• # Article de merde

    Posté par  . Évalué à 3.

    Le « journaliste » n'a même pas pris la peine de contacter un seul collège du mec pour vérifier s'il y a un début de commencement de vérité.

    Arrêtez de relayer ce qui sort de la presse, dans 99,76 % des cas c'est de la merde.
    Les 0,24 % qui restent sont trouvables ailleurs.

    • [^] # Re: Article de merde

      Posté par  . Évalué à 4.

      Attention, il ne s'agit pas de l'article complet du Parisien, même si c'est effectivement pas très bien présenté (c'est dommage, ça joue en défaveur de la LICRA comme tu le fais remarquer). Le lien est à la fin de l'article LICRA.

      L'article d'origine (derrière un paywall…) est bien plus complet et en particulier :

      Quatre anciens collègues ont accepté de témoigner dans le cadre de l'action menée aux prud'hommes. Tous décrivent un même malaise au siège à Rungis (Val-de-Marne).

      • [^] # Re: Article de merde

        Posté par  . Évalué à 2.

        C'est effectivement beaucoup plus clair après avoir suivi un lien (je n'ai pas trouvé de paywall) : il est écrit que ses cartes de visites et ses badges étaient avec son prénom « à la française ».

        Il est aussi écrit « Dès le premier jour, je savais que je demanderais réparation. ».
        Je ne connais pas les délais de prescription, mais souvent le départ du délai est au moment où on se rend compte du problème. Donc il y a 20 ans.

      • [^] # Re: Article de merde

        Posté par  . Évalué à -1.

        Il doit rester des traces (dont des fiches de paie) pour le prouver devant les prudhommes:
        "Pendant vingt ans, toute la durée de la relation contractuelle, ils l’ont débaptisé : les mails, les cartes de visite, même les fiches de paie étaient au nom d’Antoine Amghar"
        https://www.ouest-france.fr/societe/justice/son-employeur-l-oblige-changer-son-prenom-de-mohamed-en-antoine-il-l-attaque-aux-prud-hommes-6657015

        Poster une information ne signifie pas nécessairement adhésion

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.