Journal Mise à jour de UT2003

Posté par  (Mastodon) .
Étiquettes : aucune
0
28
août
2003
Autant j'avais installé Unreal Tournament 2003 sans problème avec ma Madk 9.1 (même si certains ont des pb à cause du supermount que j'avais désactivé depuis longtemps, cf http://icculus.org/lgfaq/#ut2k3_install(...) ), autant la mise à jour fut difficile.

Me baladant sur les sites UT2003 (http://www.ut2003.com(...)) à la recherche de nouvelles maps, je décidai donc de mettre à jour mon beau jeu : je télécharge le patch 2225, le décompresse, lance l'update, et ... erreur !
Après avoir lu le README, je me rends compte qu'il faut mettre les patchs précédents....qui ne sont plus mentionnés sur le site ci-dessus....
Je les trouve finalement en me baladant sur le ftp de atari.
Mais l'installation du premier patch (le 2126 qui est distribué sous la forme d'un fichier en .sh.bin) me donne un "Segmentation Fault". Malheureusement pour moi, Google est muet à ce sujet.
Je lance donc le patch avec l'option --keep pour garder le contenu de l'archive et farfouiller le update.sh. A ma grande surprise, celui-ci fait appelle à un soft nommé loki_patch, à tout hasard je commente les lignes qui ne me semblent pas être indispensables (3 lignes au total à partir de la ligne 52 si mes souvenirs sont bons).....et le patch s'installe ensuite sans problèmes.
Les patchs suivants ne nécessiteront pas cette manipulation pour s'installer.
Seul le 2225 est encore récalcitrant, mais je n'en ai pas besoin pour installer les nouvelles maps.

Je ne sais pas si je suis un cas isolé et si ma manipulation est la plus simple, mais je poste cette aventure car je pense que cela peut servir à certains.

[AMD ATHLON 2400+ avec une G4Ti4200 sous Mdk 9.1]
  • # Re: Mise à jour de UT2003

    Posté par  . Évalué à 1.

    chez moi ut2003 me zigouillait mon WM, alors j'ai arrété :/
    (sinon j'avais du faire un bouton "metacity" sur mon panel pour le relancer, ca craint serieux :) )

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.