pasSteve pasJobs a écrit 16 commentaires

  • [^] # Re: zoli

    Posté par  . En réponse au journal Le 26 Janvier prochain. Évalué à 1.

    Ah non, the dude et moi-même sommes deux personnes bien distinctes. Ce n'est pas parce que plusieurs personnes ont une vision ou des avis communs qu'il faut les confondre.

    Sinon la limitation d'utiliser un iPod avec iTunes est certes fâcheuse, mais cela fait partie de la règle, c'est connu. Après, on n'est pas obligé d'acheter un iPod, il existe d'autres lecteurs sur le marché, dont des modèles beaucoup mieux et beaucoup plus libres dont il a déjà été question sur ce site. Il faut de tout pour faire un monde, et du moment que chacun trouve chaussure à son pied, je ne vois pas de mal.

    En ce qui concerne “l'intégration au bénéfice du client”, je confirme que ce n'est pas un mythe. C'est une solution intégrée, donc tu branches, ça charge dans l'iPod ce que tu lui as dit de charger, pour le reste tu peux aussi gérer les transferts à la main pour être plus fin, bref c'est pas parfait mais c'est sympa et ça marche bien. Pour avoir connu un lecteur USB Mass Storage sans synchro dans une vie antérieure, je confirme que c'est bien plus confortable depuis l'iPod pour l'utilisateur que je suis. Je ne prétends pas être représentatif, je dis juste que pour moi comme pour d'autres utilisateurs, la solution proposée par Apple, malgré ses limitations, est fort appréciable et pourquoi pas préférable.
  • [^] # Re: Annales ?

    Posté par  . En réponse au journal Le 26 Janvier prochain. Évalué à 1.

    Ah tiens, c'est intéressant ce n'est pas mon ressenti d'utilisateur de mac. J'ai pas dû vivre l'expérience standard, ou alors cette histoire d'annales anales est une légende urbaine.
  • [^] # Re: Mélomane

    Posté par  . En réponse au journal Spotify, Deezer et petit calcul. Évalué à 1.

    Les câbles plaqué or c'était valable pour les signaux analogiques voyons, le HDMI c'est du numérique, la qualité est incluse d'office dans le signal !
  • [^] # Re: Oui, mais non

    Posté par  . En réponse au journal Spotify, Deezer et petit calcul. Évalué à 3.

    Justement, je n'ai jamais dit que les maisons de disque étaient indispensables, j'ai juste expliqué qu'elles pouvaient aider grandement les artistes, quoiqu'on pense à leur sujet, par les moyens qu'elles peuvent mettre à leur disposition (moyens de faire de la musique, mais aussi moyens de promotion et de distribution).

    Je suis d'accord qu'un jeune groupe peut faire entendre sa musique sur Internet ; mais est-ce qu'il sera beaucoup écouté, ainsi noyé dans la masse ? C'est une vraie question… Les Black Kids dont je parle plus haut, j'en ai entendu parler début 2008 parce que l'album allait arriver, mais leur EP de 2007, je n'en aurais jamais entendu parler sinon. De même, j'ai connu le groupe MGMT cette même année parce que leur album Oracular Spectacular allait sortir, sur une major. Leurs disques sortis en 2005, je n'en n'avais jamais entendu parler.

    Parmi les moyens qu'un label fournit à ses artistes, il n'y a pas que le studio haut de gamme, il y a la fourniture d'ingénieurs du son, de matériel, d'un producteur renommé… Et qu'on ne me dise pas que ce dernier est accessoire, sinon comment expliquer la relative platitude du premier album des Talking Heads comparé à la trilogie fantastique qui suivit, marquée d'une indéniable créativité et placée sous la production du grand Brian Eno (et à la chute de créativité qui suivit son éviction, certains membres ayant trouvé qu'il cannibalisait un peu trop le groupe…) ? Comment expliquer le fait que l'album de MGMT cité ci-dessus (production Dave Fridmann) sonne tellement bien sur disque alors que les prestations scéniques que j'ai eu l'occasion d'entendre étaient plutôt décevantes ?

