Le PPP, c'est le « Point-To-Point Protocol ». C'est en général celui qui est utilisé lorsque tu te connectes chez ton fournisseur d'accès à Internet.
Les « interfaces » en question sont les interfaces réseau, en général les cartes Ethernet. Ces dernières sont repérées par eth0, eth1, eth2, etc.
Une interface réseau se caractérise, en faisant simple, par le fait qu'elle soit dotée d'une adresse IP et qu'elle puisse directement dialoguer avec toutes les machines de son réseau local.
À l'inverse, un port série ne peut communiquer qu'avec un et un seul autre port série, soit en reliant directement les fils entre eux (câble NULL-Modem), soit par modem interposé.
Le protocole PPP sert donc à simuler une interface réseau virtuelle, naturellement nommée PPP0 (puis PPP1, PPP2, etc. mais il est rare d'avoir plus d'un modem sur une même machine, donc on les voit rarement chez un particulier), auquel le système peut accéder comme aux autres, tout en véhiculant le trafic à travers un pipe ou n'importe quel canal série.
C'est ce qui est utilisé partout, même sous Windows, bien que ce soit moins flagrant pour l'utilisateur.
C'est également le protocole utilisé par l'ADSL lorsque tu n'es pas dégroupé (en dégroupage, ton modem est directement relié sur le réseau de ton fournisseur, donc nul besoin d'authentification ou d'encapsulation supplémentaire).
Le problème est qu'en l'occurence, la « transparence » est tellement parfaite qu'apparement, ta Mandriva essaie de démarrer ta connexion à Internet de la même façon qu'elle active tes cartes réseau. Si tu es en ADSL, c'est une bonne idée, si tu es en 56K, il vaut mieux la désactiver au démarrage.
Dans tout les cas, si cela bloque au démarrage, un petit Ctrl-C au moment du bloquage sur cette ligne devrait t'aider à passer facilement à la suite .
Le plus simple est encore que chaque serveur d'acquisition prenne de lui-même l'initiative de se connecter au serveur interbancaire en lui disant « Bonjour, je suis la banque DuFlouze, à votre service. », et maintienne la connexion ouverte. Le serveur du réseau interbancaire, lui, maintient en temps réel la liste des banques connectées.
Ensuite, tu définis un protocole de communication commun à tous les protagonistes de l'affaire mais concrètement, il s'agit de faire trois choses :
- S'authentifier (« Je suis le terminal|serveur d'acquisition|serveur d'autorisation|réseau interbancaire, et pour le prouver, voici mon mot de passe »).
- Faire une requête de transaction.
- Répondre à cette requête par « Oui », « Non », ou « Réseau Indisponible ».
Ensuite, cela se passe au niveau des serveurs d'acquisition.
- Une requête peut provenir invariablement d'un terminal ou du réseau interbancaire. Les deux connexions seront traitées exactement de la même façon :
- La requête est réémise telle quelle soit vers le serveur d'autorisation local s'il s'agit de la bonne banque, soit vers le réseau interbancaire, là encore de manière complètement transparente.
- Le réseau interbancaire réémet vers la requête vers la connexion du serveur bancaire idoine si celui-ci a pris le soin au préalable de se connecter ou de s'authentifier, ou bien prends l'initiative de renvoyer lui-même la réponse « Réseau indisponible ».
- On suit exactement la même procédure pour envoyer les réponses des serveurs d'authentification aux terminaux.
Le principe du réseau interbancaire est donc le même que celui d'un hub ou d'un serveur IRC : n connectés tous identiques, et le premier qui envoie un message le voit relayé à tout le monde, ou au moins aux connexions autorisées.
Conseil : Pour les messages, adopte le principe des datagrammes. Plutôt que de faire une suite séquentielle genre write question read réponse write merci read de rien, tu fais comme au bingo : Chaque fois qu'un cas de figure sort (requête,réponse, etc), tu mets un flag sur une ligne et quand une ligne est pleine (càd lorsque tu as réuni toutes les conditions), tu déclenches une action. Cela te permet de gérer plusieurs connexions en parallèle sans avoir à lancer plusieurs processus, et en t'affranchissant totalement de l'ordre d'arrivée des différents messages. C'est d'ailleurs comme cela que fonctionne la pile TCP/IP, à un niveau bien plus bas.
