Test d'Ubuntu 6.06 LTS

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Jaimé Ragnagna.
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juin
2006
Ubuntu
Suite à la sortie de la dernière version stable d'Ubuntu, voici un test contenant de nombreuses captures d'écran sur la version de base d'Ubuntu ainsi que quelques captures de KUbuntu (les paquets pour KDE 3.5.3 sont d'ailleurs disponible en libre téléchargement après l'installation de votre Ubuntu).

Ce test a été fait sur de nombreuses machines (étant donné que j'ai de nombreuses stations de travail qui ont tourné sur Dapper depuis les versions béta) et différentes architectures (principalement i386 et amd64).

Pour rappel, cette dernière version se distingue par l'ajout de GNOME 2.14, Xorg 7.0, OpenOffice.org 2.0.2, noyau 2.6.15 avec de nombreux patches et détection automatique de matériel via udevplug. Le LiveCD (version station) propose un installateur en quelques étapes pour simplifier l'installation pour les débutants.

En définitive, il s'agit d'une bonne version qui comporte quelques problèmes mineurs et propose une alternative récente aux distributions comme SuSE ou Mandriva. Elle comporte également (pour le moment) une prise en charge un peu plus complète au niveau matériel que Debian (unstable).

Aller plus loin

  • # Xubuntu

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    xubuntu : Version avec simplement X, brute de pommes


    Un détail, Xubuntu, c'est une Ubuntu avec XFCE par défaut comme environnement de travail, ce que tu décris correspond plus à la version serveur...

    Esperons que les commentaires ne dérapent pas sur un troll Debian/Ubuntu comme pour l'article sur la sortie de la distribution...
    • [^] # Re: Xubuntu

      Posté par  . Évalué à 10.

      ça serait si mal ?

      allaï je me dévoue, vu sur le blog de Kurt Pfeifle où il aborde en 3 parties les déboires de CUPS dans Dapper :
      Update: Debian packager Adeodato Simo wrote a comment to my previous blog entry, establishing as a fact that the instructions in the README.Debian.gz file in fact where not added by "upstream Debian" (as someone in #kubuntu tried to suggest to me). Isaac Clarencia confirmed to me (also in IRC, in channel #nx), that Debian does not disable the CUPS web interface. He installed a CUPS 1.2.1 from "testing" and found it fully functional. Given these facts, I personally think it very misleading conduct by the Ubuntu packagers (I don't suspect intentional dishonesty), to add 2 paragraphs into the README.Debian.gz file that is signed by Debian packager Jeff Licquia without making obvious who added the modifications.

      A clean way to handle this kind of stuff would be to add their own README.Canonical.gz and sign that with their own names as packagers. I wonder how many more packages are affected by this kind of stuff? I'm now beginning to understand some of the bad moods I encountered when talking to hardcore Debian developers about Ubuntu.... Isn't that easily fixable?

      le lien qui va bien -> http://www.kdedevelopers.org/blog/418
    • [^] # Re: Xubuntu

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

      J'ai recu quelques emails à ce sujet, j'ai corrigé l'article, désolé pour la confusion ...

      Steph
  • # Ubuntu une alternative à Mandriva ?

    Posté par  . Évalué à 0.

    Vu les parts de marché actuelles, j'aurais dit le contraire (et encore...).
    • [^] # Re: Ubuntu une alternative à Mandriva ?

      Posté par  . Évalué à 10.

      et puis je n'appelle pas ça un test, quelques captures d'écran à la va-vite tout au plus.

      Pourquoi ne pas avoir développé les problèmes rencontrés ?
      En quoi les points forts sont-ils démontrés ?
      La lecture des DVD et l'ouverture de 2-3 documents suffit-il à valider la pertinence d'un OS ?
      • [^] # Re: Ubuntu une alternative à Mandriva ?

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

        Euh, l'auteur de la news fait ça pour chaque sortie de distrib majeure, à ma connaissance bénévolement. On imagine que ça prend un certain temps ... Le but est juste d'avoir un apperçu de la distribution.

