manu928 a écrit 4 commentaires

  • [^] # Re: Je ne vois pas bien l'interdiction du logiciel libre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Projet de loi de finances FR 2016 : interdiction des logiciels libres de comptabilité et de caisse. Évalué à 2.

    Bonjour,
    De ce que je comprends de votre réponse, votre problématique semble plus sur les coûts que cela va engendrer et sur votre faculté à refacturer ces coûts à vos clients. Problème d'autant plus crucial pour une petite société qui vit d'un seul logiciel que d'un gros éditeur qui peut "étaler" cela dans ses frais de fonctionnement.

    Pour la traçabilité, cela implique que vos clients n'utilisent que des paquets compilés et distribués par vous(Comme dans la majorité des distributions linux).
    En corollaire, cela implique que celui qui veut compiler lui-même doit faire ré-homologuer son logiciel.
    C'est effectivement une entorse au fonctionnement du logiciel libre, mais pas une remise en cause.

    Dans les textes, l'administration fiscale veut que l'intégrité des données saisies soit assurée, non modifiable et protégée de la modification par un logiciel tiers. Il doit être possible d'avoir un module autonome pour cette fonction, qui est homologué et tracé, laissant le logiciel et l'interface autour évoluer librement.

  • [^] # Re: Dura lex, sed lex ou le problème des logiciels à plusieurs utilisateurs

    Posté par  . En réponse à la dépêche Projet de loi de finances FR 2016 : interdiction des logiciels libres de comptabilité et de caisse. Évalué à 2.

    Le fond du problème, c'est que tout ou partie des logiciels permettent de supprimer un certain nombre de transactions (et donc de les passer au black).
    L'administration fiscale veut rendre cette fonction impossible.

  • # Je ne vois pas bien l'interdiction du logiciel libre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Projet de loi de finances FR 2016 : interdiction des logiciels libres de comptabilité et de caisse. Évalué à 5.

    Bonjour,
    Je ne suis très loin d'être un spécialiste en droit, mais je comprend la chose suivante : Pour être commercialisable, un logiciel de compatbilité doit être certifié par l'administration. Ensuite, il faut être capable de faire le lien entre le code certifié et le programme qui tourne sur l'ordinateur du commerce contrôlé (au travers d'une signature, d'un serveur de licence…)
    C'est comme pour une voiture : une voiture est homologué pour avoir le droit de circuler. Après certaines personnes font modifier la voiture et perdent l'homologation. Il y a même des gens qui vendent des modifications.

    C'est à l'utilisateur de prouver qu'il utilise un logiciel homologué, et non au distributeur du logiciel de prouver qu'aucune version modifiée ne circule.

  • # Part de marché

    Posté par  . En réponse à la dépêche Publication de Pastèque version 6. Évalué à 3.

    bonjour,
    je trouve votre projet intéressant (même si pas concerné… je travaille dans l'industrie).
    Savez vous donner un ordre de grandeur de votre parc installé et/ou part de marché ?
    merci