Il faudra veiller également à ce que chaque serveur d'autorisation contienne non seulement la liste de ses propres comptes en banque, mais également celle des terminaux autorisés à s'y connecter.
Enfin, à mon goût, ce modèle est le meilleur à ce niveau-là, mais dans la vie réelle avec des machines distantes, l'usage veut que chaque processus soit bidirectionnel, et que ce soit le premier qui ait quelque chose à dire qui ouvre la connexion, transmette son message et referme la connexion (comme au téléphone).
Le plus rapide, c'est « lspci » dans un terminal. Tu sauras exactement ce qui se trouve sur le bus en question.
xorg.conf et xf86config (pas xf86.conf) sont deux fichiers de configuration dans lesquels sont consignés les réglages propres au serveur X.
Ouvre celui qui correspond à ta machine dans un éditeur (il te faudra sans doute les droits root), trouve la section "Screen" (il y en a peut-être plusieurs, attention) et ajoute la ligne « Option "IgnoreEDID" » dedans, puis relance le serveur X. Il est possible que cela règle le problème.
Sinon, comme indiqué ci-dessus, il se peut que cela vienne simplement du fait que la résolution et la fréquence de rafraîchissement ne sont pas les mêmes que sous Windows. Dans ce cas, régler ton moniteur à la main devrait suffire à régler le problème ...
Un vieil ordi, c'est quoi ?
Quelle est ta carte graphique ?
Moi j'ai le même problème sur un Toshiba Satellite 2410 avec un GeForce 4.
Solution : « Option "IgnoreEDID" » dans la « Section "Screen" » du fichier de conf de ton serveur X.
Non, désolé, il manque encore juste quelques précisions.
Tu veux faire quoi ? Ramener toutes les définitions de classes au niveau initial ?
Déjà, si c'est parce que ça t'embête d'avoir à préfixer chaque nom de classe ou de fonction par "LeNomDuNameSpace::", tu utilises "using namespace LeNomDuNameSpace;" au début de ton code.
Sinon, le plus simple est de faire un "grep -R namespace" pour les retrouver parmi les différents fichiers. Cela te donnera les déclarations du style "namespace nom { bla bla bla }" et les déclarations dans le programme comme "using namespace nom;".
Arpès, il faut boucler sur chacun d'eux et ajouter le suffixe "::" avant de faire une recherche et éventuellement une substitution automatique, mais avec beaucoup de prudence car il se peut qu'il y ait des homonymes, les espaces de nommage servant précisément à gérer efficacement ce problème.
D'abord, une carte ne s'utilise pas comme un pipe ou un fichier spécial : il va y avoir beaucoup de connexions qui vont circuler en parallèle dessus, et beaucoup de traitement par le hardware.
Ensuite, ce sont les fonctions dont tu parles qui font appel au pilote du périphérique concerné, pas l'inverse.
Dans les deux cas, ces environnements proposent une application de contrôle qui permet de changer ce fond d'écran. Il n'y a qu'à aller chercher les sources et relever l'appel à la bonne bibliothèque.
Ensuite, il n'y a plus qu'à rassembler le tout dans ton application.
A noter toutefois que le fond de bureau sur un serveur X est censé être le contenu de la RootWindow. En principe, cela permet de court-circuiter beaucoup de choses.
Ceci dit, il demeure quelque exceptions comme Nautilus qui crée une fenêtre géante par dessus la fenêtre racine pour pouvoir gérer non seulement le fond du bureau mais également les icônes des raccourcis qui s'y trouvent.
Donc, effectivement, rien de générique, surtout si l'on veut faire propre. Ceci dit, gérer KDE, Windows, Gnome, et les autres cas de base par la RootWindow, cela fait quatre cas de figure à prendre en compte. Cela reste humainement faisable.
Trouve et grave un Live CD quelquonque, Knoppix, la plupart du temps. Tu peux même utiliser le CD d'installation de Debian en te démerdant bien, mais il faut bidouiller un peu.
Démarre ta machine depuis celui-ci, monte la partition manuellement avec mount -o rw /dev/xxx /mont/point/de/montage, puis fais un chroot /mont/point/de/montage dessus. Tu vas alors te retrouver dans l'environnement habituel (en mode texte).
De là, tu relances lilo ou grub comme si tu voulais les installer normalement depuis un Linux fonctionnel. Ceci va réactualiser le MBR, que Windows a modifié pour son propre compte. Tu redémarres sans le Livde Cd et tout devrait rentrer dans l'ordre.
