C'est juste une traduction de cet article du NYT : http://www.nytimes.com/2007/06/10/business/10microsoft.html?(...)
Licence : faites-en ce que vous voulez, mais citez votre source en pointant un lien vers ce journal.
Microsoft trouve des défenseurs au Département de la Justice
9 Juin, Washington - Presque une décennie après l'effort capital pour scinder Microsoft, l'administration Bush a clairement changé le cours en défendant l'entreprise maintes fois tant aux États-Unis d'Amérique qu'à l'étranger contre les accusations de pratiques anti-concurrentielles, dont le récent rejet de la plainte de Google.
Ce désengagement reflète une substantiellement différente interprétation de la politique concurrentielle, autant que de la reconnaissance de changements majeurs sur le marché. La ligne de front parmi les firmes technologiques s'est déplacée depuis les logiciels pour le bureau, domaine dominé par Microsoft, vers les recherches sur Internet et les logiciels orientés web qui permettent aux utilisateurs de contourner les produits de Microsoft, le plus conséquent éditeur de logiciel au monde.
Dans un exemple récent particulièrement frappant de changement de la politique, le plus haut responsable de la concurrence au Département de la Justice le mois dernier intima aux procureurs des États de rejeter une plainte confidentielle pour pratiques anticoncurrentielles de Google qui est liée à un décret consentant à surveiller le comportement de Microsoft. Google avait accusé Microsoft de concevoir son dernier système d'exploitation, Vista, pour décourager l'utilisation du programme de Google de recherche sur le bureau, dirent des avocats engagés dans l'affaire.
L'officiel Thomas O. Barnett, un assistant du ministre de la Justice, était jusqu'en 2004 un important partenaire au cabinet d'avocat qui représentait Microsoft dans plusieurs affaires de concurrence déloyale. Les officiels du Département de la Justice affirmaient qu'au cabinet, il n'avait jamais travaillé sur des affaires concernant Microsoft. Pourtant, plus d'une année après son arrivée au département, il se retira de plusieurs dossiers à cause de questions de conflits d'intérêts. Des avocats en déontologie blanchirent finalement son implication.
Le mémo de Mr Barnett rejetant les accusations de Google, envoyé aux procureurs d'État à travers la nation, alarma beaucoup d'entre eux, disent-ils avec d'autres légistes de cinq États. Des officiels des États dirent qu'ils croyaient que la plainte de Google avait des fondements. Ils dirent également qu'ils ne pouvaient pas se remémorer quelconque demande d'une tête de la section concurrence du Département de la Justice d'abandonner des perquisitions.
Le mémo de Mr Barnett apparait avoir occasionné un retour de flamme, dirent les officiels des États. Des procureurs de plusieurs États dirent qu'ils envisageaient de donner suite aux accusations de Google avec ou sans le gouvernement fédéral. En réponse, les procureurs fédéraux discutent actuellement avec les États si le Département de la Justice les joindra dans la suite de la plainte de Google.
La plainte, qui clame que l'outil de recherche sur le bureau de Google est ralenti par le compétiteur de Microsoft, n'a pas été rendue publique par Google ni par le juge supervisant le décret de surveillance de Microsoft, Colleen Kollar-Kotelly de la Cour du District Fédéral de Washington. On s'attend à ce que ce soit discuté lors d'une audience sur le décret devant le juge Kollar-Kotelly, ce mois-ci.
Le mémo illustre la transformation politique de Microsoft, tout comme le changement dans la politique de la concurrence entre les officiels nommés par Bill Clinton et ceux du président Bush.
«Avec le changement dans les administrations, il y eut une nette chute des préoccupations sur l'utilisation de l'emprise sur les marché de Microsoft et d'autres grandes compagnies,» affirma Harry First, un professeur de l'École de Droit de l'Université de New York et ancien haut responsable de la concurrence pour l'État de New York qui écrit un livre sur le cas Microsoft. «L'administration a été très conservatrice et bien moins concernée par les conduites dominatrices d'uniques compagnies que les précédentes administrations.»
Ricardo Reyes, un porte-parole de Google, refusa de commenter la plainte de Google.
Bradford L. Smith, le conseiller général chez Microsoft, affirma que la compagnie ignorait le mémo de Mr Barnett. Il dit que Microsoft n'a pas violé le décret de surveillance et qu'il avait déjà effectué des modifications dans Vista en réponses aux inquiétudes soulevées par Google et d'autres compagnies.