        Maintenant, en effet, pour un « test », il aurait fallu tester ça sur au moins une dizaine de machines différentes, le faire utiliser par plusieurs personnes avec des habitudes différentes, ... si ça t'intéresse d'en faire un, ne te gènes pas.
      • [^] # Re: Ubuntu une alternative à Mandriva ?

        Posté par  . Évalué à 4.

        Je pense pas que Ubuntu soit une alternative à Mandriva.
        Les deux distributions ont leurs avantages et inconvénients.

        et puis je n'appelle pas ça un test, quelques captures d'écran à la va-vite tout au plus.
        C'est un début. C'est déjà bien d'avoir pris le temps de faire ces quelques captures.

        La lecture des DVD et l'ouverture de 2-3 documents suffit-il à valider la pertinence d'un OS ?
        Oui et non. Ca permet en tout cas d'invalider la non-pertinence de l'OS.
        • [^] # Grands Dieux ! Vous osez comparez des distributions !

          Posté par  . Évalué à 10.

          Pourtant on m'avait bien prévenu. Surtout ne jamais comparer des distributions Linux, c'est le sacrilège absolu.

          Dans le monde libre rien n'est en concurrence, tout vie en harmonie. Toutes les distributions sont gentilles, l'une n'est jamais meilleure qu'une autre.

          On m'a dit "Dès que tu vois 2 noms de distribution dans une même phrase, fuis aussi loin que tu peux, car c'est l'incarnation d'un troll, ne cherche même pas à comprendre, c'est forcément un troll".

          Aussi un sage m'a conseillé de prononcer cette formule magique pour mettre fin au carnage :

          "Ô ciel que cette guerre est stérile, les distributions sont toutes équivalentes, elles sont justes différentes, chacune à ses avantages et ses inconvénients patati patata".

          C'est ainsi que lorsque quelqu'un est venu me demander conseil, je lui ai dit :

          "Ecoute mes sages paroles : tu dois te démerder et sois heureux car tu as le choix parmi ces 50 distributions".

          Ceux qui oseront comparer des distributions même afin de les améliorer seront maudits à jamais.
        • [^] # Re: Ubuntu une alternative à Mandriva ?

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

          Mandriva incarnait la distribution user-friendly avant la venue d'Ubuntu : tu mets le CD, tu fais OK-OK-OK, et tout ton matos est reconnu.

          C'est dans ce sens qu'on peut dire qu'Ubuntu est une alternative à Mandriva (ou le contraire).
          • [^] # Re: Ubuntu une alternative à Mandriva ?

            Posté par  . Évalué à 7.

            Ce que j'aimais dans BeOS et que je retrouve dans Ubuntu c'est justement que l'étape "OK-OK-OK" n'est plus présente.

            L'ordinateur prend enfin ses responsabilités. C'est lui qui a le matériel, c'est lui qui sait quels modèles, c'est donc à lui de tout configurer pour que tout marche et certainnement pas à l'utilisateur.

            Et là je vois le grand chemin parcouru par Linux (le noyeau et les utilitaires qui gravitent autour) : aux temps préhistoriques il fallait compiler son noyeau et remplir de mystérieux fichiers de configuration. Puis les clickodromes sont apparus. Et maintenant on a du presque 100% automagique qui marche à peu près avec tout.

            Quand on voit la galère pour faire marcher ses périphériques sous Windows (installer les 200Mo de driver, cliquer péniblement dans l'installateur, rebooter mille fois la machines, virer les fenêtres "Windows a découvert un nouveau périphérique" inutiles et espérer que tout va bien se passer).

            BeOS le faisait il y a 20 ans !

      • [^] # Il n'y en a pas

        Posté par  . Évalué à -3.

        En quoi les points forts sont-ils démontrés ?

        On parle d'Ubuntu là...
  • # Liste des forks d'Ubuntu

    Posté par  . Évalué à 10.

    The Ubuntu Linux distribution has inspired many brainless maniacs to create their own forks based on this distribution.

