«Il semble inenvisageable d'instaurer une jurisprudence répressive dont il résulterait une véritable insécurité permanente, juridique et judiciaire, pour les internautes, certes avisés, mais de bonne foi, qui découvrent les failles de systèmes informatiques manifestement non sécurisés.» C'est ce que le parquet général de la cour d'appel de Paris a donné comme explications afin de relaxer le journaliste de kitetoa.com.
Il était temps que la justice se rende compte que derrière chaque internaute ne se cache pas un Jean-Kevin et que les administrateurs ou webmasters ont des responsablilités et un minimum de précautions à prendre avec leurs données.
Il faudra tout de même attendre le 30 novembre pour connaître le verdict.