Il affirma que le nouveau système d'exploitation était conçu avec le soucis de bien fonctionner avec les logiciels rivaux et qu'un comité technique indépendant qui travaille pour le Département de la Justice et les États a passé des années à examiner Vista pour d'éventuelles pratiques anticoncurrentielles avant qu'il ne soit en vente.
Il affirma qu'en dépit que le décret de surveillance ne l'oblige pas Microsoft à modifier Vista en réponse à la plainte de Google, les avocats et les ingénieurs de Microsoft ont travaillé étroitement avec les officiels aussi bien des États et fédéraux dans les derniers jours à la recherche d'un compromis.
«Nous avons décidé de faire du supplément pour être raisonnable,» dit Mr Smith. «Les discussions entre la compagnie et les différentes agences gouvernementales ont été plutôt productives.»
Microsoft fut sauvé d'être scindé en deux par un appel fédéral de la cour de décision prononcé tôt par l'administration Bush. La décision, en 2001, confirma que la compagnie avait répétitivement abusé de son pouvoir monopolistique dans le marché du logiciel, mais il annula l'ordre de la cour subalterne voulu par l'administration Clinton de scinder la compagnie.
(page 2 sur 2)
Google se plaignit aux procureurs fédéraux ou des États que les consommateurs qui essaient d'utiliser l'outil de recherche sur disques dur dans Vista étaient frustrés car Visata a un programme de recherche sur le bureau concurrent qui ne peut pas être arrêté. Quand les programmes de recherche de Google et de Vista tournent simultanément sur un ordinateur, leur logiciels d'indexation ralentissent considérablement le système d'exploitation, clama Google. Au final, Google affirma que Vista violait l'accord sur la concurrence de 2002, qui interdit Microsoft de concevoir des systèmes d'exploitation qui limitent le choix des consommateurs.
Google demanda à la cour de superviser l'application du décret pour ordonner à Microsoft, de reconcevoir Vista et de permettre aux utilisateurs d'arrêter le programme intégré de recherche du bureau afin que les programmes concurrent puissent mieux fonctionner, dirent les officiels.
Les officiels des États dirent que le mémo de Mr Barnett rejetait la plainte de Google, répétant les arguments juridiques de Microsoft.
Avant qu'il ne joignit le Département de la Justice en 2004, Mr Barnett fut vice-président du département de la concurrence chez Covington & Burling, qui représenta Microsoft dans une affaire de pratiques anticoncurentielles et continue de représenter la compagnie.
Dans une récente entrevue, Mr Barnett refusa de discourir sur la plainte de Google, notant que le décret requiert que les plaintes des compagnies restent confidentielles. Il défendit la conduite global de l'affaire Microsoft par le gouvernement fédéral.
« L'objectif du décret était de prévenir et de prohiber Microsoft de certaines pratiques excluantes qui sont anticoncurrentielles par nature,» dit Mr Barnett. «Ce n'était pas conçu pour désigner qui gagnerait ou déterminer qui aurait quelle part de marché.»
«Nous voulons empêcher Microsoft de faire des choses qui excluent les concurrents, » ajouta-t-il. «Également, nous ne voulons pas perturber le marché d'une façon propre à être dangereuse pour les consommateurs. Que cela signifie-t-il ? Nous n'avons jamais essayé d'empêcher quelque compagnie que ce soit, Microsoft inclus, d'innover et d'améliorer ses produits d'une manière apte à être un bénéfice pour les consommateurs.»
Des procureurs de plusieurs États dirent qu'ils avaient la conviction que la plainte de Google sur des pratiques anticoncurrentielles ressemblait beaucoup à celle de Netscape, une compagnie qui popularisa le navigateur web, qui fut la base de la poursuite en justice de 1998.
Richard Blumenthal, ministre de la justice du Connecticut, refusa de parler de l'essence de la plainte, ou de quelle compagnie la lança. Mais il dit que le mémo de Mr Barnett l'avait surpris.
«Les sourcils se levèrent avec cette lettre, dans notre groupe, autant par son fond et son ton que par la relation passée de l'auteur avec Microsoft,» dit Mr Blumenthal, un des quelques procureurs d'État qui furent engagés dans l'affaire depuis son commencement.