Tu peux aussi modifier C:\boot.ini ou ce qui en tient lieu aujourd'hui pour demander à Windows de te proposer son propre menu de démarrage, quitte à réinstaller LILO/GRUB par la suite, mais là il faut que tu demandes à Google car je ne connais plus par coeur le format de ce fichier.
Là, je ne vois pas trop ce que l'on peut faire pour le coup!
Ben nous rapporter les lignes qui précèdent et suivent immédiatement le message kernel panic.
Un kernel panic, ça peut être grave mais cela peut aussi ne pas l'être du tout : Par exemple, si tu as déplacé un disque ou une partition, au hasard, celle qui contient "/", le kernel ne peut plus monter le fichier racine ni, donc, aller plus loin. Cela suffit à provoquer un panic. C'est très impressionnant mais cela se règle en deux coups de cuillère à peau.
Autre problème possible, un pilote de périphérique à la noix. Dans ce cas, il faut essayer de l'isoler (les messages devraient t'aider), puis débrancher le périphérique concerné avant de démarrer. Aviser ensuite.
Et cela fait suer parce que cela oblige à mettre en place un gestionnaire spécial à l'écoute des signaux de la fenêtre. De plus, la fenêtre est déjà redimensionnée automatiquement par GTK, puis manuellement par mon code. Ça se voit et ça consomme des ressources, spécialement quand le serveur X est déporté sur un Thin Client.
Je vais essayer de faire autrement. Avec les attributs shrinkable ou autre, ce doit bien être possible.
Oui, et il devient beaucoup plus facile de proposer un Linux par la suite. Fini les *.xls, et autres *.ppt, place aux *.odf !
« - Moi je veux bien essayer autre chose, mais à condition que je puisse toujours lire mes CV en *.odt et mes présentations en *.odp. C'est possible ?
- Mais très certainement, ma petite dame ! :-) »
Une distribution Linux, c'est un peu comme un menu Best-Of chez MacDonalds. Les hamburgers que tu trouves dans ton sac sont les mêmes que ceux que tu auraient achetés à la pièce, mais préparés, regroupés et livrés sous une formule spéciale et pratique pour le consommateur.
Coté Linux, il faut déjà insister sur les classiques :Linux est un noyau (l'infrastructure minimum pour permettre de faire fonctionner des applications). Tout ce que va autour sont en fait la suite logicielle du projet GNU.
Le truc, c'est que ces logiciels se comptent par milliers. Il faut donc quelqu'un pour préparer un CD qui contiennent les plus intéressants, te permette d'aller télécharger les autres, et surtout te les installe tous automatiquement et en une fois. Il faut aussi au préalable préparer ton ordinateur à les recevoir et faire la configuration générale de chacun d'eux, post-installation.
Faire une telle « compilation » puisque c'est bien de cela qu'il s'agit, plus créer les outils qui permettent de mettre le tout en place demande des dizaines de personnes très compétentes et plusieurs années pour que le tout soit au point. Surtout qu'il ne s'agit pas seulement de réaliser le travail une fois, mais il faut aussi maintenir à jour les logiciels et s'assurer à chaque fois que leur nouvelle version n'entrera pas en conflit avec l'environnement existant (intégration).
En revanche, tous les logiciels étant à la base libres, n'importe qui peut s'atteler à cette tâche et tenter de la mener à bien. Tu peux même créer un système Linux sans CD d'install, à partir de rien, en téléchargement patiemment chaque utilitaire, et créant ta partition toi-même etc. Tu en as pour facilement deux ans mais c'est faisable, et parfois recommandé. Cela s'appelle formellement un Linux-From-Scratch (LFS) : http://www.linuxfromscratch.org/
Plusieurs groupes se sont donc déjà collés à ce lourd travail et proposent leur propre « distribution » des logiciels GNU et du noyau Linux. Les plus célèbres sont RedHat et Debian.
Les autres, à de rares exceptions près, s'appuient sur les premières (car les logiciels distribués restent libres) et en dérivent.
À toi donc d'en essayer plusieurs et de choisir au final celle qui te convient le mieux, en sachant que tu finiras toujours, à la fin, par récupérer le même logiciel.
Posté par Obsidian .
En réponse au message Plug in.