    * Rubuntu, comprised entirely of software written in Ruby.
    * OOobuntu, contains OpenOffice.org.
    * Subuntu, finally allows users to harness the power of the su command.
    * Bluebuntu which replaces the award-winning brown skin by a yellow one.
    * Kaboomto, explodes upon opening the box. Yippee!
    * Poobuntu, made specially for you.
    * Goobuntu, to secretly take over the world.
    * Moobuntu, for cows.
    * Flubuntu, custom-made distribution for Oscar Wilde.
    * Turuntu, has a Canajan spell checker, eh?
    * n00buntu, brings joy with AOL Explorer, gracefully emulated.
    * Lesbuntu, derived from the recently successful Lesbian GNU/Linux.
    * FUBUntu: keep it real, yo!
    * Zulubuntu, for those among us with fat lips.
    * Edubuntu, to provide sexual education.
    * Stubuntu, designed to ease writing of stub articles in Uncyclopedia.
    * Redbuntu, features the mighty purge command.

    These distributions can be combined into metadistributions, catering to exactly tastes of a single user on a single-user system. For example Deletefilebuntu :

    * is in Deutsch;
    * is licensed under the Lesser General Public License;
    * is kanz of teh ghey roxage;
    * can be installed only on the first physical partition;
    * satisfies every document processing need of the user with the Le Editor.

    (tiré de http://uncyclopedia.org/wiki/List_of_Ubuntu_forks , voir aussi http://uncyclopedia.org/wiki/Ubuntu )
    • [^] # Re: Liste des forks d'Ubuntu

      Posté par  . Évalué à 3.

      Tu oublies Moulebuntu qui s'appuie sur wmCoinCoin pour assurer l'IPC..
      note bien, c'est pas pour les pleutres.
  • # Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

    Posté par  . Évalué à 6.

    Salut à tous,

    les revues de FRlinux.net sont souvent les plus impartiales et elles présentent souvent certains pb.
    Il se trouve cependant, qu'il n'est pas fait mention d'un pb assez important concernant l'installeur.

    Notamment avec la config suivante :
    Un disque dédié à windows en NTFS, et un disque dédié nunux.

    Sous Ubuntu Dapper, il y a plantage de l'installeur, tout à la fin de l'installation si, lors d'un partitionnement manuel, vous avez mis /boot en XFS. (vous me direz pourquoi diantre mettre /boot en XFS...mais là n'est pas le propos :) )

    ça se contourne en relançant l'installeur et en mettant cette fois-ci /boot en ext3.

    On a alors tout qui se déroule très bien, et la Dapper se lance et s'éteint plus rapidement que la Mandriva 2006 me semble-t-il (qui est pourtant rapide).

    Là où ça devient frustrant et embêtant, c'est que Kubuntu présente un pb similaire, mais qui ne semble finalement pas lié au même truc.

    Si on choisit partitionnement manuel, le résumé des partitions actuelles ne s'affiche pas et il y a plantage avec la même erreur qu'avec Ubuntu.
    Le pb n'est pas résolu par l'utilisation d'une /boot en ext3.

    Ce serait lié à la détection, par l'installeur, d'erreurs sur les partitions NTFS de l'autre disque.....
    Solution de contournement proposée pour ce bug : reformater....

    Bref, Dapper s'installe, mais Kubuntu, tant attendue, surtout avec la version 3.5.3 tout fraiche, ne veut pas s'installer.

    La soluce ? Installer Ubuntu, puis passer en Kubuntu...
    Mais perso, j'ai pas envie de remplir mon disque.

    Kubuntu problèmes connus :
    https://wiki.kubuntu.org/KubuntuDapperKnownProblems

    Description des bugs.
    https://launchpad.net/distros/ubuntu/+source/ubiquity/+bug/4(...)
    https://launchpad.net/distros/ubuntu/+source/ubiquity/+bug/4(...)
    https://launchpad.net/distros/ubuntu/+source/ubiquity/+bug/4(...)

    Donc c'est dommage des bugs comme ça, sur un lancement, et surtout sur l'installeur.
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  . Évalué à 2.