«Dans l'esprit, si ce n'est dans la lettre, c'était la situation de Microsoft-Netscape,» dit Mr Blumenthal. « La question est : est-ce complètement du déjà vu.»
L'administration supporta Microsoft dans d'autres accusations d'abus de monopole aussi.
L'année dernière, en exemple, une délégation des États-Unis dans l'Union Européenne se plaignit auprès des régulateurs européens qu'on dénia à Microsoft l'accès aux preuves dont il avait besoin pour se défendre dans une enquête sur de possibles pratiques anticoncurrentielles. La délégation des États-Unis mené par l'ambassadeur C. Boyden Gray, qui avait travaillé pour Microsoft en tant qu'avocat et lobbyist.
Robert Gianfrancesco, un porte-parole de la délégation, affirma que l'ambassadeur Gray ne s'était pas formellement désengagé de questions concernant Microsoft mais n'était pas impliqué dans la plainte contre les régulateurs européens, qui était gérée par d'autres diplomates américains dans la délégation.
En décembre 2005, le Département de la Justice critiqua sévèrement la Fair Trade Commission Coréenne après que cette agence ordonna des changements majeurs dans les pratiques mercantilistes de Microsoft en Corée.
Et en 2004, le Département de la Justice critiqua la Commission Européenne pour avoir puni Microsoft d'avoir inclus son lecteur audio et vidéo dans son système d'exploitation.
Les experts de la concurrence attribuent l'administration Bush cette différente approche envers Microsoft à une convergence de forces politiques autant qu'à de significatifs changements dans le marché.
Un grand facteur fut l'approche laxiste de l'administration Bush sur la régulation du marché. Pour sa part, Microsoft, qui dépensa plus de 55 millions de dollars dans le lobbyisme à Washington de 2000 à 2006 et substantiellement plus pour les avocats, est devenu une organisation de lobby plus effective.
«Le généreux et non-cynique point de vue est qu'il y eut un changement fondamental dans la philosophie sur le degré avec lequel la régulation de la concurrence devrait influer le monde des affaires, » dit Andrew I. Gavil, un professeur de lois sur la concurrence à l'Université d'Howard qui est co-auteur du livre sur Microsoft avec le professeur First, le professeur de droit de l'Université de New York. « Dans le cas de Microsoft, vous pouvez voir comment ce changement s'est manifesté.»
# Le retour de la vengeance de la main invisible
Posté par Anonyme . Évalué à 2.
[^] # Re: Le retour de la vengeance de la main invisible
Posté par Khâpin (site web personnel) . Évalué à 3.
L'ironie, c'est que l'Écosse bat sa propre monnaie maintenant, et que Smith est sur le billet anglais (donc gallois et irlandais du nord également), mais pas sur le billet de sa nation...
# Licence
Posté par Bruce Le Nain (site web personnel) . Évalué à 3.
Intéressant, c'est la première fois que je vois cette remarque sur un journal, je me demande, dans le cas d'un texte saisi sur un site, si la licence donnée par l'auteur prévaut sur celle automatiquement attribuée par le site.
Je ne sais pas pour linuxfr, mais pour wikipedia, par exemple (http://fr.wikipedia.org : Copyright : Tous les textes sont disponibles sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL).) que se passe-t-il si quelqu'un indique une autre licence au début ou à la fin de son article ?
[^] # Re: Licence
Posté par Christophe Merlet (site web personnel) . Évalué à 4.
Heuu, tu as demandé si tu as le droit de traduire cet article du NYT et de le publier avant de réclamer une quelquonque légitimité ?
[^] # Re: Licence
Posté par moramarth . Évalué à 1.
Si LinuxFr stipule obligatoirement une autre licence, alors ça ne servait à rien que je comble (hâtivement) le vide juridique : utilisez la licence voulue par linuxfr qui s'impose.
Après, je n'ai pas les moyens de surveiller et poursuivre tout le monde. C'est surtout au cas où on aurait des scrupules. Ne vous formalisez pas trop.
[^] # Re: Licence
Posté par zebob . Évalué à 4.
[^] # Re: Licence
Posté par moramarth . Évalué à 2.
[^] # Re: Licence
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . Évalué à 2.
# On peut même dire ...
Posté par francouf . Évalué à 2.
