• # Je partage car j'ai trouvé ça intéressant

    Posté par  . Évalué à 3.

    Il me semble que c'est pas mal écrit.

  • # Oui mais non

    Posté par  (Mastodon) . Évalué à 2.

    Il est intéressant de rappeler le rôle utile que peut avoir un éditeur.
    En même temps, le texte me semble aller un peu loin. J'ai l'impression qu'hors le recours à un éditeur, point de salut.
    Récemment, j'ai écouté le podcast de Libre à vous sur géotrek qui me semble être un exemple de suite logicielle développée sans recours à un éditeur.
    Je doute que cela soit le seul exemple de réussite sans éditeur.

    Surtout, ne pas tout prendre au sérieux !

    • [^] # Re: Oui mais non

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

      Hm … il n'y a pas la société Makina Corpus derrière Géotrek ?

      • [^] # Re: Oui mais non

        Posté par  (Mastodon) . Évalué à 5.

        Oui et …

        Geotrek, un outil au service du développement territorial

        Geotrek est un ensemble de 3 outils publiés sous licence libre pour gérer et valoriser les sentiers, l'itinérance, l'outdoor, les patrimoines et l'offre touristique d'un territoire. Il a été conçu en 2012 par les parcs nationaux des Ecrins et du Mercantour avec l'entreprise Makina Corpus. Il est aujourd'hui utilisé par une centaine de structures (parcs nationaux et régionaux, conseils départementaux, communautés de communes, comité de la randonnée et du tourisme…) et continue d'évoluer au fil des projets de la communauté qui s'est construite d'année en année.

        (extrait du site geotrek.fr)

        Sur la question gouvernance, il me semble que cela reste plus dans les mains des parcs que dans celle de l'entreprise Makina. C'est l'impression que j'en ai après écoute du podcast. Et c'est un des points que l'article de bluemind met en avant pour justifier l'utilité/nécessité de passer par un éditeur.

        Surtout, ne pas tout prendre au sérieux !

        • [^] # Re: Oui mais non

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

          Vraie question est: dans leur modèle qui paie (ou développe) la maintenance? Car ça reste ce qui coute le plus cher dans la vie d'un logiciel au final.

          C'est le point que je trouve bien traité dans l'article justement. Il insiste bien là dessus, que certains clients ne veulent payer que pour les nouvelles fonctionnalités, mais pas ce que ça demande comme correction adaptation sur les anciennes pour que ça reste maintenable dans le temps et qui fait qu'un modèle purement de service n'est pas viable techniquement sur le long terme (quand on parle d'outils, pour les libs le souci n'est pas exactement le même).

  • # Editeur y es-tu? Que fais-tu ? Là ça pue !

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

    Il y a pourtant de bonnes raisons d'avoir peur des éditeurs:

    • les plus vils font du fauxpensource en changeant pour des licences non libres (Akka, Elastic, Mongo…) ;
    • les plus fourbes ajoutent de la télémétrie et des services privateurs (Microsoft avec VSCode) ;
    • les plus malins font du "libre démo" avec des versions premium quasiment obligatoire pour un usage en production (Hashicorp, Gitlab).

    Certains sont à la fois vil, fourbe et malin, mais heureusement personne ne les aime (Oracle) :-)

    Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

    • [^] # GitLab

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.

      Dans tous les projets sous double licence libre / propriétaire, GitLab est l’un des plus utilisables. Je l’utilise depuis 2015 dans plusieurs entreprises sans aucun problème ni grosse limitation.

      Alors que d’autres outils sont presque inutilisables si tu n’a pas la licence propriétaire.

      La connaissance libre : https://zestedesavoir.com

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