      Bof ! ça vaut pas le destructeur de lecteurs de CD ! ;-)
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

      Désolé de ta mésaventure mais je n'ai plus de partitions Windows sur ma station depuis longtemps et mes stations de travail ne sont pas en dual boot non plus.

      Steph
      • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

        Posté par  . Évalué à 2.

        C'est embêtant que tu n'es pas ce type de config,
        car il y a encore bcp de gens qui sont sous dual boot (perso, c'est pour des raisons professionnelles), et si l'install d'une distrib ne marche pas dans ce genre de situation, ben ya un paquet de gens pour qui ça risque de ne pas marcher alors.

        Ceci dit, je te remercie de tes reviews, qui comme je l'ai déjà dit, sont souvent plus objectives que d'autres.
        • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

          Posté par  . Évalué à 3.

          Effectivement, il n'est pas ce type de config, c'est un être humain, doté d'un cerveau et tout (ou alors c'est une IA qui passe le test de Turing allègrement, mais j'y crois pas trop)
        • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

          Désolé, mais FRLinux réalise ses tests en fonctions de ses possibilités et de son environnement.

          Par contre, ce qui pourrait sembler intéressant, c'est de réaliser un complément à son test à partir d'une installation que tu ferais toi-même.

          Vu que tu as essayé d'installer ubuntu et kubuntu, cela ne devrait pas te poser de problèmes techniques pour en faire une documentation.

          Qu'en penses-tu ?
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  . Évalué à 7.

      Mésaventure personnelle concernant le « super » Ubiquity :
      - Un disque IDE avec Dapper dessus
      - Un disque vierge en SATA vierge
      Avec Ubiquity je fais mes petites partitions etc, et à la fin : oh surprise il ne me demande par de configurer Grub, il le fait tout seul sans me demander mons avis :
      1) je voulais installer Grub sur mon Sata pour choisir dans le bios quel disque booter -> c'est pas possible
      2) Grub a toujours mélangé mon sda et mon hda (au niveau du device.map) -> ça a fait foiré mon install avec un beau "Grub ne peut s'installer sur le disque hd0", sans possibilité de revenir en arrière.
      3) ça a bousillé mon grub sur mon disque hd0 -> plus aucun de mes systèmes étaient dispo
      4) obligé de repasser par une install texte, car parallèllement les noyaux n'avait pas été placé dans /boot O o

      -> Donc Ubiquity je laisse tomber , pas assez paramétrable à mon goût.
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  . Évalué à 0.

      Pour les installations qui n'entre pas dans le champ de la desktop, il existe une autre iso pour ces ubuntu: "Alternate install CD" utilisant l'installateur en ncruses de debian. Une solution qui n'a plus à faire ses preuves depuis longtemps.
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

      gnumdk@milouse:~$ mount |grep boot
      /dev/hda13 on /boot type ext2 (ro,noatime)
      gnumdk@milouse:~$

      A tiens, une partoche /boot en ext2 alors que tout le reste est en xfs :)

      Bref, bug super connu, existant aussi lors d'une install de debian ou lors d'un grub-install avec un /boot en xfs (partoche à part ou racine). Toujours pas corrigé sous Debian et donc sous Ubuntu car non corrigé par grub. Pourtant il doit existé un patch vu que du temps ou j'etais sous Mandrake ca marchait tres bien... Bref, si tu veux du xfs, une partition /boot en ext2 tu auras, sous Debian/Ubuntu en tout cas... Pourtant, d'apres sgi, c'est sensé fonctionné avec grub 0.97 mais sans succés pour moi...
    • [^] # Re: Des pb d'installation, il y en a, et personne n'en parle

      Posté par  . Évalué à 0.

      Mais qui fait encore des /boot ?

      Sérieusement, le /boot était là au départ pour que l'image noyau soit avant le 1024ème secteur du disque car au delà, lilo ne pouvait pas y accéder.

      Sinon, aucun intérêt particulier, et surtout pas celui de booter quand même malgré une partition / plantée car pour booter, on a besoin de /etc/inittab.