Évalué à 6.
Tout d'abord, bravo pour ta persévérance. Comme je sais que tu débutes sous Linux, je dirais que tu découvres là un système qui demande que l'on mette les mains dans le camboui, mais qui te garantira une stabilité exemplaire par la suite, et la possibilité de le dépanner sans avoir à tout réinstaller (voire même sans l'arrêter du tout).
Pour le plug-in, le mieux est d'aller le chercher directement sur le site de Macromédia :
Clique sur le bouton Download et tu devrais arriver automatiquement sur la page de téléchargement en français du module concerné, pour Linux. Les instructions sont sur cette page.
Il te faudra probablement lancer l'installeur en root (cause probable de ton problème). Mais sinon, dans tous les cas, il s'agit simplement d'une bibliothèque *.so (l'équivalent Unix d'une DLL) et éventuellement d'un fichier *.xpt pour Mozilla/Firefox. Ces deux fichiers doivent simplement se trouver dans le répertoire /usr/lib/mozilla-firefox/plugins (ou au moins, il doit y avoir dans ce répertoire des liens symboliques vers l'emplacement exacts des fichiers concernés).
Tu refermes et tu rouvres Firefox et tout devrait rentrer dans l'ordre.
# WMMON
Posté par Obsidian . En réponse au message WindowMaker +application dockable + CPU et mémoire. Évalué à 3.
Cela fait des années que je l'utilise.
http://mirrors.ircam.fr/pub/debian/pool/main/w/wmmon/
# Le PPP
Posté par Obsidian . En réponse au message Problème de démarrage de Mandriva 2006. Évalué à 3.
Les « interfaces » en question sont les interfaces réseau, en général les cartes Ethernet. Ces dernières sont repérées par eth0, eth1, eth2, etc.
Une interface réseau se caractérise, en faisant simple, par le fait qu'elle soit dotée d'une adresse IP et qu'elle puisse directement dialoguer avec toutes les machines de son réseau local.
À l'inverse, un port série ne peut communiquer qu'avec un et un seul autre port série, soit en reliant directement les fils entre eux (câble NULL-Modem), soit par modem interposé.
Le protocole PPP sert donc à simuler une interface réseau virtuelle, naturellement nommée PPP0 (puis PPP1, PPP2, etc. mais il est rare d'avoir plus d'un modem sur une même machine, donc on les voit rarement chez un particulier), auquel le système peut accéder comme aux autres, tout en véhiculant le trafic à travers un pipe ou n'importe quel canal série.
C'est ce qui est utilisé partout, même sous Windows, bien que ce soit moins flagrant pour l'utilisateur.
C'est également le protocole utilisé par l'ADSL lorsque tu n'es pas dégroupé (en dégroupage, ton modem est directement relié sur le réseau de ton fournisseur, donc nul besoin d'authentification ou d'encapsulation supplémentaire).
Le problème est qu'en l'occurence, la « transparence » est tellement parfaite qu'apparement, ta Mandriva essaie de démarrer ta connexion à Internet de la même façon qu'elle active tes cartes réseau. Si tu es en ADSL, c'est une bonne idée, si tu es en 56K, il vaut mieux la désactiver au démarrage.
Dans tout les cas, si cela bloque au démarrage, un petit Ctrl-C au moment du bloquage sur cette ligne devrait t'aider à passer facilement à la suite .
Bonne chance.
[^] # Encore des précisions :
Posté par Obsidian . En réponse au message Sockets - Processus. Évalué à 1.
Ensuite, tu définis un protocole de communication commun à tous les protagonistes de l'affaire mais concrètement, il s'agit de faire trois choses :
- S'authentifier (« Je suis le terminal|serveur d'acquisition|serveur d'autorisation|réseau interbancaire, et pour le prouver, voici mon mot de passe »).
- Faire une requête de transaction.
- Répondre à cette requête par « Oui », « Non », ou « Réseau Indisponible ».
Ensuite, cela se passe au niveau des serveurs d'acquisition.
- Une requête peut provenir invariablement d'un terminal ou du réseau interbancaire. Les deux connexions seront traitées exactement de la même façon :
- La requête est réémise telle quelle soit vers le serveur d'autorisation local s'il s'agit de la bonne banque, soit vers le réseau interbancaire, là encore de manière complètement transparente.
