Ça ne semble pas être leur stratégie dans ce cas là. Le support d’ODF est assez ancien dans office, et — du moins aux dernières nouvelles, pas très fraîches, que j’en avais — il s’agit essentiellement d’une fonctionnalité en carton : le but semblant juste de pouvoir prétendre à la compatibilité avec un format ouvert, mais sans pour autant permettre aux utilisateurs de l’employer.
Si on parle bien d'un fichier ODT, c'est normal qu'Excel n'arrive pas çà l'ouvrir ! C'est du traitement de texte. Si c'est un fichier ODS, il est possible qu'il pose effectivement des problèmes. Mais le support de l'ODF par MsOffice, loin d'être parfait, est correct.
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
# EEE
Posté par damiend . Évalué à 1 (+1/-0).
J'apprends aujourd'hui cette compatibilité, tombant des nues, un peu transporté. Puis je me suis rappelé https://fr.wikipedia.org/wiki/Embrace,_extend_and_extinguish
Doit-on râler d'avance ?
[^] # Re: EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 3 (+1/-0).
Ça ne semble pas être leur stratégie dans ce cas là. Le support d’ODF est assez ancien dans office, et — du moins aux dernières nouvelles, pas très fraîches, que j’en avais — il s’agit essentiellement d’une fonctionnalité en carton : le but semblant juste de pouvoir prétendre à la compatibilité avec un format ouvert, mais sans pour autant permettre aux utilisateurs de l’employer.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# lol
Posté par steph1978 . Évalué à 3 (+1/-0).
"Compatible"
Quand tu ouvres un odt avec excel il te balance un "document corrompu, voulez vous le réparer"
[^] # Re: lol
Posté par Ysabeau 🧶 (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 5 (+2/-0).
Si on parle bien d'un fichier ODT, c'est normal qu'Excel n'arrive pas çà l'ouvrir ! C'est du traitement de texte. Si c'est un fichier ODS, il est possible qu'il pose effectivement des problèmes. Mais le support de l'ODF par MsOffice, loin d'être parfait, est correct.
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
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