de consolidation, et que tu n'oublie pas de prévoir une base assez grande pour stocker tes points assez longtemps.

Je n'ai en aucun cas la pretention de dire : MON SITE sera le meilleur parce qu'il y aura TOUTES les infos possibles et imaginables sur linux.

Hum ...

mon objectif c'est que ce site devienne le point centrale des informations sur Linux.

Bon en dehors de ça, je ne critique pas la création du site, c'est une bonne initiative.

Si mon idée de wiki linux ne vous tente pas, soit, je respecte votre opinion. je n'ai pas le soutient de votre forum, qu'a cela ne tienne !

Je ne suis pas LE représentant de linuxfr.

Je suis désolé de te décevoir, mais le fait de créer un site ne va pas attirer tous le contenu des autres vers un seul point. C'est même complètement le contraire qui se passe, puisque ça fera un site de plus dans le fouillis existant.

Tu remarqueras que c'est exactement pareil avec le développement, chacun arrive avec sa lib / son programme en disant qu'ils remplacera tous les autres et que ça simplifiera les chose et finalement, ce n'est qu'un de plus.

Mais attention, je ne dis pas que c'est une mauvaise chose, c'est très bien d'avoir un grand bazar, c'est ce qui fait la force et la qualité du monde du libre, il avance dans toutes les directions à la fois.

Le principe du chainloader, c'est de charger un autre bootloader qui va se trouver au début d'une partition (grub ou lilo c'est pareil).

Donc si c'est le lilo de mandriva qui se trouve dans le MBR (boot=/dev/hda) il faudra lui passer en chainloader windows (other=/dev/hda1) et ubuntu (other=/dev/jesaispas)

Puis il faudra dans ubuntu lui dire d'installer le bootloader dans la partition (boot=/dev/jesaispas) et de préférence lui mettre un timer très court pour éviter de se taper 2 menus de suite.


Sinon le plus sympa serait plutot d'avoir un /boot en commun avec les 2 distributions et de préférence grub pour pouvoir mettre la conf dans /boot et faire les mises à jour proprement -> pas de chainoading, une seule conf partagée, un seul menu au boot.

setterm est l'outil permettant dechanger les propriétés d'un terminal et contrairemnt à la documentation l'inversion vidéo fonctionne aussi sur les consoles linux
setterm -inversescreen on

Il a été acheté en streaming sur emule

C'est un changement positif, ça faisait longtemps que l'interface de vlc avait besoin d'un rafraichissement.

En effet, mettre cette valeur dans /etc/services ne sert qu'à traduire un numéro (16304) en nom (compta_service) et inversement.

C'est pratique pour netstat, telnet et quelques autres applications, mais c'est tout.

On peut y voir un autre intérêt si on le déclare à l'iana qui va alors l'ajouter elle-même publiquement au fichier services ce qui permettrait d'éviter que quelqu'un d'autre utilise ce port pour développer son propre protocole.

Ce n'est pas à ldap que ca ne plait pas, mais à perl.

Soit tu n'es pas dans la bonne locale (export LANG=fr_FR.UTF-8 ou export LANG=fr_FR avant de lancer le script).

Soit tu as choisi ta locale volontairement et alors il va te falloir convertire d'un encoding à l'autre avec iconv http://search.cpan.org/~mpiotr/Text-Iconv-1.7/Iconv.pm (de utf-8 vers iso-8859-15 probablement (ou le contraire))


...
do
file=`printf fichiers/fichier%02d.txt $i`
fonction $file
done


Et pour faire encore plus simple

for file in fichiers/*
do
fonction $file
done


Mais alors finalement, ça n'apporte pas grand chose à linux, c'est juste une compilation de jeux windows de plus.

Je sais bien que les paquets fonctionnent mieux, mais d'un point de vue de windowsien, les jeux sont disponibles directement sous windows et pas sous linux.

