Colloque international au Maroc les 23 et 24 mai 2016 : le Logiciel Libre dans les Pays du Sud

Posté par  . Édité par Benoît Sibaud. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
18
19
mai
2016
Communauté

Un colloque aura lieu au Maroc les 23 et 24 mai 2016. Il se propose de lever le voile sur le monde du logiciel libre. Dans une atmosphère de débat, il tentera de répondre aux interrogations suivantes : En quoi ce type de logiciels est porteur d'opportunités économiques? Comment peut-il aider à combler la fracture numérique, à informatiser l'administration publique et à s'affranchir du piratage? Comment peut-il drainer des forces jeunes et motivées à entreprendre et à créer sur une base de valeurs de partage, de travail collaboratif et associatif? Les publics cibles de ce colloque sont les jeunes étudiants, les ingénieurs, les enseignants universitaires, les entrepreneurs, les décideurs, ainsi que les acteurs politiques.

Affiche

Les thématiques :

  • Logiciel libre et droits d'auteurs.
  • Logiciel libre dans les formations universitaires, enjeux et blocages.
  • Logiciel libre dans les administrations publiques.
  • Logiciel libre dans les entreprises.
  • Logiciel libre et innovation.
  • Logiciel libre et développement durable.
  • Logiciel libre et édition.

Plus d'informations : M. Ghilani - E-mail : m.ghilani CHEZ ensam-umi.ac.ma

Aller plus loin

  • # Linux en Afrique

    Posté par  . Évalué à -5.

    Les pays africains devraient lancer des programmes de linuxisation de masse de tout leurs systémes informatiques !

    c'est largement mieux que les vieux PC sous windows xp majoritaire la bas , c'est mieux en terme de sécurité , ça permettra a la jeunesse de développer une maîtrise des systèmes linux qui leur sera ensuite utile pour le développement de leurs pays et pour la création d'entreprises dans le domaine de l'informatique qui ne sera que bénéfique pour l’économie de leurs pays

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.