Un complot pour dévaluer les données : on en rajoute toujours plus sur le marché, un coup des données de santé, un coup du bancaire, un coup des régaliennes de cartes d'identité, un coup des données de commerce en ligne, etc., en grande quantité, comme ça ça vaut toujours moins par donnée, les cyberméchants ne peuvent plus échanger leurs doubles à la récré, y a plus besoin de sécuriser, tout le monde y gagne… non ?
"usurpations de comptes de prestataires utilisant le portail"
Normalement, il faut s'être emparé du mot de passe pour usurper un compte. Si c'est le cas, c'est la faute de la CNAM qui laisse utiliser des mots de passe trop simples par des retraité.e.s
« Il s’agit de données pour la plupart anciennes : certaines des personnes concernées sont par exemple mortes », a précisé la CNAV, ajoutant qu’« aucune donnée bancaire, aucune donnée relative au paiement, à la retraite, à la carrière ou aux prestations versées n’ont été compromises ».
Mais à côté on a :
« Des données personnelles (adresse, numéro de Sécurité sociale, montant approximatif des ressources), relatives à environ 370 000 bénéficiaires, ont été compromises »
C'est quand même largement plus qu'il n'en faut pour faire de l'usurpation d'identité : pas forcément de manière directe, mais cumulé à d'autres informations qui ont pu fuiter dernièrement, ça suffit à mettre quelqu'un dans la galère pour un bon moment.
Il faudrait bien sanctionner severement tous ceux qui ont permis de laisser fuiter toutes ces données dernièreent : en effet, je trouve que dans de nombreuses boites, la sécurité n'est pas forcément prise avec le sérieux qu'elle mérite, et il faudrait de lourdes sanctions pour pousser les diverses institutions et prestataires à faire le nécessaire pour réellement sécuriser les données personnelles.
# Jamais plein sans encore plus
Posté par Lutin . Évalué à 5.
C'est un festival en ce moment. C'est dû à quelque chose en particulier ?
[^] # Re: Jamais plein sans encore plus
Posté par Ysabeau 🧶 (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6.
Une mode ?
Je sors.
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
[^] # Re: Jamais plein sans encore plus
Posté par volts . Évalué à 3.
Non, une épidémie !
La faute aux virus. Des virus de l'Étranger.
L'Ennemi est déjà là, parmi nous.
Il prépare soigneusement le terrain. Et ce n'est que le début.
L'offensive va venir de la 5ème colonne pour disrupter notre écosystème national sévère.
…
Bon, je vais sortir, moi aussi :X
[^] # Re: Jamais plein sans encore plus
Posté par Benoît Sibaud (site web personnel) . Évalué à 9.
Un complot pour dévaluer les données : on en rajoute toujours plus sur le marché, un coup des données de santé, un coup du bancaire, un coup des régaliennes de cartes d'identité, un coup des données de commerce en ligne, etc., en grande quantité, comme ça ça vaut toujours moins par donnée, les cyberméchants ne peuvent plus échanger leurs doubles à la récré, y a plus besoin de sécuriser, tout le monde y gagne… non ?
[^] # Re: Jamais plein sans encore plus
Posté par Maderios . Évalué à 3.
Normalement, il faut s'être emparé du mot de passe pour usurper un compte. Si c'est le cas, c'est la faute de la CNAM qui laisse utiliser des mots de passe trop simples par des retraité.e.s
[^] # Re: Jamais plein sans encore plus
Posté par ted (site web personnel) . Évalué à 5.
L'impunité des responsables?
Un LUG en Lorraine : https://enunclic-cappel.fr
# Je trouve que la CNAV minimise bien trop les conséquences de la fuite de données ...
Posté par totof2000 . Évalué à 8.
Mais à côté on a :
C'est quand même largement plus qu'il n'en faut pour faire de l'usurpation d'identité : pas forcément de manière directe, mais cumulé à d'autres informations qui ont pu fuiter dernièrement, ça suffit à mettre quelqu'un dans la galère pour un bon moment.
Il faudrait bien sanctionner severement tous ceux qui ont permis de laisser fuiter toutes ces données dernièreent : en effet, je trouve que dans de nombreuses boites, la sécurité n'est pas forcément prise avec le sérieux qu'elle mérite, et il faudrait de lourdes sanctions pour pousser les diverses institutions et prestataires à faire le nécessaire pour réellement sécuriser les données personnelles.
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