- Le réseau interbancaire réémet vers la requête vers la connexion du serveur bancaire idoine si celui-ci a pris le soin au préalable de se connecter ou de s'authentifier, ou bien prends l'initiative de renvoyer lui-même la réponse « Réseau indisponible ».
- On suit exactement la même procédure pour envoyer les réponses des serveurs d'authentification aux terminaux.
Le principe du réseau interbancaire est donc le même que celui d'un hub ou d'un serveur IRC : n connectés tous identiques, et le premier qui envoie un message le voit relayé à tout le monde, ou au moins aux connexions autorisées.
Conseil : Pour les messages, adopte le principe des datagrammes. Plutôt que de faire une suite séquentielle genre write question read réponse write merci read de rien, tu fais comme au bingo : Chaque fois qu'un cas de figure sort (requête,réponse, etc), tu mets un flag sur une ligne et quand une ligne est pleine (càd lorsque tu as réuni toutes les conditions), tu déclenches une action. Cela te permet de gérer plusieurs connexions en parallèle sans avoir à lancer plusieurs processus, et en t'affranchissant totalement de l'ordre d'arrivée des différents messages. C'est d'ailleurs comme cela que fonctionne la pile TCP/IP, à un niveau bien plus bas.
Il faudra veiller également à ce que chaque serveur d'autorisation contienne non seulement la liste de ses propres comptes en banque, mais également celle des terminaux autorisés à s'y connecter.
Enfin, à mon goût, ce modèle est le meilleur à ce niveau-là, mais dans la vie réelle avec des machines distantes, l'usage veut que chaque processus soit bidirectionnel, et que ce soit le premier qui ait quelque chose à dire qui ouvre la connexion, transmette son message et referme la connexion (comme au téléphone).
[^] # Re: NVidia ?
Posté par Obsidian . En réponse au message probleme d'écran. Évalué à 1.
xorg.conf et xf86config (pas xf86.conf) sont deux fichiers de configuration dans lesquels sont consignés les réglages propres au serveur X.
Ouvre celui qui correspond à ta machine dans un éditeur (il te faudra sans doute les droits root), trouve la section "Screen" (il y en a peut-être plusieurs, attention) et ajoute la ligne « Option "IgnoreEDID" » dedans, puis relance le serveur X. Il est possible que cela règle le problème.
Sinon, comme indiqué ci-dessus, il se peut que cela vienne simplement du fait que la résolution et la fréquence de rafraîchissement ne sont pas les mêmes que sous Windows. Dans ce cas, régler ton moniteur à la main devrait suffire à régler le problème ...
# NVidia ?
Posté par Obsidian . En réponse au message probleme d'écran. Évalué à 1.
Quelle est ta carte graphique ?
Moi j'ai le même problème sur un Toshiba Satellite 2410 avec un GeForce 4.
Solution : « Option "IgnoreEDID" » dans la « Section "Screen" » du fichier de conf de ton serveur X.
# grep ?
Posté par Obsidian . En réponse au message script pour virer tous les namespace d'un coup dans un gros gros projet ???. Évalué à 1.
Tu veux faire quoi ? Ramener toutes les définitions de classes au niveau initial ?
Déjà, si c'est parce que ça t'embête d'avoir à préfixer chaque nom de classe ou de fonction par "LeNomDuNameSpace::", tu utilises "using namespace LeNomDuNameSpace;" au début de ton code.
Sinon, le plus simple est de faire un "grep -R namespace" pour les retrouver parmi les différents fichiers. Cela te donnera les déclarations du style "namespace nom { bla bla bla }" et les déclarations dans le programme comme "using namespace nom;".
Arpès, il faut boucler sur chacun d'eux et ajouter le suffixe "::" avant de faire une recherche et éventuellement une substitution automatique, mais avec beaucoup de prudence car il se peut qu'il y ait des homonymes, les espaces de nommage servant précisément à gérer efficacement ce problème.
# Write Read Open Close ?
Posté par Obsidian . En réponse au message ecrire un pilote réseau pour RTLinux. Évalué à 2.
D'abord, une carte ne s'utilise pas comme un pipe ou un fichier spécial : il va y avoir beaucoup de connexions qui vont circuler en parallèle dessus, et beaucoup de traitement par le hardware.
Ensuite, ce sont les fonctions dont tu parles qui font appel au pilote du périphérique concerné, pas l'inverse.
