• # Re: Devenez beau riche et intelligent avec Power point, Excel et Word

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 0.

    Hmmmmm, moi je dirais qu'il ferait mieux de soigner ses PDFs, il est illisible en l'etat tellement ses espacements entre lettres/lignes sont mal foutus...

    Mes 2€¢, mais bon pour un gars qui crache sur le vide des .ppt, et autres mauvaises habitudes liées à l'utilisation d'outils comme word, powerpoint et excel, je trouve que c'est un comble

    PS: j'utilise xpdf pour le lire, peut etre le probleme de polices n'apparait pas chez d'autres ?
    • [^] # Re: Devenez beau riche et intelligent avec Power point, Excel et Word

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 1.

      oui... Ce texte est complètement hypocrite. Il critique Word, Excell et PowerPoint d'une telle manière mais il continue à les utiliser.

      Visiblement l'auteur serait plus satisfait de LaTeX que de Word, ça ne tient qu'à lui d'apprendre LaTeX.

      en gros, je dirai que le texte est assez rigolo, mais beaucoup trop long et prétentieux, surtout qu'il n'est absolument pas constructif !

      On apprend pas que, après avoir démoli une solution, on doit en proposer une autre ou bien proposer des pistes pour créer une autre solution ?

      Genre il aurait fini par : un bon traitement texte devrait faire ça et ça... même si ça n'avait pas été réalisable tel quel, ben ça aurait au moins été constructif et ça aurait pu donner des idées au concepteurs de logiciels

      Mes livres CC By-SA : https://ploum.net/livres.html

    • [^] # Re: Devenez beau riche et intelligent avec Power point, Excel et Word

      Posté par  . Évalué à 1.

      PS: j'utilise xpdf pour le lire, peut etre le probleme de polices n'apparait pas chez d'autres ?

      c'est moche chez moi aussi avec xpdf, ça passe beaucoup mieux sous acroread, même si dans ce cas j'ai droit à une police "sans serif". visiblement, la police utilisée pour le corps du texte est du "Times New Roman", et n'est pas incluse dans le PDF...
  • # Re: Devenez beau riche et intelligent avec Power point, Excel et Word

    Posté par  . Évalué à 2.

    Pretentieux, pénible, j'ai eu du mal à tenir jusqu'à la fin.

    M
    • [^] # branlez vous en public

      Posté par  . Évalué à 1.

      Prétentieux je ne sais pas.

      Par contre, l'absence de sommaire et de table des matières, l'absence d'une mise avant claire du plan et de la problématique en introduction rend en effet, l'abord peu commode.
      De même, sauter à la fin pour étudier la conclusion amène à quelques pages qui ressemblent pas du tout à une conclusion.

      Du coup, j'ai personnellement parcouru le document en diagonale sans trop de logique mais par pur hasard.

      - Une section évoque « L'assistant Powerpoint » (p. 13) et signale que les « structures de présentation standards (sic) proposées par PowerPoint sont [...] calquées sur une scénario Hollywoodien normalisé : camper le décor, créer l'inquiétude, montrer des faiblesses vénielles, happy-endiser ».

      Camper le décor, c'est ce qui doit être fait dans toutes présentations (ça s'appelle l'introduction). Présenter les problèmes, ça me parait normal. Quant à l'happy end, il faut garder en vue l'objectif de ces présentations : poursuivre un projet... il est donc évident que la fin doit refleter des perspectives positives, des objectifs.

      Bref, je ne vois vraiment pas où est le problème, j'aurais tendance à dire que cette partie de PowerPoint n'est pas franchement honteuse.

      - A propos des cliparts, l'auteur nous dit que « nous sommes tous des Joseph K. essayant de nous défendre avec notre pitoyable rhétorique dans un monde devenu absurde ». L'auteur connait Kafka : c'est bien. Mais très franchement, en quoi il est absurde que certains cliparts soient frequemment utilisés de part le monde ? Les stylos à encre le sont aussi, et ils ont une fonction comparable (un outil d'expression). Où est l'absurde ?

      Il n'y a pas de réelle problématique en introduction. Ces deux paragraphes que j'ai lue, conséquement, ne suivent aucun fil conducteur. On dirait lire un fou furieux qui conteste pour contester.

      Le cliparts d'Office sont correct. Ils n'ont rien d'honteux.

      - A propos d'excel, il est dit que le logiciel « nous plonge dans un monde automatique de réactions en chaîne »...

      Tout autant qu'un livre de compte venicien du XVème siècle. Où est le problème ?

      A ce qu'il parait « nous sombrons dans un excel, [...] un bon moyen de se bourrer la gueule au calcul, de s'abandonner à la grande diarrhée des nombres ».




      Je pense que je peux arrêter ma lecture : ok c'est de la branlette intellectualisante. L'auteur se fait plaisir en étalant ses lectures et en dissertant sur des questions sans objet.
      Y'a pas de projet derrière ce travail si ce n'est la jouissance de l'auteur : de la branlette, je confirme.
      La branlette n'est pas une activité honteuse, elle permet sans doute à l'humain d'accèder à un mieux-vivre. Il n'est cependant pas nécessaire de la pratiquer en public.



      (désolé, j'ai oublié de préciser la page concernée à chaque fois).
      • [^] # Re: branlez vous en public

        Posté par  . Évalué à 1.

        J'ajouterais que, et ce n'est pas pour jeter le discredit mais uniquement parce que c'est ce qui m'a traversé l'esprit en premier, cet ouvrage m'inspire ce que m'avait inspiré la thèse d'Elisabeth Tessier : rien.
        Des belles paroles, des références très chic à tout va ; mais surtout des développements qui n'en sont pas.

        Ceci dit, il faut reconnaitre à Tessier que cette dernière suivait un fil conducteur, une problématique (prétendre que l'astrologie est une science).
        • [^] # Re: branlez vous en public

          Posté par  . Évalué à 1.

          J'ai plutôt touvé cela marrant. L'auteur dit lui-même qu'il sagit d'une compilation de billet d'humeur.


          Le fichier Word du livre que vous lisez pèse 200 Ko. Je peux vous l’avouer, il contient
          beaucoup de collages de machins que j’ai écrits par le passé. C’est un chutney de textes, une
          façon d’accommoder les restes, de réutiliser des rots d’esprit que jadis, une fois par
          trimestre, j’ai publiés dans Influx42. À ma décharge, je dirai toutefois que je revendique la
          paternité de tout. Chaque mot que vous lisez est issu du tambourinage de mes propres
          doigts boudinés sur le clavier ou du tango nerveux du stylet sur mon Visor.


          Il compare son propre texte a des rots d'esprits, je pense pas qu'il ai la même prétention que Tessier avec sa thése. Bon perso j'ai passé un bon moment en le lisant.

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