Éric a écrit 4850 commentaires

  • [^] # Re: Dans la triste série ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Grosse colère, un fork de la série l’EPUB et moi. Évalué à 3.

    Oui enfin Vivlio et Cultura c'est un peu la même chose aussi.

    Les liseuses de Cultura sont celles de Vivlio. C'est Vivlio qui opère la commande, le DRM et toutes les opérations de livre numérique de Cultura. Ce sont les mêmes développeurs, les mêmes bases de données. Même au niveau actionnariat, c'est l'actionnaire de Cultura qui a finalement racheté Vivlio alors qu'ils n'étaient qu'un des actionnaires par le passé.

    Donc si, c'est possible pour eux de faire arriver la clef Cultura sur la liseuse Vivlio et inversement. L'interopérabilité était même la promesse de départ (hint : je suis un des co-fondateurs de Vivlio, parti depuis). Il y a malheureusement eu beaucoup de perte dans les valeurs et dans le message mais l'interop entre les boutiques toutes liées à Vivlio, je suis quand même sacrément étonné que ça se soit perdu. Dans tous les cas c'est un choix et ils y peuvent quelque chose.

  • [^] # Re: limite...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment se faire justice soi-même ?. Évalué à 2.

    Mais il n'y a là rien d'illégal ni d'anti contractuel.

    Ça c'est la conclusion du recours. Effectivement, on peut dire que les procès perdus n'avaient pas lieu d'être, sinon ils auraient été gagnés. Après coup c'est facile.

    En réalité la question c'est juste de savoir si le plaignant avait l'impression, à tort ou à raison, que son droit avait été entamé. Si c'est le cas il part en procédure et l'autorité jugera ce qu'il en est. C'est ce qu'il a fait.

  • [^] # Re: limite...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment se faire justice soi-même ?. Évalué à 10.

    lorsque l'on n'est pas satisfait de son emploi, on assume et on démissionne.

    Pas tout à fait.

    Si ton employeur ne respecte pas la loi ou le contrat, ou qu'il te porte un préjudice particulier, c'est lui qui est en faute. Alimenter l'idée que celui qui n'est pas d'accord n'a qu'à partir c'est défendre tous les abus. C'est particulièrement vrai dans une relation de travail qui n'est pas équilibrée par nature.

  • [^] # Re: Sacré histoire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment se faire justice soi-même ?. Évalué à 2.

    les heureuses personnes qui n'ont pas vécu ça peuvent toujours vous expliquer avec toute la rationalité possible qu'il faudrait faire comme ci, comme ça (après coup surtout) on n'est pas dans en capacité d'analyser les faits et de prendre des décisions rationnelles.

    On n'est bien d'accord. Ce n'était un reproche en aucune façon. Au mieux ça aide les suivants. (je suis aussi passé par le burn out, et aussi passé par les prud'hommes, donc je me garderais bien de donner des leçons)

  • # Sacré histoire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment se faire justice soi-même ?. Évalué à 10.

    Je n'ai malheureusement pas de solution à te donner aujourd'hui.

    Par contre je suis très curieux de savoir quel syndicat t'a fait un tel arrangement, au minimum si c'est une centrale connue ou un syndicat spécifique sans lien avec personne. Ce n'est à ma connaissance pas du tout l'usage et c'est scandaleux. Ça mériterait d'être exposé pour épargner les suivants qui voudraient consulter la même branche syndicale.

    Plus que scandaleux, un avocat te prendrait 8 à 12%, éventuellement 16%. 4% c'est entre le quart et la moitié, juste énorme et incroyable pour la mise en relation.

    Ils sont rémunérés par l'avocat en apport d'affaire ? ou par toi en plus du montant de l'avocat ? Dans le second cas ils t'ont fait signer un papier ?

    C'est trop tard mais ça peut servir pour d'autres : Je suis aussi très étonné qu'on t'ait conseillé de démissionner pour ensuite faire requalifier licenciement sans cause. Ça arrive dans les cas de harcèlement avec long arrêt maladie mais hors de ça… (et ton histoire semble plus relever de surcharge et conditions pourries que de harcèlement si je lis bien).

    D'autant qu'en démissionnant avant de porter plainte, tu perds l'essentiel de ton levier pour avoir un arrangement plutôt qu'une longue procédure.

    Je ne comprends pas non plus l'histoire de rembourser le préavis non effectué. Tu avais pris sur toi de ne pas l'effectuer ? Tu avais un papier signé de l'entreprise qui te demandait de ne pas venir ?

  • [^] # Re: Ben non

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment se faire justice soi-même ?. Évalué à 9.

