Des développeurs très importants dans ce contexte y sont d'ailleurs présents (Alsa, ardour, jack, LADSPA plugins...). Des archives audio des conférences sont d'ailleurs disponibles !
Aller plus loin
- Site officiel de la conf (3 clics)
- Low-latency audio server (4 clics)
- Multichannel hard disk recorder (0 clic)
- LADSPA plugins (0 clic)
# Conférence en mp3...
Posté par Xavier Teyssier (site web personnel) . Évalué à 9.
Pourtant, les archives audio sont au format mp3 ( http://www.ima.zkm.de/lad03/(...) ), codec que j'assimile souvent à "moins libre que ogg" ( http://www.xiph.org/ogg/vorbis/(...) )...
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Olivier Jeannet . Évalué à -1.
Je ne vois pas tellement pourquoi le format mp3 serait moins libre, étant donné d'une part que les brevets logiciels n'existent pas chez nous, donc qu'un format ne peut pas être protégé (pas libre), d'autre part (et surtout) parce que les specs sont disponibles et qu'on dispose de plusieurs implémentations libres de codec et de programmes pour traiter ce format (pour créer des mp3, lame ou bladeenc, pour lire, xmms et d'autres).
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Xavier Teyssier (site web personnel) . Évalué à 2.
Je n'ai pas le temps d'aller vérifier tout de suite, alors j'espère que ma mémoire ne me trahie pas, sinon je vais dire une grosse bêtise...
Dans mes souvenirs, les développeurs écrivant des players de mp3 [1] payant (le player, pas le mp3!) doivent payer des royalties à l'institut Fraunhofer [2], inventeur du mp3.
Ce n'est pas le cas pour le ogg, c'est pour ça que j'assimile le ogg à "plus libre que le mp3"
[1] c'est valable aussi pour les lecteurs portables de mp3.
[2] Aucune idée de l'orthographe de ce nom...
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Olivier Jeannet . Évalué à 1.
Alors d'une part, on ne parle pas de logiciel payant, d'autre part (cf mon message auquel tu as répondu) les brevets logiciels n'existent pas chez nous (chez nous = en Europe et partout sauf aux USA et au Japon). Donc les royalties je ne vois pas en vertu de quoi on en paierait, qu'on fasse un "player" payant ou pas d'ailleurs.
Ne pas oublier que les américains raisonnent toujours comme si tous les autres pays avaient la même législation que chez eux, et que même ailleurs on oublie qu'il n'y a pas de brevets logiciels et autre "intellectual property" (certains articles sur le Web français mentionnent les royalties MPEG4 sans préciser que ça ne s'applique qu'aux USA)
Je ne sais pas si l'institut Fraunhofer a inventé le MP3, mais en tous cas ils ont contribué à affiner les algorithmes, avec des jurys d'écoute entre autres (un vrai travail derrière).
PS: l'orthographe est bonne.
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Xavier Teyssier (site web personnel) . Évalué à 1.
Oui, c'était juste pour montrer pourquoi je considère le mp3 comme moins libre que le ogg...
Donc les royalties je ne vois pas en vertu de quoi on en paierait,
Mais alors cette page : http://www.mp3licensing.com/royalty/software.html(...)
elle ne s'applique qu'au USA et au Japon ? Je peux donc fabriquer mon propre baladeur mp3 sans reverser de sous à Thomson ?
--
Xavier
"je découvre le monde ..."
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Olivier Jeannet . Évalué à 2.
[^] # Re: Conférence en mp3...
Posté par Xavier Teyssier (site web personnel) . Évalué à 1.
# pour les pressés qui ont renoncé comme moi à vouloir compiler protux ou ardour
Posté par B. franck . Évalué à 7.
qui est près pour la production (à mon avis)
et qui surprend par son efficacité, l'utilisation des
ressources de la machine est très bien faite.
http://audacity.sourceforge.net/(...)
nb: attention au dépassement de disque, il conduit à un crash
(version debian-sarge)...
pour les teigneux:
protux: http://www.nongnu.org/protux/(...)
(je n'ai toujours pas trouvé ce qu'est "autopoint")
# Re: Linux Audio Developers Conference (Karlsruhe)
Posté par stef_2000 . Évalué à 2.
De meme qu'audacity puisse depasser cool audio dans ses capacités!
Suivre le flux des commentaires
Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.