Ce n'est pas parce que l'administration Bush est plus c*nne que les autres, et donc qu'elle se fait choper sur la plupart de ses conneries, qu'il faut minimiser le pouvoir d'influence de M$ sur les autres administrations de la planète.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 2.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par Jak . Évalué à 3.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par Sylvain Sauvage . Évalué à 3.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à -1.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 0.
T'es libre de ne pas etre d'accord, mais a moins d'amener un minimum d'argument serieux, tu vas passer pour un boufon une fois de plus.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 3.
Maintenant si tu vois qu'il y a collusion entre le pouvoir poltique americain et ta cher boite sur des sujets non relie au gouvernement americain c'est toi qui devrait porter le bonner a grelot :)
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à -1.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 3.
Allez va donc regarder ton film prefere: "Thank you for smoking" tu dois triper devant.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
Et bon encore une fois l'Europe n'est pas les USA donc un representant de l'etat americain n'a pas a s'immiscie dans une decision de la commission europeene. Point barre. Donc, en Europe, ta petite boite est en infraction depuis des annees, a ete comdamne et ne paie pas son amende ni ne diffuse ses protocoles comme celui lui a ete ordonne! Je regrette juste que l'europe n'ait pas interdit la commercialisation de Vista, c'est probablement la seule chose qui auraient fait plie ta boite.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par Nicolas Schoonbroodt . Évalué à 4.
Premièrement, je ne vois pas pourquoi une loi devrait permetre de faire pression sur quelqu'un de non élu mais nommé. Je pense plutôt qu'il faudrait une loi l'interdisant. Donc donne nous tout d'abord l'article de loi l'interdisant, peut-être qu'après pBpG pourra te montrer l'exception éventuelle à cette loi.
Deuxièmement, bien sur que si, l'état américain, des américains, des représentants des américains peuvent intervenir quand l'Europe veut prendre une décision concernant... des américains. Sinon que pensez des négociations des Français avec les talibans quand il s'agit de faire libérer un français otage de ceux-ci ? Après tout, c'est un affaire talibane. Ou que pensez du fait que l'Europe s'oppose aux subventions déguisées de Boeing ? Après tout, c'est une histoire entre une companie américaine et l'état américain. Et ainsi de suite.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par Seazor . Évalué à 1.
Incompatibilité détectée dans l'énoncé.
Ton français est victime d'une prise d'otage.
Pour que la situation soit semblable à celle de MS, il faut que ton otage soit en fait un condamné par la justice locale.
A moins que tu me dises que MS est victime de la méchante cour de justice européenne...
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
1 - Contrairement a pbpg JE ne suis pas un lobbyste et donc il est largement plus a mene de donner les lois concernant son boulot que moi.
2 - Dans toutes les democraties il y a des gardes fous, des lois, pour empecher la collusion des hommes politiques et de la ou se trouve l'argent. Ce sont des lois anti-corruptions et bon meme si les USA sont un pays imite democratiquement parlant, ce genre de lois existe aussi la-bas.
Sinon que pensez des négociations des Français avec les talibans quand il s'agit de faire libérer un français otage de ceux-ci ?
Que le gouvernement fait son boulot de politique. Il est un peu different de faire des negociations politique et des incitations economiques.
Après tout, c'est un affaire talibane. Ou que pensez du fait que l'Europe s'oppose aux subventions déguisées de Boeing ? Après tout, c'est une histoire entre une companie américaine et l'état américain. Et ainsi de suite.
Ca veut rien dire ta phrase... L'europe a des subventions avec EADS et les USA avec boeing et les problemes vient du fait que aucun etat n'est d'accord le niveau des aides accordes par les europeens a une compagnie europeene et aux aux americains a une compagnie americaines. Je dirais que ton example est assez mauvais car justement chacun reste chez soi...
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Ah ben puisque tu sais qu'elles existent, montre les !
Ah oui j'oubliais, tu parles de ce que tu ne connais pas, comme d'hab.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
Tu es tres fort sur le coup mais passablement ridicule.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par Nicolas Schoonbroodt . Évalué à 2.
Comprendo ?
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
Ah ben puisque tu sais qu'elles existent, montre les !
Ah oui j'oubliais, tu parles de ce que tu ne connais pas, comme d'hab.
Tu parles de ce message de pbpg? Les premieres lignes sont de moi le reste sa reponse. Il n'y a ABSOLUMENT rien qui fait reference a MS dans tout ca par contre ca parle de lois et pbpg dit clairement: Ah ben puisque tu sais qu'elles existent, montre les ! Ce qui sous entend bien que, d'apres lui, ces lois n'existent pas.