    Quand à dire que l'ascension d'un groupe (ou artiste au sens large) doit se faire étape par étape, disons que c'est déjà plus ou moins le cas pour les jeunes artistes signés par un label. Il est rare qu'un jeune groupe nouvellement signé soit mis à pied d'égalité avec un artiste ayant connu un gros succès.

    Un mot sur ton dernier paragraphe, et sur les contrats abusifs pratiqués par certaines maisons de disque ; pour moi il est de la responsabilité de chacun de faire attention à ce qu'il signe, ce qu'il cède et ce à quoi il s'engage. Il y a pléthore d'exemples où des artistes ont cédé des droits sur leur musique en signant leur contrat (au hasard : les Beatles), mais il y a aussi des contre-exemples (Springsteen a gardé ses droits d'édition lorsqu'il a signé avec Columbia, et pourtant quand il a signé au début des années 70 il était agé d'une vingtaine d'années et était totalement inconnu), donc si le contrat est abusif, eh bien il faut aller voir un autre label (oui je sais c'est facile à écrire pour moi, j'imagine bien qu'il y a des histoires de récompenses alléchantes, de couteaux sous la gorge ou de chantage qui entrent en jeu). Bref il faut essayer en toute circonstances d'être libre (c'est le motto de ce site, si je ne m'abuse ?) et en accord avec ses principes.
  • [^] # Re: Troll vieux de 2 ans

    Posté par  . En réponse au journal Spotify, Deezer et petit calcul. Évalué à 1.

    Merci pour ces éclaircissement, c'est vrai que le terme culture est tellement employé qu'on a besoin de recadrer le sens qu'on lui donne en fonction du contexte. Je comprends donc qu'il faut séparer ce qui relève de l'industrie du divertissement de ce qui est connaissance et enrichissement de la société.

    Du coup, cela veut dire que la musique, le cinéma, la littérature romanesque, la peinture, la sculpture ne sont pas de la culture, puisque relevant uniquement du divertissement ou des arts d'agréments…
  • [^] # Re: Oui, mais non

    Posté par  . En réponse au journal Spotify, Deezer et petit calcul. Évalué à 2.

    Le problème, c'est que derrière un morceau de musique, il y a tout un écosystème qui est parfois nécessaire. Si on parle juste de l'enregistrement du morceau, il y a toute une palette de possibilités qui vont de l'enregistrement chez soi à l'utilisation d'un studio professionnel avec des musiciens de session. Selon la formule choisie, le résultat et la qualité obtenue peuvent varier drastiquement.

    Un exemple me vient justement à l'esprit, celui des Black Kids, un jeune groupe d'indie rock qui a commencé à percer il y a deux ans. Leur discographie débute par un EP auto produit, enregistré à leurs frais dans un petit studio et sorti en 2007. Ce disque (purement numérique, il n'est jamais sorti sous forme physique) leur a permis de se faire remarquer par une major, qui a pris en charge l'enregistrement d'un album entier, fournissant les ressources pour rémunérer un gros studio et un producteur (en l'occurrence Bernard Butler, ancien guitariste de Suede). Cet album est sorti en 2008.

    Parmi les morceaux de l'album figurent les cinq titres de l'EP, réenregistrés pour l'occasion. Eh bien quand on écoute les deux versions, il est flagrant de constater que les versions de l'album sont bien plaisantes et de bien meilleures qualités que celles de l'EP. Pourtant ce sont les mêmes chansons, les arrangements sont grosso modo identiques, mais le son est bien meilleur sur l'album.

    Tout cela pour souligner que l'artiste seul ne fait pas tout. L'auto production a de nombreuses vertus, mais dès qu'on souhaite faire des choses un peu plus sophistiqués, l'aide financière et logistique d'un label est nécessaire, et il me parait nécessaire que dans ce cas, cette aide soit être rétribuée en retour sur l'exploitation du morceau. Notez que je parle de label de major ou de label indépendant, je ne cherche pas à faire l'apologie des majors, il se trouve que dans l'exemple que j'ai cité c'était le cas.

