Il y a des jours ou tout fout le camps. Ou tout ce qu'on croyait jusqu'alors solide s'écroule sans préavis. Alors on s'accroche a la moindre chose qui donne l'illusion de l'espoir, mais au fond on sait que ça n'est que du vent, que l'édifice s'est effondré, qu'il ne reste rien.
Des fleurs poussent sur des ruines, la vie s'installe sur la moindre parcelle de terrain vierge, et peu a peu les cicatrices s'effacent.
Même quand on sait ça, c'est dur.
# de la conccurence?
Posté par mister popo ポポ (site web personnel) . Évalué à 1.
C'est dommage, les commentaires ont été sucrés, mais c'etait un excelent post de déprimé.
# \o/
Posté par ukemi . Évalué à 2.
on fait un klub ?
# arf...
Posté par fabricius . Évalué à 7.
[^] # Re: arf...
Posté par Bruce Le Nain (site web personnel) . Évalué à 2.
# Vous n'y etes pas
Posté par boris . Évalué à 1.
[^] # Re: Vous n'y etes pas
Posté par Thomas Bigot . Évalué à 5.
Parce que l'explicite aussi fout le camp dans ce journal.
[^] # Re: Vous n'y etes pas
Posté par fantomaxe . Évalué à 1.
Euh... je te conseille L.-F. Céline "Voyage au bout de la nuit", plus de 500 pages sur ce concept... ou peut-être que tu viens justement de le lire, ce qui expliquerait tout ;-)
[^] # Re: Vous n'y etes pas
Posté par fabricius . Évalué à 1.
Soyons realiste, le monde n'est pas *que* noir, meme si il est dur.
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