      Et pour ce que sert cette partition, de l'ext3 est amplement suffisant.

      Je tolère à peine les /tmp dans une partition séparée, alors les /boot ...

      P.S. tout ceci n'est valable que pour un desktop.
  • # Ce que j'en pense

    Posté par  . Évalué à 4.

    Bonjour,

    Je trouve un peu dommage que chaque distribution reface son installeur ... Ce n'est pas qu'il existe des bons ou des moins bon ... la perfection n'etant pas de ce monde. Mais j'ai l'impression que dans ce domaine, on fait bcp de travail en N exemplaires.

    alternative récente aux distributions comme SuSE ou Mandriva


    Et les autres ? Fedora pas exemple ...

    Je ne comprends pas pourquoi il y a Kubuntu. Moi j'utilise parfois KDE et parfois Gnome... principalement parce que j'ai plusieurs user sur ma machine ... quand on a Ubuntu, on ne peut pas installer KDE? Obligé de passer à Kubuntu?

    Il me semble que c'est mieux de faire un peu de conf et une seul distrib, genre FC5 qui demande si on veut gnome kde xfce ou rien lors de l'installation (tjrs possible de changer plus tard)

    C'est tjrs plus facile de faire un fork et de tenir le volant que de participer à un projet deja existant ... mais je pense que participer à debian aurait été plus constructif... enfin bon troll à fond la ... c'est pas le but, je donne juste mon avis. Des distrib type ubuntu, il y en a une tripoté (fedora mandrivia suze, etc sans compter que debian en est pas loin) donc bon ... d'autres distrib encore please ? pour refaire le boulot en parallele une Nieme fois.

    Derniere remarque, un peu dommage que cette version n'utilise pas le dernier kernel ... meme si c'est pas facile d'integrer un truc qui sort au dernier moment... fedora le fait bien...
    • [^] # Re: Ce que j'en pense

      Posté par  . Évalué à 4.

      quand on a Ubuntu, on ne peut pas installer KDE? Obligé de passer à Kubuntu ?

      En fait tous les *buntu sont strictement identiques : même dépots etc.... Il s'agit juste d'un problème de cd : étant donné que dans les goals de Ubuntu il y a tenir sur un cd, il faut donc réaliser un cd pour chaque environnement de Bureau (ou spécialisation dans sécurité, éducation...).
      Pour installer Kubuntu sur une Ubuntu, il suffit d'installer le méta-paquet kubuntu-desktop via apt-get. Après choisir gdm, kdm, xdm et les artworks de ceux-ci et du uplash c'est des détails.
      • [^] # Re: Ce que j'en pense

        Posté par  . Évalué à 1.

        ok donc c'est pas une nouvelle distrib.
        c'esqt juste qu'il n'y a pas les meme pauets de base sur le cd d'install.
        merci pour cette precision
    • [^] # Re: Ce que j'en pense

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

      Fais une install "server" avec le CD alternate, puis un sudo apt-get install *ubuntu amènera ton bonheur

      Ou * est rien, k, ou x (nubuntu etant "moins officielle" que les autres)
  • # Installeur

    Posté par  . Évalué à 2.

    Le LiveCD (version station) propose un installateur en quelques étapes pour simplifier l'installation pour les débutants.

    Il me semble que installateur se dit d'une personne physique qui vient installer un matériel, pour un logiciel c'est installeur.
    Non ?
    • [^] # Re: Installeur

      Posté par  . Évalué à 5.

      Y'a de quoi s'y perdre qu'on on sait que c'est le contraire pour programmeur/programmateur ;)
  • # La différence fondamentale

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à -1.

    La différence fondamentale concernant cette version est qu'elle compte supporter les stations de travail sur les 3 prochaines années et les serveurs sur 5 ans.


    Pour moi, la différence fondamentale c'était surtout que chez Debian, on avait le choix entre une version qui sent la poussière avec des packages vieux de plusieurs années, et une version devel toute cassée et à problèmes. Le fait qu'Ubuntu ai choisi un cycle beaucoup plus court (calqué sur les sorties de Gnome) tout en étant archi stable est pour moi le gros plus (mais je me doute bien que ce n'est pas le cas en entreprise).
    • [^] # Re: La différence fondamentale

      Posté par  . Évalué à 2.

