J'ai suivi scrupuleusement les instructions de l'équipe grenobloise de Xcas-GIAC.
Impossible ensuite de démarrer Xcas-GIAC en tapant xcas & en ligne de commande.
Décidément, avec les années, j'y comprends de moins en moins !
Merci de m'éclairer !
J'ai suivi scrupuleusement les instructions de l'équipe grenobloise de Xcas-GIAC.
Impossible ensuite de démarrer Xcas-GIAC en tapant xcas & en ligne de commande.
Décidément, avec les années, j'y comprends de moins en moins !
Merci de m'éclairer !
# merci de nous en dire plus
Posté par NeoX . Évalué à 2.
si tu le lances en ligne de commande, tu dois avoir des infos
ca doit te dire ou ca plante, t'afficher au moins un message d'erreur...
sinon y a peut-etre des options pour faire afficher plus d'infos.
# paquet binaire
Posté par Melodie (site web personnel) . Évalué à 1.
J'ai fait un essai pour voir, et trouvé un paquet contenant un binaire, avec tout l'environnement dans le répertoire principal du programme.
Cela fonctionne à condition que le contenu de l'archive, une fois désarchivé, soit sous le home de l'utilisateur.
La version que j'ai essayée est la dernière présentée : xcas095. On la trouve sur cette page:
http://www.math.jussieu.fr/~han/xcas/
Et cette page est indiquée sur celle-ci:
http://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~parisse/install_fr#xcaslinux
Dés que le répertoire xcas095 se trouve dans le home utilisateur, l'ouvrir, double-cliquer sur le fichier nommé xcas : une fenêtre avec plusieurs choix s'ouvre, et il n'y a plus qu'à choisir le choix "Exécuter". (Mon gestionnaire de fichiers est PCManFM, et cela doit aussi être le mode de fonctionnement de Nautilus, et peut-être aussi Thunar et d'autres... )
Il est aussi possible d'ouvrir une console dans le repertoire, et de taper:
$ ./xcas
(sans le signe '$' :-) ... ). Ça marche aussi.
Ah oui j'oubliais : mon système principal est PCLinuxOS, et la méthode ci-dessus doit fonctionner sur toutes les distributions.
Suivre le flux des commentaires
Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.