    Pas forcément. Pour l'entreprise c'est un calcul financier, la probabilité de perdre, le coût probable si elle perd, et le coût de faire un arrangement (y compris celui de montrer à d'autres que ça fonctionnera facilement).

    Si la boite est en difficulté (ce qui avait l'air d'être le cas), elle choisit très facilement de payer plus tard, quitte à ce que ce soit plus cher.

    Si la boite pense que en moyenne ça lui coutera moins cher que de faire un arrangement, alors elle provisionne son risque. (*)

    Le fait qu'elle ait dit préférer faire durer quitte à provisionner, c'est potentiellement peu moral mais c'est très pragmatique et ça ne veut pas dire qu'ils sont en tort.

    Visiblement elle avait raison sur les deux points (elle a fini par être à court de trésorerie donc a eu raison de différer autant qu'elle pouvait, et elle a gagné donc a eu raison de ne pas accepter l'arrangement vu son calcul de risques).

    (*) C'est encore plus vrai aujourd'hui avec le plafonnement des prud'hommes (vu que le risque est plafonné, il se calcule plus facilement. Vu que le plafond n'est pas délirant, c'est d'autant plus difficile de justifier un arrangement.

  • # Je suis quand même sacrément dubitatif

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lighten Mailbox : archivez vos courriels. Évalué à 2. Dernière modification le 24 novembre 2020 à 20:00.

    Déjà il faut partir du coût écologique de quelques Go sur une baie de stockage. Honnêtement même sur 10 ans ça ne doit pas être monstrueux. Si à la place on fait mouliner le CPU du serveur pour faire régulièrement des recherches, puis la copie et le temps de manipulation des bandes ou disques le tout sur une interface web donc avec un poste client et un écran allumé, je ne serais pas étonné qu'on soit finalement perdant en terme d'énergie consommée.

    Partir du coût des datacenter (qui est tout à fait réel) pour en tirer qu'il faut passer du temps sur informatique pour effacer des emails, ça se discute très fort.

    Mais en plus, on parle là d'une solution avec un Apache qui tourne, puis un démon qui gère la file d'attente, je suppose que beaucoup de monde va faire tourner ça 24/24. A-t-on vraiment espoir que le solde soit écologiquement positif ?

    Si vraiment on veut jouer à sauvegarder sur support hors ligne avec suppression au passage, un getmail fait parfaitement l'affaire. Bon, ok, il y a de la config à faire mais en même temps installer et configurer lighten-mailbox n'a pas l'air fondamentalement plus simple (et j'espère que personne ne pensait donner son mot de passe sur l'instance en ligne, si ?)

  • [^] # Re: Pas de numéro de sécurité sociale comme clé primaire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Authentification et identité numérique en France. Évalué à 4.

    identifiant fiable et stable, conçu pour rester immuable la vie durant

    Ca c'est faux. J'ai connu quelqu'un qui a changé d'identifiant, sans le demandé (pire que ça : En pleine grossesse, s'étonnant de ne pas recevoir de remboursement, elle a appelé et on l'a limite engueulé parce qu'elle envoyait encore ses demandes à l'ancien numéro et qu'elle aurait bien du voir que sur les papiers le numéros dans l'entête avait changé désormais). C'était quelqu'un né à l'étranger (rapport à un déplacement du centre de référence pour gérer les naissances de son pays vers la France si j'ai bien compris).

  • # Possible

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal le canard, l'armée et les chinois. Évalué à 5.

    Pour les mouchards, de mémoire il y avait un papier sérieux qui décrivait récemment une boite dont le boulot était d'installer des softs au niveau des bios. Le truc déclenchait un mode exclusif dans le cpu, avait accès à tout, et savait s'installer ensuite dans du Windows.

    Tu peux réinstaller, tu finiras infecté quand même. C'était en liste blanche on ne sait pas pourquoi chez les anti-virus. Ca a été annoncé relativement récemment et corroboré ensuite (à priori officiellement pour faire des stats, mais ça montre la capacité à)

  • # MariaDB + Apache ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Docker : Tutoriel pour manipuler les conteneurs. Évalué à 1.

    Je suis quand même un peu surpris de l'exemple. Lancer un superviseur pour avoir MySQL et Apache sur le même docker, ça va un peu contre l'esprit du truc je trouve.

    MySQL et Apache communiquent par un port réseau, ils n'ont aucune raison de se trouver sur le même docker. Docker permet justement d'en séparer les environnements et d'avoir un espace dédié par service. Là on est en train de contourner l'objet même de docker.

  • [^] # Re: Ca, c'est fait

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Option "Do Not Track" de Firefox et sites de la Mozilla Foundation. Évalué à 3.

    La question n'est pas l'agrégation mais ce qu'on agrège et de ce qu'on réalise comme action pour ou avec cette agrégation.