    Donc je ne suis pas d'accord sur le fait que les maisons de disques sont de simples parasites, elles participent aussi à la création et à la diffusion de la musique. Si elles étaient amenées à disparaître, je ne suis pas sûr que de me retrouver avec juste des productions personnelles téléchargeables sur Internet me contenteraient… Ce serait une grosse régression par rapport à mon paysage musical actuel.
  • [^] # Re: Troll vieux de 2 ans

    Posté par  . En réponse au journal Spotify, Deezer et petit calcul. Évalué à 1.

    Justement, comment faire la différence entre ce qui est culture et ce qui n'est pas ? Tu parles d'une culture et de la culture, quelle est la différence entre ces deux dénominations ?
  • [^] # Re: O RLY?

    Posté par  . En réponse au journal Cours sur les technos Mozilla à la fac d'Evry. Évalué à 2.

    Je ne vois pas où tu lis que Mozilla prétend sauver les universités françaises. Il s'agit selon moi d'une belle occasion de sensibiliser des étudiants à des problématiques liées au logiciel libre, et de leur faire aborder un cas concret lié aux technologies développées par Mozilla. Je sais que Mozilla a mauvaise réputation auprès de certains utilisateurs de ce site, mais tout de même…

    En ce qui me concerne, j'aurais adoré avoir un cours de ce type lorsque je me trouvais sur les bancs de la fac. Mais bon à l'époque le projet Mozilla était tout juste sur le point d'être annoncé ; ceci dit le logiciel libre n'est pas né avec eux, et j'ai eu ma part de sensibilisation à ces logiciels et leurs qualités grâce à des enseignants qui nous ont orienté vers eux comme supports pratiques de leurs cours.

    Quoiqu'il en soit, bravo à Mozilla (je suppose même que c'est une initiative de Mozilla Europe) et à l'Université d'Évry pour cette démarche, qui je pense pourrait inspirer inspirer dans l'avenir d'autre projets libres ou d'autres équipes pédagogiques.
  • [^] # Re: 222 ?

    Posté par  . En réponse au journal Faites péter le trollomètre. Évalué à 2.

    Oh, c'est ce que j'ai cru observer à quelques reprises depuis que je fréquente ce site ;) (nouvellement inscrit, mais lecteur anonyme depuis un bout de temps)
  • [^] # Re: 222 ?

    Posté par  . En réponse au journal Faites péter le trollomètre. Évalué à 2.

    Même pas… j'ai juste retrouvé une dépêche qui m'avait marqué et dont je me souvenais qu'elle avait généré un nombre important de commentaires. Le contenu de la dépêche est sur un sujet assez trollifère, présenté d'une façon superbement trollifère, et tout cela a généré une discussion hautement trollifère. Bref, un très beau boulot d'élevage de troll de compétition.

    Le sujet abordé ne concerne ni la vie privée ni la neutralité du net, mais plutôt la liberté des utilisateurs, sujet hautement sensible qui peut donc générer des discussions passionnées et parfois passionnantes, lorsqu'elles ne dérapent pas.
  • [^] # Re: 222 ?

    Posté par  . En réponse au journal Faites péter le trollomètre. Évalué à 1.

    Bon moi j'ai réussi à mesurer un troll à 198.4, avec une page à 462 commentaires. C'est un superbe spécimen, une vraie bête de compétition !
  • [^] # Re: Belle initiative !

    Posté par  . En réponse au journal La liberté informatique - une question de connaissance. Évalué à 2.

    C'est sûr que le BASIC est loin d'être le meilleur langage pour apprendre à programmer, mais comme il était facile à prendre en main (pas de compilation, mots-clé du langage intuitifs pour les anglophones…) je suppose que c'est pour cela qu'il a été mis par défaut dans toute une génération de micro-ordinateurs.

    Sinon nous sommes d'accord sur le fait que d'un point de vue algorithmique, cela permettait de faire des horreurs !
  • [^] # Re: Belle initiative !

    Posté par  . En réponse au journal La liberté informatique - une question de connaissance. Évalué à 1.