[^] # Re: Bureau
Posté par Obsidian . En réponse au message Comment changer le fond d'écran de manière portable ?. Évalué à 3.
Pour GNOME, tu peux voir ici :
http://developer.gnome.org/doc/API/
Pour KDE, c'est peut-être faisable via DCOP ...
Dans les deux cas, ces environnements proposent une application de contrôle qui permet de changer ce fond d'écran. Il n'y a qu'à aller chercher les sources et relever l'appel à la bonne bibliothèque.
Ensuite, il n'y a plus qu'à rassembler le tout dans ton application.
[^] # Re: Bureau
Posté par Obsidian . En réponse au message Comment changer le fond d'écran de manière portable ?. Évalué à 3.
Ceci dit, il demeure quelque exceptions comme Nautilus qui crée une fenêtre géante par dessus la fenêtre racine pour pouvoir gérer non seulement le fond du bureau mais également les icônes des raccourcis qui s'y trouvent.
Donc, effectivement, rien de générique, surtout si l'on veut faire propre. Ceci dit, gérer KDE, Windows, Gnome, et les autres cas de base par la RootWindow, cela fait quatre cas de figure à prendre en compte. Cela reste humainement faisable.
# Live CD
Posté par Obsidian . En réponse au message problemee de boot. Évalué à 3.
Démarre ta machine depuis celui-ci, monte la partition manuellement avec mount -o rw /dev/xxx /mont/point/de/montage, puis fais un chroot /mont/point/de/montage dessus. Tu vas alors te retrouver dans l'environnement habituel (en mode texte).
De là, tu relances lilo ou grub comme si tu voulais les installer normalement depuis un Linux fonctionnel. Ceci va réactualiser le MBR, que Windows a modifié pour son propre compte. Tu redémarres sans le Livde Cd et tout devrait rentrer dans l'ordre.
Tu peux aussi modifier C:\boot.ini ou ce qui en tient lieu aujourd'hui pour demander à Windows de te proposer son propre menu de démarrage, quitte à réinstaller LILO/GRUB par la suite, mais là il faut que tu demandes à Google car je ne connais plus par coeur le format de ce fichier.
# Titanium
Posté par Obsidian . En réponse au journal Thinkpad: de quel côté êtes-vous ?. Évalué à 2.
# Les logs ?
Posté par Obsidian . En réponse au message [kernel Panic] Ajout d'une carte wifi. Évalué à 3.
Ben nous rapporter les lignes qui précèdent et suivent immédiatement le message kernel panic.
Un kernel panic, ça peut être grave mais cela peut aussi ne pas l'être du tout : Par exemple, si tu as déplacé un disque ou une partition, au hasard, celle qui contient "/", le kernel ne peut plus monter le fichier racine ni, donc, aller plus loin. Cela suffit à provoquer un panic. C'est très impressionnant mais cela se règle en deux coups de cuillère à peau.
Autre problème possible, un pilote de périphérique à la noix. Dans ce cas, il faut essayer de l'isoler (les messages devraient t'aider), puis débrancher le périphérique concerné avant de démarrer. Aviser ensuite.
Bonne chance
[^] # Re: Les GtkPaned
Posté par Obsidian . En réponse au message GTK: Dimensions d'un objet d'un panneau redimensionnable.. Évalué à 2.
Je vais essayer de faire autrement. Avec les attributs shrinkable ou autre, ce doit bien être possible.
Merci quand même.
[^] # Re: Les GtkPaned
Posté par Obsidian . En réponse au message GTK: Dimensions d'un objet d'un panneau redimensionnable.. Évalué à 2.
[^] # Re: Attention quand meme
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche La Gendarmerie Nationale passe à Firefox et Thunderbird. Évalué à 5.
« - Moi je veux bien essayer autre chose, mais à condition que je puisse toujours lire mes CV en *.odt et mes présentations en *.odp. C'est possible ?
- Mais très certainement, ma petite dame ! :-) »
[^] # Re: Ma mienne
Posté par Obsidian . En réponse au sondage Ma résolution pour 2006. Évalué à 5.
... et tu tires la chasse juste avant, aussi. Non, mais :-)
Je n'avais pas osé la faire moi-même, celle-là. Sinon, quand on est bien élevé, on dit :
mv coredump /dev/null
[^] # Re: .
Posté par Obsidian . En réponse au journal Kadéo bounty. Évalué à 4.