    Si tu agrégés des tracking, tu fais du tracking, par la force des choses.

    Comptes des pages vues et il n'y a pas de problème. Comptes des visiteurs uniques et pour ça tu as besoin de tracer l'utilisateur pour relier les différentes vues de sa visite.

    Le plus gênant dans la réponse de mozilla c'est que tracker les DNT n'est pas indispensable, il suffit de limiter les chiffres aux gens sans DNT, et si on veut de faire un pro-rata entre le nombre de pages vues de l'échantillon et le nombre de pages vues globales. Il y a bien entendu un biais vu que les populations ne sont pas les mêmes, mais ne pas pouvoir travailler en ceux qui ne le veulent pas est bien l'objectif au départ

  • [^] # Re: Ca, c'est fait

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Option "Do Not Track" de Firefox et sites de la Mozilla Foundation. Évalué à 3.

    J'ai du mal à voir pourquoi tout le monde parle d'anonymisation. On parle de /do not track/ pas /do not identify/. Si on me piste de façon anonyme ça continue à me poser problème. Mes nom/prénom civils sont peut être la partie la moins pertinente de qui je suis en ligne, et de fait la moins gênante (pour moi)

  • [^] # Re: Changement de pilote

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche X.Org est mort, vive Wayland ! (3). Évalué à 2.

    J'avoue que c'est un domaine de programmation que je ne connais pas mais je suis surpris quand même. Pour moi le propre du serveur d'affichage c'était justement de gérer l'affichage, et donc s'adresser à la carte graphique (d'autant plus avec la transparence réseau). Je comprend qu'il y ait des accès relativement direct avec opengl et quelques primitives, mais je ne comprends pas pourquoi on s'adresse à une carte particulière.

    Si on gère le tracé dans l'appli (via le toolkit) et l'appel directement à la carte, il reste quoi dans le serveur d'affichage ?

  • # et un levier de discussion avec les éditeurs…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Discours de Fleur Pellerin sur le libre chez Mozilla à Paris. Évalué à 10.

    et un levier de discussion avec les éditeurs
    
    

    Je suis le seul que ça choque de voir le libre comme un levier pour négocier des licences sur les logiciels propriétaires ? Ca fait un peu "on ne compte pas les utiliser mais c'est génial comme menace pour réduire nos factures des vrais logiciels, les non-libres"

  • [^] # Re: Réponse

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Première mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 10.

    Je m'amuse de remarquer qu'ils n'ont même pas pris la peine d'écrire correctement linuxfr dans le message d'excuse.

    Sinon quand on veut calmer le jeu, on présente des excuses pour ses propres actions, pas pour celles de ses contradicteurs. Là c'est "désolé que ça fasse polémique, mais on avait raison". Bref, c'est au mieux très maladroit, et ça met plus d'huile sur le feu qu'autre chose.

    Ils auraient dit "désolé, on n'a pas bien mesuré notre réaction et notre communication", ça aurait aussi bien pu éteindre toute la polémique immédiatement.

    zéro en communication de crise là

  • [^] # Re: Félicitations

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lisez en liberté avec TeaBook Open Reader !. Évalué à 3.

    Je crois qu'il y a une mécompréhension.

    J'ai l'impression que tu projettes tes propres peurs. Non nous ne proposons pas une liseuse dont la technologie est faite pour que les enseignes maitrisent la lecture et le client. Nous proposons une liseuse dont la technologie est faite pour que les enseignes puissent simplifier des opérations que leurs clients trouvent complexes.

    Je ne sais pas si c'est évident pour tout le monde ici mais pour le lecteur moyen le livre numérique c'est complexe. Il faut télécharger, savoir quoi installer pour lire, ouvrir le fichier, mettre à jour quand le livre est mis à jour, etc. Le ressenti va parfois de "long et pénible" à "je ne comprends rien". Fournir un service où le lecteur peut cliquer sur le lien dans son compte et lire immédiatement ce qu'il a acheté c'est juste indispensable pour beaucoup de gens.

    Après l'important ici c'est que cette vision ne remplace pas le téléchargement, elle vient en plus. Tu peux télécharger le contenu et le lire où tu veux. Tu peux même prendre notre liseuse et la monter sur ton serveur que tu contrôles si tu ne souhaites pas faire confiance au libraire.

    Il ne s'agit pas de contrôler la lecture et le lecteur : Ce que nous mettons en oeuvre (notamment le téléchargement du fichier sous son format d'origine) ne le permet pas.

    Mais si, effectivement, le projet de TEA consiste à gérer les serveurs […] je suis prêt à vous faire confiance. Je trouverai même le concept génial.

    Nous hébergeons et gérons les serveurs des services offerts à nos clients libraires, oui.

