Journal TuxMagazine : De la lecture pour les utilisateurs lambda

Posté par  .
Étiquettes : aucune
0
13
déc.
2005
Un journal en ligne, en anglais, à propos de linux, et pour les utilisateurs de Gnu/Linux ! Ici : http://www.tuxmagazine.com/

Je cite un ami qui vous en dira plus que moi :
Tuxmagazine se lit tranquille avec une petite binouze à la main comme n'importe quel autre magazine d'informatique. Il a le ton léger et le propos fort. Il parle de toute les dernières sorties logicelles, il offre des tutos pour le matos multimédia. Bref c'est un magazine carrément normal. A ceci prêt que c'est le premier magazine sur les OS et les Soft libres à être orienté User User User, Pas de charabia technique, pas de lignes de commandes, pas de benchmark sur les utilitaires de gestion de mémoire virtuelle pour les serveurs OIGDZ**zoaef007. Non Monsieur que du bon. C'est plus 'mon chéri tu es plus Mp3 ou Ogg Vorbis?' ou 'Quels jeux me définissent le mieux en tant que personne?' Ou encore 'Transformer son PC sous linux en TiVo-like'.

On doit ce petit nouveau à l'éditeur du très sèrieux Linux Journal qui ne voulant pas faire de mélange des genres a préféré créer un nouveau magazine pour surfer sur l'évolution rapide des distributions linux vers les Desktop sans pour autant dénaturer le contenu de son magazine orienté développeur.

A oui j'ai oublié il est gratuit et librement téléchargeable en .pdf ;-). Ah oui, il est en anglais aussi.


Pour les passionés de linuxfr, oui on vous en a parlé en Août ( http://linuxfr.org/~pys/19184.html ). C'est une piqure de rappel pour ceux qui comme moi n'avait pas vu l'information.

Et puis le numéro de décembre est sorti.

Attention pour télécharger un numéro il faut s'inscrire (e-mail obligatoire, spam facultatif).
  • # Merci ...

    Posté par  . Évalué à 2.

    de signaler l'existence de ce mag. Il est vrai que le niveau est pas trés élévé mais c'est toujours sympa à lire. :)

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.