• # Par ici la bonne soupe...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

  • # pfff...

    Posté par  . Évalué à 2.

    Désolé, pas vu. Pan sur mes doigts. L'outil de vérif des doublons me l'a pas sortit celui là.
    • [^] # Re: pfff...

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      d'où l'intérêt de mettre des titres de journaux explicites. Je sais, c'est moins lyrique mais ca peut faire gagner du temps à tout le monde.
      • [^] # Re: pfff...

        Posté par  . Évalué à 2.

        Il était pas explicite le mien (le tour de France Telecom) ?
        Il n'apparait pas dans la liste des derniers journaux ?
        Ca doit être dû à FT != France Telecom.
        • [^] # Re: pfff...

          Posté par  . Évalué à 2.

          Je pense qu'il parlait de mon propre titre. L'outil de vérif m'a proposé un journal assez vieux parlant de concurrence mais pas de France télécom (donc pas ton journal). Et il apparait en effet dans la liste des derniers journaux mais je l'ai raté lors de mon scrolling, il se trouvait en limite d'écran de mon petit portable. En plus, je l'avais visiblement parcouru d'après le tag "(déjà visité)".
          Je ne m'en souvenais plus et n'ai donc aucune excuse. Mea Culpa Maxima ;o)

          A ce propos, comment fonctionne t elle cette vérification, sur quels critères (le tire du journal, le corps ?). C'est la première fois que j'écrivais un journal depuis ça mise en place. S'il y a eu un journal ou quoique ce soit la dessus, j'ai pas cherché beaucoup, je suis trop crevé mais y a rien à ce sujet dans le forum Linuxfr.changements.
          J'avais d'ailleurs oublié de cocher la case comme quoi j'avais vérifié les doublons. A ce propos, la page où on arrive dans ce cas st assez déroutante, je me demandait si je devais faore retour ou autre chose pour ne pas faire de bétise. Un petit lien "retourner à la rédaction du journal" ne serait peut être pas de trop.

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.