_lol_ a écrit 5 commentaires

  • [^] # Re: bof bof

    Posté par  . En réponse au journal À méditer.... Évalué à -2.

    Ce n’est pas un jeu…

    C’est une métaphore.

  • [^] # Re: bof bof

    Posté par  . En réponse au journal À méditer.... Évalué à -6.

    Faut lire attentivement le message de Zenitram.

    Par exemple :

    « ils évitent de se prendre la honte en public »

    Comprendre : ils connaissent IRL le monsieur et ont peur de Zenitram et des humiliations qu’il fait subir.

    Ça s’appelle la subjectivité, qu’il faut ré-objectiver. Je ne dis pas que c’est la réalité, toutefois c’est une réalité plus que plausible (voyant le personnage numérique…).

    Ce que vient de faire Zenitram, c’est un aveu. Mais pour bien le comprendre il faut s’exercer à une certaine gymnastique de l’esprit pas évidente du tout… Examiner de manière contradictoire ce que pourraient être le vécu et le ressenti des personnes dont il parle. Facile pour moi : personnellement je refuserai catégoriquement tout débat contre lui IRL parce que je sais les dés pipés dès le départ.

    Tes contradicteurs ne devraient pas craindre de se prendre la honte en public. Sinon c’est qu’il y a un problème. Dans un débat sain, on devrait pouvoir dire des conneries, se tromper, etc. sans honte, sans humiliation du moins.

    Faire passer des vessies pour des lanternes, c’est-à-dire considérer comme normal une situation qui ne l’est pas, en mode « c’est de sa faute il a dit une connerie » (qui juge de la connerie ? qui juge de la pertinence des arguments ?), c’est déjà entrer dans un processus de manipulation mental somme toute très classique (on le fait tous +ou-) : prendre sa subjectivité pour la réalité, mais ça va plus loin lorsque il s’agit de projeter la faute sur l’autre de son propre comportement.

    Un véritable humaniste accepte le débat en considération de la faillibilité de son adversaire (et de la sienne propre). Ce que tu fais :) Bon ok en politique c’est d’une rareté ultime !

    Dans un cas extrême, un psy un jour reçoit un jeune qui a tué un policier. Une balle en pleine tête. Il essaie de lui faire prendre conscience de la gravité de son acte. Réponse du jeune : « il n’avait qu’à pas être là ». Du point de vue du jeune : c’est la présence du policier sur la trajectoire de la balle qui a causé sa mort. C’est factuellement tout ce qu’il y a de plus exact. Ici c’est facile de ré-objectiver le discours du jeune parce que l’exemple est extrême. En fait il lui manque des structures psychologiques essentielles pour comprendre que le problème est son acte propre d’avoir tiré sur le policier.

    Pour revenir au sujet, il y a une très grande différence entre se servir des failles (réelles ou supposées) d’un contradicteur pour se donner raison et accepter les failles comme inhérente à tout débat. Ce que fait Z selon son propre aveu ne se situe pas dans l’ordre d’un débat équilibré.

    Si tu n’es pas convaincu relis ou fait relire objectivement ton message et celui de Z. La différence est flagrante.

    Note que IRL j'ai dés débats passionnants avec des gens parfois pas du tout d'accord avec moi, ça se passe très bien tant qu'on est dans le respect mutuel avec par exemple ne pas mentir ou inventer des arguments pour défendre ses idées, mais plutôt démontrer la cohérence de ses idées.

    Ici l’arnaque est de ne pas dire qui se charge de juger la pertinence et la véracité des arguments du contradicteur. Or on connaît suffisamment le monsieur pour savoir qu’il faut lire :

    Note que IRL j'ai dés débats passionnants avec des gens parfois pas du tout d'accord avec moi, ça se passe très bien tant qu'on est dans le respect mutuel avec par exemple [ne pas utiliser des arguments que je juge mensonger ou imaginaire] pour défendre ses idées, mais plutôt démontrer la cohérence de [ce que je crois être ses idées avec les miennes].

    --

    Après comme tu le dis, on fait tous ça. À un degré plus ou moins élevé. On va ensuite le regretter, en avoir honte, etc. sans nécessairement l’avouer, ni aux autres (normal si les conséquences sont minimes, excuse pour être pardonné, voir tentative de réparer) ni à soi (là on est dans des cas plus graves, une personne normale a forcément quelques petits secrets honteux qu’elle cache, c’est le contraire qui est anormal). On sait +ou- qu’on est tous un peu/beaucoup de mauvaise foi dès qu’il s’agit de politique. Le problème vient quand c’est systématique et que même vis-à-vis de soi-même on ne se perçoit jamais aucun défaut et qu’on ne se reconnaît jamais la moindre petite erreur, la moindre petite faute. Typiquement tout sera projeté sur l’autre, qui deviendra victime.

    Pour la petite histoire je sors d’une situation compliquée, entre autres anecdotes : réunion de travail pour faire avancer des spéc’ fonctionnelles que je suis en train d’écrire. Le manager/client n’arrête pas de me parler technique (programmes, fonctions, etc.) pendant 10 minutes. Je prends garde à rester sur le fonctionnel pur — sans lui faire de remarque par pure diplomatie. Je tiens un temps. Puis je lâche un argument technique. Le reproche a été instantané : « hein tu parles de technique on fait des spéc fonctionnelles là. » Il m’en a fait plein de cet acabit.

    PS : je ne dis pas et ne pense pas que ce soit le cas de Zenitram, mais il en tient quand même une sacrée couche.

    PPS : j’ignore et ignorerai tout commentaire de Z. C’est assumé. Cela peut être aussi un moyen de pression psychologique extrêmement efficace lorsqu’il est systématique et provoqué (ragots par exemple pour isoler une personne). Ici c’est un mécanisme de défense que je m’impose vis-à-vis de Zenitram.

  • [^] # Re: bof bof

    Posté par  . En réponse au journal À méditer.... Évalué à -4.

    Qu'il ait tort ou raison, est-ce aussi aisé de manier la pédanterie, le rabaissement, le déshonneur par association, l'homme de paille, la généralisation abusive… quand l'autre le regarde dans les yeux ?

    Ouai. Ça ose tout. Sur le web c’est voyant parce que ce n’est pas très fin. Mais ça a toujours existé IRL. Pour compenser l’absence d’anonymat, les harceleurs vont s’arranger pour se retrouver en privé avec leur victime.

  • [^] # Re: Le RGPD est très GAFAM-friendly

    Posté par  . En réponse au journal De l'opacité de la gestion de vos données bancaires. Évalué à -5.

    Je ne vois pas comment Amazon&Co peut deviner ce qui doit être effacé dans les données que tu lui donnes.

    Ça sent l’embrouille…

  • # Nawak

    Posté par  . En réponse au journal De l'opacité de la gestion de vos données bancaires. Évalué à 2. Dernière modification le 27 avril 2018 à 14:50.

    L’informatique bureautique n’a rien à voir avec le SI métier. Si ça peut te rassurer. Pas les mêmes outils, pas les mêmes plateformes, pas les mêmes machines.

    Les ordinateurs en agence sont des terminaux qui n’ont aucune donnée et qui ne font aucun traitement. Les conseillers ont des accès restreints, que le strict nécessaire.