      Arguments ?
      Démontre moi que ubuntu 6.06 est plus stable que debian-unstable.

      Tu peux très bien me sortir des exemples d'utilisateurs qui ont des problèmes avec debian-unstable, mais je peux aussi te sortir plein d'exemples de gens qui ont des problèmes avec ubuntu (il suffit de visiter les forums-ubuntu pour se rendre compte).
      • [^] # Re: La différence fondamentale

        Posté par  . Évalué à 3.

        Le problème majeur est qu'on ne peut installer une debian unstable et en la laissant fonctionner ensuite sans maintenance poussée (ou en tous cas une surveillance assidue) dès qu'une mise à jour apparaît. Une dapper, on l'installe une fois, et les mises à jour ne vont (en théorie) pas casser la configuration en place.
        • [^] # Re: La différence fondamentale

          Posté par  . Évalué à -1.

          Ce que tu décris, c'est une mise à jour plus facile avec ubuntu, mais pas la stabilité.
          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  . Évalué à 3.

            Justement, si.
            Enfin, ça dépend du sens donné au mot stabilité.
            Pour moi (comme pour Debian amha) "stabilité" signifie que les fonctions du système ne vont pas changer du jour au lendemain, donc pas besoin de changer la configuration.

            Qu'un système contienne des bogues est un autre problème.
            • [^] # Re: La différence fondamentale

              Posté par  . Évalué à 0.

              J'ai visé le premier message pour le sens du mot "stable" :

              la différence fondamentale c'était surtout que chez Debian, on avait le choix entre une version qui sent la poussière avec des packages vieux de plusieurs années, et une version devel toute cassée et à problèmes.
      • [^] # Re: La différence fondamentale

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

        La seul différence est que une Ubuntu stable est stable, il n'y a plus que des mises à jours de sécu...

        Avec une Sid, tu vas pas empecher les packageurs de passer au nouveau xorg, au nouveau g++ avec changement d'abi et donc tu as le risques d'avoir des problemes... Mais apres, non, Debian Unstable n'a pas vraiment de probleme de stabilité, en tout cas aucun rapport avec une cooker (enfin du temps ou mandrake cooker avait des versions cvs des logiciels, pas sur que ca soit tjs vrai avec le nouveau cycle de sortie de mandriva).
      • [^] # Re: La différence fondamentale

        Posté par  . Évalué à 7.

        Il est vrai que se baser sur les forums pour dire qu'un produit est bon ou pas, c'est une méthode vraiment très pertinente. Surtout qu'il est bien connu que ceux qui n'ont pas de problèmes laissent toujours un message.

        (ne cherchez pas une prise de position pour une distribution quelconque, ma remarque fonctionne aussi pour les comparatifs d'épilateurs électriques ou d'huile de friture).
      • [^] # Re: La différence fondamentale

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        Il faudrait déjà définir ce qu'est la stabilité.
        En fait, c'est davantage un système qui ne bouge guère même s'il peut planter dans certains cas (même Debian stable peut planter out-of-the-box: à chaque fois que j'essaie de brancher un graveur parce que la gestion de l'USB par le 2.6.8 n'est pas son point fort).
        Ce qui définit finalement une distribution "stable", c'est qu'à partir d'une date donnée, sa logithèque ne bouge plus (à part les corrections de sécurité mais ce seront de préférence des rétro-portages de correctifs). Il n'y a plus de montée en version d'un des logiciels fournis ce qui évite d'autant les problèmes de compatibilités et donc fixe les problèmes aux seules versions fournies.
    • [^] # Re: La différence fondamentale

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      chez Debian, on avait le choix entre une version qui sent la poussière avec des packages vieux de plusieurs années, et une version devel toute cassée et à problèmes.

      Debian 3.1 (Sarge) est certainement le système GNU/Linux le plus stable et fiable du marché des distributions.