C'est vraiment bien, ça permet de montrer que linux c'est pas que pour les geeks. Par contre, c'est justement dommage que le cd ne soit pas disponible en version linux pour bien montrer que les deux fonctionnent de la même façon.

Je me répond pour me corriger :
- Dans le 2e code il y a un ":?" qui n'a rien a faire là
- Dans le 3e code, la regex doit se lire /\G.*?\[(\w+)\]((.*?)\[\/\1\])?/g
- Et enfin on ne gère pas les balises imbriquées portant le même nom, ex : [a][a]toto[/a][/a]

Perl permet les backreference et donc avoir une expression générique qui permet de matcher un début et la fin correspondante (attention aux backquote \, j'écris l'expression au format perl il faut ensuite adapter) :

Donc on va matcher qu'une balise de début a bien une balise de fin correspondante (attention, on ne traite pas s'il y a des balises imbriquées :


/\[(\w+)\].*?\[\/\1\]/


Bien, maintenant on veut matcher toutes les balises, donc on les fait dans l'ordre avec la directive recommencer le match à la fin du dernier match (\G) :

# encore en perl
while( /\G\[(\w+)\](:?.*?\[\/\1\]?)/g )
{
# balise matchee dans $1
# erreur si $2 vide
}


Et enfin on va gérer les balises imbriquées

# toujours en perl
sub valid
{
shift;
while( /\G\[(\w+)\]((.*?)\[\/\1\]?)/g )
{
# balise matchee dans $1
# erreur si $2 vide
valid($3); #on recurse dans la sous partie
}
}


Donc à adapter au php. J'espère ne pas avoir répondu trop a coté de la plaque. Au passage tu peux directement traiter tes balises dans la boucle while ...

Je vote pour une non prise en charge du speed stepping et donc la température monte jusqu'au claquage. C'est bien ça a été l'occasion de nettoyer la poussière ...

Donc pour activer ça ... ben je ne sais plus :-). Il faut le support kivabien dans le noyau, utiliser le bon "governor" : powersave.
Il est fort probable qu'il existe un paquet kivabien qui te fasse ca tout seul.

Désolé pour le peu d'info, mais c'est dejà une piste.

Attention ceci est 100% exact dans le cas de la LGPL.

Je n'ai pas regardé le fonctionnement de OsCommerce, mais un framework contient en général une bibliothèque qui est intégrée aux produits générés. Si cette bibliothèque est en GPL, il n'a pas de droit de l'inclure dans son travail sans mettre celui-ci en GPL.

Après il est vrai que s'il ne redistribue pas son travail (si le site lui appartient et que ce n'est pas réutilisé ailleurs), il n'a aucune obligation (cf freebox).

Tu peux chercher du coté des kvm ip (google est ton ami). Par contre, ca ne fait pas le reboot électrique :)

Tu t'embête avec les <Directory> alors que ce qui t'intéresse, c'est les <Location>

Ils fonctionnent exactement de la même façon sauf qu'il concernent les url et non pas les répertoires sur le disques. Et comme tu le dis si bien 2 url peuvent pointer vers le même répertoire (alias par exemple).

Tu peux essayer de mettre tes tables en innodb plutot que myisam, le système de lock est plus fin et donc devrait poser moins de problème de ce coté là.

Sinon la technique du slave est très bien puisqu'elle décharge complètement de la tâche :
- Mettre en place la réplication : plutot facile, le manuel mysql a un chapitre bien expliqué pour ça
- Le script tourne sur le slave, fait sa table temporaire sur le slave, surcharge le slave
- La table temporaire doit être recopiée sur le master et la ça peut être un peu lourd, il faut voir la taille.

Tu ne peux pas. Il faut regarder partout où quelque chose peut être lancé : shell, cron, init, démons divers, pages web ...

Ou lister ce qui peut être lancé et potentiellement buggé : /usr/local/*bin /root/* ...

Si c'est une partition, elle a pu se faire démonter (erreur de lecture par exemple) -> retour aux droit d'origine du répertoire de départ et disparition du contenu.