Mamtine a écrit 2 commentaires

  • [^] # Re: suggestions pour une v2

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Christine Peron des Ordis libres. Évalué à 1.

    Merci pour ce retour.
    Pour le terme copyright, effectivement le terme français est le droit d'auteur, mais c'est un terme qui parle à tout le monde. On pourrait le préciser la prochaine fois et retravailler ce que vous précisez sur les licences.

    A suivre donc.

  • # Concernant les collectivités locales

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Circulaire du Premier ministre sur l’usage des logiciels libres dans l’Administration. Évalué à 1.

    Je viens de lire avec beaucoup d'intérêt cette circulaire.
    Elle est très intéressante. Va-t-elle suffire? l'avenir le dira. Ce qui est sûr c'est qu'elle est indispensable pour avancer et donner une impulsion.
    Mais pas forcément suffisante.
    Elle peut être utile dans les services où des volontaires se heurtent aux freins de leur hiérarchie.

    J'ai été surprise de voir cette circulaire signée par Ayrault, vu le peu d'utilsiation des logiciels libres à la mairie et à la communauté urbaine de Nantes. (une seule DSI gère les 2 entités). Car, s'il y a bien des logiciels utilisés pour les serveurs et quelques applis internes à la DSI, il y en a très peu sur les postes de travail et aucune volonté spécifique de développer en libre et en interne des applications métiers.
    Et c'est bien dommage.
    Les compétences d'une commune ou d'une communauté urbaine sont définies par la loi (gestion de l'eau, des déchets, des écoles, de la voirie, de l'urbanisme…) Les communes et communautés urbaines ont donc des besoins très récurents en termes de logiciels métiers. Or actuellement les politiques (mais plus réellement les directeurs DSI) choisissent entre 2 options: faire développer un logiciel sur mesure par une boitre privée ou acheter un logiciel existant chez unéditeur.
    Pourquoi une commune, ayant les moyens d'avoir sa propre DSI, ne développerait pas en interne et en libre, pour ensuite en faire bénéficier d'autres communes plus petites?
    Cela demande évidemment d'avoir du personnel formé et en nombre suffisant.
    Mais je suis convaincue que cela intéresserait beaucoup de jeunes développeurs de travailler dans un cadre comme celui-ci, innovant et créatif, d'avoir un vrai rôle social et reconnu dans la société.

    Le développement de logiciels adaptés, maîtrisés par les utilisateurs est un enjeu de démocratie dans les entreprises. Beaucoup trop de salariés ne maîtrisent plus leur propre outil de travail.

    Pour moi, développer en libre c'est , quelque part, remettre l'utilisateur du logiciel au coeur de son métier.