      Concernant Etch, ça sera beaucoup plus utilisable des cet été :
      http://lists.debian.org/debian-devel-announce/2006/05/msg000(...) chez Debian il va geler en été !
      • [^] # Re: La différence fondamentale

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

        Vous commencez tous à m'énerver avec vos "stable", pas "stable" etc...

        Si quelqu'un désire avoir une distribution stable, autant prendre un kernel 2.2 qui est encore maintenu (par alan cox) et y ajouter les packages nécessaires. là ça sera stable.

        Vous devriez vous dire que tout dépend de ce que la personne possède comme machines et de ce qu'il veut.

        Avant, pro Gentoo maintenant utilisateur Ubuntu.
        Pourquoi ?

        1) Gentoo je devais compiler chaque package, et c'était l'éclate mais je n'avais que ça à faire (étudiant faut bien trouver un truc à faire).

        2) Debian ? bof unstable me crash dans la figure assez facilement et testing, bof en plus à l'époque Xorg n'était pas encore présent dans le repository de base.

        3) Ubuntu -> basée sur debian, apportant tous les avantages et les inconvénients de cette dernière mais avec la possibilité d'avoir des softs à jour et qui ne me pose aucuns problèmes d'utilisations.

        Maintenant le mec qui veut se faire chier, peut installer une slack ou pourquoi pas faire une LFS.

        La question est
        1) que veut l'utilisateur ?
        2) quel sera la cible de l'installation
        3) quelle sera l'utilisation du système qu'on va lui installer
        4) quel est le niveau de connaissances de ce dernier.

        Qui a déjà fait des formations Linux à des personnes n'ayant pas forcément des connaissances poussées en informatique ?

        C'était mon coup de gueule
        • [^] # Re: La différence fondamentale

          Posté par  . Évalué à 5.

          Vous commencez tous à m'énerver avec vos "stable", pas "stable" etc...

          Je considère alors que mon objectif a été atteint. :)
          - Mon but est de contrebalancer un peu les publicités sans arguments sur ubuntu.
          - Je suis anti-ubuntu-philosophie/marketing/méthode. Je ne juge pas la qualité technique de ubuntu. Pour beaucoup de gens, il n'y a pas que la qualité technique et convivialité qui compte quand on choisit une distribution. Si linux a réussi à se développer et à atteindre une facilité d'utilisation d'aujourd'hui, c'est aussi grace aux gens qui l'utilisait il y a dix ans (A cette époque, c'était beaucoup plus facile d'utiliser Windows ou Mac OS).

          Vous devriez vous dire que tout dépend de ce que la personne possède comme machines et de ce qu'il veut.

          Tu as parfaitement raison.
        • [^] # Re: La différence fondamentale

          Posté par  (Mastodon) . Évalué à 5.

          ,maintenant le mec qui veut se faire chier, peut installer une slack ou pourquoi pas faire une LFS.


          y'a un gouffre entre une slackware et une LFS. J'imagine que tu n'as jamais du toucher à une slackware, c'est pas chiant à installer/maintenir/utiliser du tout.
          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  . Évalué à 2.

            ... Surtout que Gentoo (stage 1 notamment) est à mon avis plus chiante à installer qu'une slack.
            • [^] # Re: La différence fondamentale

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

              Peut-être pour certaines personnes, mais ça m'éclate bien de faire une install Gentoo. Le seul problème qui peut poser parfois problème est la compile du kernel sur du matos que tu ne connais pas.

              A part cela, le manuel d'install est vraiment bien foutu. Et ce depuis la version 1.0a
            • [^] # Re: La différence fondamentale

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

              En tout cas une gentoo par livecd s'installe quasiment aussi facilement qu'une ubuntu (je regrette même qu'il impose des choix comme son propre noyau)
          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            Première slackware en 1998 avec le bon manuel qui m'a aidé à installer ma carte graphique :D Bien qu'il m'ait fallu 4jours pour y arriver, ça m'a aidé pour apprendre énormément de choses.
        • [^] # Re: La différence fondamentale

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

          Heuu pour continuer dans le coup de gueule, perso toutes les distributions GNU/linux que j'ai testé étaient stables, en tout cas pour leurs versions dites "stables".