    C'est vrai que sur les PC sous DOS, il y avait un BASIC fourni, mais ce sont les PC sous Windows que j'avais en tête en rédigeant mon commentaire (ben oui, des PC sous DOS ça fait un bout de temps que j'en ai pas eu entre les mains).

    À mon avis le bouquin dont tu parles devait effectivement comporter au moins de petits programmes, ce sont donc les premières lignes de code que tu aies lu ;)

    Quand à savoir si nous parlons du même bouquin, je ne pense pas car dans le mien les robots ne faisaient pas de courses, et il est antérieur à l'Atari ST. Mais je constate que les robots étaient très à la mode pour enseigner la programmation ;)
  • # Belle initiative !

    Posté par  . En réponse au journal La liberté informatique - une question de connaissance. Évalué à 4.

    Voilà une chouette initiative, qui remet au goût du jour l'apprentissage des bases de la science informatique à destination des enfants. Oh, comme un autre commentateur plus haut, je me demande si l'âge cible des enfants précisé pour chaque activité n'est pas un peu trop optimiste, sachant que certains sujets abordés sont quand même assez pointus. Ceci dit les enfants peuvent être étonnants dans leur capacité d'apprentissage et de raisonnement, aussi me garderai-je bien d'émettre une réelle critique.

    Cela me rappelle que dans les années 80, à l'époque où les foyers n'avaient pas encore été envahis de PC, on y trouvait de petits ordinateurs 8 bits, le plus souvent branchés sur la télé familiale, et pourvus en standard d'un langage de programmation BASIC. Je me souviens que cela avait produit toute une génération de programmeurs hobbyistes, à commencer par moi-même. Je me souviens qu'on trouvait dans les magazines informatiques des listings à taper, et qu'on trouvait aisément des livres d'apprentissage à la programmation, y compris à l'hypermarché du coin. Impensable quand on connait la situation actuelle…

    Il me semble que c'est dans les années 90, lorsque sont arrivées des machines plus puissantes (machines 16/32 bits comme l'Atari ST et l'Amiga, puis les PC abordables en masse) que cet aspect de l'informatique personnelle s'est perdu, et que les manuels de maîtrise de l'interface graphique de l'OS et des logiciels dominants ont remplacé les bouquins d'initiation à la programmation à l'hypermarché du coin. Ceux d'entre vous qui ont connu les époques dont je parle, est-ce que c'est aussi votre impression ?

    Pour ma part, je suis quand même très content d'avoir connu ces années 80 ; et en ce qui concerne l'informatique sans ordinateur, j'ai connu ça puisque j'ai touché mon premier ordinateur 6 mois après avoir appris les rudiments de la programmation par moi-même, dans un chouette bouquin destiné à initier les gamins à l'informatique – des petits robots illustraient les différentes actions des instructions BASIC présentées. C'étaient vraiment bien fichu pour cette tranche d'âge, avec une présentation à la fois ludique et pédagogique.
  • [^] # Re: D'où l'importance des sauvegardes

    Posté par  . En réponse au journal Qui à dit que les léopard des neiges ne mangaient pas d'/home ?. Évalué à 1.

    Par bling-bling je suppose que tu veux dire joli et ergonomique ; c'est en tout cas mon expérience de Time Machine, que je n'ai à aucun moment trouvé pénible à utiliser.
  • [^] # Re: D'où l'importance des sauvegardes

    Posté par  . En réponse au journal Qui à dit que les léopard des neiges ne mangaient pas d'/home ?. Évalué à 1.

    Effectivement, les Time Capsule rééditent les défaillances de leurs ancêtres les bornes Airport. C'est une des choses très regrettables chez Apple…
    Toutefois, on peut heureusement utiliser Time Machine avec un disque externe branché sur le Mac. Parait-il qu'on peut même maintenant effectuer les sauvegardes sur des disques réseau, chose qui n'était pas possible avec les premières moutures de Time Machine, mais je n'ai pas encore testé.
    Et de toute façon, une règle d'or en matière de sauvegarde, c'est d'avoir toujours un double, au cas où…