Comprendo?
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
http://www.globalintegrity.org/reports/2004/2004/scoresb2f5-(...)
- 70a: In law, attempted corruption is illegal.
Score: yes/1.00
Comments: Yes, in law, attempted corruption is illegal.
References: United States Government Response to the Questionnaire on the Implementation of the Inter-American Convention Against Corruption, May 24, 2002.
traduction rapide:
Question: Dans la loi, une tentative de corruption est elle illegale?
Reponse: Oui, dans la loi, une tentative de corrutption est illegale.
References: Reponse du gouvernement des Etats-Unis dans un questionnaire sur la mise en place de la convention inter-americaine contre la corruption, 25 may 2002.
Maintenant l'idiot c'est peut etre moi... Celui qui insulte par contre c'est toi!
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Vraiment, avant de parler d'un sujet que tu ne connais pas, je te suggere de t'informer un minimum.
Genre chercher ce qu'est le lobbiysme : http://en.wikipedia.org/wiki/Lobbying_in_the_United_States
3 secondes pour trouver ca sur Google hein.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
MS est libre de faire ce qu'il veut aux USA, tant qu'il respecte la loi US.
T'es visiblement pas au courant, mais les lois de l'EU, elles s'appliquent a l'Europe, pas aux USA.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
Et inversement. Enfin bon continue donc a defendre les pratiques mafieuses de ta boite cela montre a quel niveau tes valeurs morales s'elevent! Tu as bien choisis la ou tu travailles!
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Venant d'un gars qui raconte connerie sur connerie jour apres jour, je prends ca comme un compliment.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Je vais etre gentil, je vais considerer que tu es naif et stupide.
MS paie X pour faire pression sur plusieurs senateurs.
Les senateurs causent au president, a l'ambassadeur, ...
L'ambassadeur fait pression.
Comprendo ?
Et bon encore une fois l'Europe n'est pas les USA donc un representant de l'etat americain n'a pas a s'immiscie dans une decision de la commission europeene. Point barre.
Ca c'est le probleme du representant americain, pas de MS, MS ne fait rien d'illegal lui (et le representant americain non plus vu qu'il ne paie personne).
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par abramov_MS . Évalué à 2.
Moi j'ai paye le cousin de vini qui a parle a son oncle et qui va faire sauter la voiture de pbpg mais non je suis pas coupable de meutre. MOUARFFFFF quel comique!
Vous etes qu'une bande de mafieux donc... Quoi qu'il en soit l'ambassadeur americain n'a pas a se meler des affaires internes europeenne.
[^] # Re: On peut même dire ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
http://www.gsm.uci.edu/~mckenzie/unsettling.pdf
Microsoft has surely learned another important (but unfortunate) lesson: Politicking
counts in antitrust matters. The corollary lesson is that any very large and visible firm like
Microsoft must pay the political pipers, before it has to react to claims of its competitors.
Circa 1995, Microsoft was a political neophyte. The company’s political contributions
totaled a meager $16,000, millions less than its rivals (IBM, AOL, Netscape, Oracle and
Sun Microsystems) were spending on lobbying.
The company had only one lobbyist in Washington, and his office was out near
Maryland, not on the K Street corridor where all big-time lobbyists ply their trade. When
that one lobbyist called Gates to ask to move downtown so that he could be more
effective, Gates is reported to have snapped, “Haven’t you heard of e-mail?”
MS evitait de toucher a la politique, et laissait le lobbyisme a ses concurrents, ils ne feront pas la meme erreur 2 fois.
Ce qu'il faut faire c'est interdire le lobbyisme, mais tant que c'est permis, MS n'a pas le choix, il ne peut pas laisser le champs libre a IBM et autres.
[^] # Autre sujet ...
Posté par francouf . Évalué à 4.
Je me pose souvent cette question et je ne trouve pas de réponse :
Qu'est ce que M$ a apporté (inventé) à l'informatique moderne (style TCP/IP, la souris, l'interface graphique, le navigateur web, le DOS, ...) ?
Je ne parle évidemment pas des technologies qu'ils ont piquées et mieux vendues ensuite ...
Ni même des brevets bidons qu'ils ont déposés ...
Merci de me donner une chose (une liste serait encore mieux).