          Alors Ubuntu, Debian, Mandriva, c'est kiff kiff haricot, une fois installé la différence se fait sur les thèmes, le support materiel du noyau, les outils de configuration, les logiciels par défaut, le système de paquets...

          Donc, je pige pas trop cet histoire de stabilité "ragnagna machin c'est plus stable que bidule", pour moi n'importe quelle distribution est stable tant qu'un utilise pas les versions beta. Quelqu'un pour m'expliquer ce qu'est une distribution pas stable ? Alors oui, il peut y'avoir parfois un logiciel mieux empaqueté sur telle ou telle distribution, mais dans l'ensemble, la différence ne saute pas aux yeux de l'utilisateur "basique".
          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  . Évalué à 4.

            D'après moi, la différence fondamentale entre les distributions vient de l'aspect "evolution permanente" ou "version fixée à date régulière".

            La plupart des distributions ont une version "stable", c'est-à-dire une version qui sort à intervalle régulier (6 mois, un an, deux ans, when it's done ?) sur laquelle les versions de logiciels sont figées. Les updates sont essentiellement des bug fix et des corrections de sécurité. L'administration d'une telle machine est donc souvent facilitée puisque les logiciels ne changent, les updates/bug fix sont entièrement automatique. Du coup, pour avoir les nouvelles versions de logiciel, il faut "upgrader" la version complète de la distribution lorsque la nouvelle version sort. Debian Stable, Ubuntu, Mandriva, Fedora, Suse sont de cette sorte.

            Les distributions "à évolution permanente" sont souvent des versions en cours de développement dont les versions de logiciel changent régulièrement, les fichiers de configuration changent souvent de format. Ces distributions sont plus lourdes à maintenir (il faut souvent suivre les discussions des développeurs pour savoir ce qui se passe) mais sont mis à jour en temps réel. Debian Testing, Debian Unstable, Gentoo, Mandrake Cooker sont de ce type.
            • [^] # Re: La différence fondamentale

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

              A noter que Ubuntu stable ont une section backports qui offre des mises à jours des logiciels phares...
            • [^] # Re: La différence fondamentale

              Posté par  . Évalué à 0.

              Oui. Les distributions "à évolution permanente" sont plus lourdes à maintenir. Mais en récompense, on a une distribution de qualité constante parce que non soumise à une obligation de planning.

              Juste un exemple, il me semble que (je me souviens plus exactement) mandrake 8.2 soit mieux que 8.1 et aussi mieux que 9.x.
          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  . Évalué à 0.

            La définition d'une distribution pas stable ? Facile !
            La dernière Red Hat que j'ai essayée (OK, c'était il y a longtemps, mais je n'ai pas envie de réessayer depuis). J'installe, je prépare pour compiler un noyau pour soulager un peu ma machine (un P200), et segfault de gcc !
            Pourquoi ? La version de gcc utilisée n'était pas finalisée.

            Bien sûr, ce cas est plutôt critique. Souvent, on ne voit que quelques disfonctionnements. Mais on a été tellement habitués à ce que les logiciels ne fassent pas exactement ce qu'ils devraient faire qu'on ne le relève même plus...
        • [^] # Re: La différence fondamentale

          Posté par  . Évalué à 4.

          C'est triste ton avis sur la slack...

          0. Assume good faith 1. Be kind to other people 2. Express yourself 4. Apply rule 0

          • [^] # Re: La différence fondamentale

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            J'ai utilisé la slack à partir de 1998, avant, je ne connaissais rien à Linux.

            Pourquoi ai-je dis "Slackware" ou "LFS" parce qu'à l'époque quand il me manquait un package que je ne pouvais pas installer directement, je m'amusais notre bon vieux ./configure

            Je me souviens m'être amuser à downloader les sources de gnome pour le recompiler complètement sur ma slack, rien que pour voir ce que donnait la bête.

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