[^] # Re: Ma mienne
Posté par Obsidian . En réponse au sondage Ma résolution pour 2006. Évalué à 6.
# Ma mienne
Posté par Obsidian . En réponse au sondage Ma résolution pour 2006. Évalué à 6.
En plus, j'ai eu des haltères et une balance pour Noël ! Si si :-)
# Qui vivra verra.
Posté par Obsidian . En réponse au journal [DADVSI] Reponse de Mme Boutin. Évalué à 3.
# Distribs et hamburgers
Posté par Obsidian . En réponse au message Hello les ami(e)s. Évalué à 2.
Coté Linux, il faut déjà insister sur les classiques :Linux est un noyau (l'infrastructure minimum pour permettre de faire fonctionner des applications). Tout ce que va autour sont en fait la suite logicielle du projet GNU.
Le truc, c'est que ces logiciels se comptent par milliers. Il faut donc quelqu'un pour préparer un CD qui contiennent les plus intéressants, te permette d'aller télécharger les autres, et surtout te les installe tous automatiquement et en une fois. Il faut aussi au préalable préparer ton ordinateur à les recevoir et faire la configuration générale de chacun d'eux, post-installation.
Faire une telle « compilation » puisque c'est bien de cela qu'il s'agit, plus créer les outils qui permettent de mettre le tout en place demande des dizaines de personnes très compétentes et plusieurs années pour que le tout soit au point. Surtout qu'il ne s'agit pas seulement de réaliser le travail une fois, mais il faut aussi maintenir à jour les logiciels et s'assurer à chaque fois que leur nouvelle version n'entrera pas en conflit avec l'environnement existant (intégration).
En revanche, tous les logiciels étant à la base libres, n'importe qui peut s'atteler à cette tâche et tenter de la mener à bien. Tu peux même créer un système Linux sans CD d'install, à partir de rien, en téléchargement patiemment chaque utilitaire, et créant ta partition toi-même etc. Tu en as pour facilement deux ans mais c'est faisable, et parfois recommandé. Cela s'appelle formellement un Linux-From-Scratch (LFS) : http://www.linuxfromscratch.org/
Plusieurs groupes se sont donc déjà collés à ce lourd travail et proposent leur propre « distribution » des logiciels GNU et du noyau Linux. Les plus célèbres sont RedHat et Debian.
Les autres, à de rares exceptions près, s'appuient sur les premières (car les logiciels distribués restent libres) et en dérivent.
À toi donc d'en essayer plusieurs et de choisir au final celle qui te convient le mieux, en sachant que tu finiras toujours, à la fin, par récupérer le même logiciel.
# var/spool et daemon.
Posté par Obsidian . En réponse au message Programmer un outil d'impression.... Évalué à 2.
http://www.google.fr/search?hl=fr&q=Unix+daemonize&b(...)
Sinon pour le reste, il y a le répertoire /var/spool qui permet de stocker temporairement les fichiers à envoyer en série vers la file d'impression.
[^] # Re: encore plus simple
Posté par Obsidian . En réponse au message Borne internet sur Linux : restreindre les applis, les sites, etc... Évalué à 2.
[^] # Re: encore plus simple
Posté par Obsidian . En réponse au message Borne internet sur Linux : restreindre les applis, les sites, etc... Évalué à 2.
A++
# Le plugin.
Posté par Obsidian . En réponse au message Plug in. Évalué à 6.
Pour le plug-in, le mieux est d'aller le chercher directement sur le site de Macromédia :
http://www.macromedia.com/software/flashplayer/
Clique sur le bouton Download et tu devrais arriver automatiquement sur la page de téléchargement en français du module concerné, pour Linux. Les instructions sont sur cette page.
Il te faudra probablement lancer l'installeur en root (cause probable de ton problème). Mais sinon, dans tous les cas, il s'agit simplement d'une bibliothèque *.so (l'équivalent Unix d'une DLL) et éventuellement d'un fichier *.xpt pour Mozilla/Firefox. Ces deux fichiers doivent simplement se trouver dans le répertoire /usr/lib/mozilla-firefox/plugins (ou au moins, il doit y avoir dans ce répertoire des liens symboliques vers l'emplacement exacts des fichiers concernés).
Tu refermes et tu rouvres Firefox et tout devrait rentrer dans l'ordre.