[^] # Re: Autre sujet ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Editors:
Tim Bray (Textuality and Netscape) <tbray@textuality.com>
Jean Paoli (Microsoft) <jeanpa@microsoft.com>
C. M. Sperberg-McQueen (University of Illinois at Chicago) <cmsmcq@uic.edu>
Voila ca fait un.
Maintenant, vu le ton de ton post je vais pas m'amuser a te faire une liste, si t'as vraiment envie de savoir tu cherches et tu trouveras.
[^] # Re: Autre sujet ...
Posté par francouf . Évalué à 2.
Ils font cela depuis leurs débuts. Et ensuite, ils changent un peu ces mêmes standards dans leurs logiciels pour que le standard ne soit plus un protocole ou un langage mais un logiciel.
Et tout cas, ta réponse n'apporte rien à mon ignorance en la matière. J'en suis un peu déçu d'un coté mais rassuré de l'autre.
[^] # Re: Autre sujet ...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 0.
Ils font cela depuis leurs débuts. Et ensuite, ils changent un peu ces mêmes standards dans leurs logiciels pour que le standard ne soit plus un protocole ou un langage mais un logiciel.
T'es libre de t'enfoncer la tete dans le sable et te convaincre que ce sont tous des cons incapable de creer quoi que ce soit.
Mais si tu preferes vivre dans un monde artificiel et rester frustre plutot que regarder la realite en face c'est ton probleme, perso je m'en fous.
[^] # Re: Autre sujet ...
Posté par khivapia . Évalué à 3.
Ils ont par exemple sorti en collaboration avec l'INRIA une nouvelle démonstration du théorème des quatre couleurs, nécessitant moins de temps de calcul que les précédentes, et surtout dont les calculs sont entièrement vérifiables par un humain, dans un temps "raisonnable" voir http://www.inria.fr/actualites/2005/theoreme4couleurs.fr.html
(ensuite il y a le bouton démarrer placé en bas à gauche ----->[])
# Également sur Slashdot
Posté par moramarth . Évalué à 1.
Incroyable, slashdot à la masse par rapport au NYT sur de l'informatique. Il faut dire que c'était très administrativo-légal, mais bon.
# Euh .. C'est moi ou ...
Posté par totof2000 . Évalué à 4.
[^] # Re: Euh .. C'est moi ou ...
Posté par moramarth . Évalué à 3.
Ceci dit, j'ai quand même allégé certaines formulations, ci ou là. Très peu, malheureusement peut-être.
Mais j'étais tellement content d'avoir un article du très officiel et très réputé NYT à présenter à ceux qui sont pas loin de m'accuser d'être un paranoïaque partisan de la théorie conspirationniste , que j'ai voulu en faire une traduction qui se doit de rester proche de l'original.
Si je me permets trop de liberté (j'aurais bien voulu regrouper des paragraphes, comme ceux expliquant en quoi consiste la plainte de Google, par exemple).
Si tu es anglophone, reposes-toi et compares avec la version originale.
Tu pourras te rendre compte par toi-même de la pertinence de la traductio et peut-être me donner des conseils qui sait.
[^] # Re: Euh .. C'est moi ou ...
Posté par totof2000 . Évalué à 2.
Par exemple tu traduis la premiere phrase par :
Presque une décennie après l'effort capital pour scinder Microsoft, l'administration Bush a clairement changé le cours en défendant l'entreprise maintes fois tant aux États-Unis d'Amérique qu'à l'étranger contre les accusations de pratiques anti-concurrentielles, dont le récent rejet de la plainte de Google.
Moi j'aurais écris:
"Prèsque 10 ans apres que le gouvernement ait fourni de gros efforts pour tenter de scinder microsoft, l'administration Bush a totalement changé d'attitude en défendant maintes fois l'entreprise, tant aux Etats Unis qu'à l'étranger, contre les accusations de pratiques anti-concurrentielles, dont le récent rejet de la plainte de Google.
Ce désengagement reflète une substantiellement différente interprétation de la politique concurrentielle,
Ce désengagement reflète une interprétation substantiellement différente de la politique concurentielle"
Ce sont ces petits détails qui permettent de rendre le texte plus compréhensible.
Cela dit, merci pour ton effort de traduction, je sais pour en avoir déjà fait par ailleurs, que ce n'et pas quelque cose de simple à faire.
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