    Maintenant ça n'empêchera pas quelqu'un de monter son propre serveur et son propre service, c'est justement ça le concept du logiciel libre ;)

  • [^] # Re: Félicitations

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lisez en liberté avec TeaBook Open Reader !. Évalué à 4.

    Dans l'ensemble si. Il s'agit de faire à notre niveau tout ce qu'on peut pour que ça fonctionne. Maintenant nous ne pouvons agir que là où nous avons contrôle.

    Le choix des DRM ou non est côté éditeur. C'est vers eux qu'il faut éventuellement vous tourner.

  • [^] # Re: Pas un simple logiciel de lecture

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lisez en liberté avec TeaBook Open Reader !. Évalué à 9.

    Il s'agit de "un" moyen d'accès, pas le seul.

    Si le serveur tombe en rade temporairement alors ça sera exactement comme si tu étais déconnecté : Tu as accès à la bibliothèque et tu peux continuer ou initier la lecture des livres qui ont été rappatriés pour lecture hors ligne par ton navigateur.

    Si le service ferme alors tu auras toujours ton fichier epub. Il y a des liens de téléchargement dans le compte que tu as chez ton libraire. Tu peux lire sur l'application web mais tu peux aussi télécharger et lire dans l'application de ton choix ou avec le matériel de ton choix. C'est important pour nous : nous ne sommes pas dans un jardin fermé comme pour Amazon. Maintement c'est une question distincte de cette application précise.

    Côté synchronisation nous avons prévu d'ouvrir les API pour que le lecteur puisse jouer avec ses annotations et ses marques pages. Pour l'instant ce n'est pas encore dans l'application, donc il faut nous laisser le temps. Toutefois, pour bien marquer que ce n'est pas une promesse en l'air, dans l'application Android qui va sortir sous peu, il y a déjà un bouton "exporter ses annotations" qui sort un fichier HTML sur disque. L'idée est bien qu'on n'enferme pas les données des utilisateurs et qu'au contraire on les lui ouvre.

  • [^] # Re: \o/

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lisez en liberté avec TeaBook Open Reader !. Évalué à 7.

    Je ne sais pas si le terme d'app store est le meilleur mais c'est un peu ça. Chaque libraire est indépendant des autres : sa base client, ses recommandations, son interface, son site web, sa classification et son catalogue. Ça va du site web jusqu'aux applications en passant par les liseuses ou tablettes éventuellement vendues en magasin. C'est important dans le sens où nous ne nous substituons pas aux libraires mais au contraire les soutenons.

    Concernant l'application qu'on vient de partager il y aura bien une instance pour chaque libraire, où tu pourras te connecter avec le compte que tu as sur ce libraire, et voir en temps réel tes achats ou commencer la lecture. Dans l'idéal ça peut même être un lien directement depuis ton compte ou ton panier.

    Ça c'est notre vision mais l'application elle-même peut tout à fait servir pour une bibliothèque, pour une promo de fac afin d'échanger des supports, ou dans une famille de geeks :)
    Mais oui, nous adhérons très bien à la direction du Mozilla Market Place.

  • [^] # Re: \o/

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lisez en liberté avec TeaBook Open Reader !. Évalué à 7.

    Nous sommes pragmatiques sur la question. Notre mission est en grande partie d'aider les librairies à passer au numérique et de leur offrir les services adaptés. Pour l'instant les éditeurs imposent les DRM pour la très grande majorité des titres.

    Il n'est pas envisageable pour ces librairies de se couper de 75% du catalogue, surtout si quasiment tous les titres papier qu'ils vendent actuellement viennent des éditeurs des grands groupes qui justement sont dans ces 75%.

    TEA est donc neutre de ce point. Contrairement à des concurrents nous n'avons pas de conditions propres à inciter à passer en DRM des titres qui ne le seraient pas ailleurs. Nous sommes heureux de proposer le livre sans DRM quand l'éditeur ne nous l'impose pas. Nous leur proposons de plus s'ils le souhaitent un niveau de protection intermédiaire (simple marquage invisible des fichiers) que ne proposent pas Amazon Apple ou Kobo et qui ne pose pas les problèmes des verrous DRM.

    Pour les titres qui restent en DRM nous nous assurons d'utiliser un DRM commun à tous les libraires autres que Amazon et Apple, et nous allons justement proposer en parallèle cette application de lecture web qui permettra de ne pas avoir d'incompatibilité sous les systèmes libres. C'est certainement imparfait du point de vue de ceux qui sont opposés aux DRM mais c'est à peu près ce que nous pouvons faire de mieux.

    Maintenant si vous voulez du sans DRM, les libraires TEA en proposent aussi.

  • [^] # Re: Petite comparaison entre bionic et glibc

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Et si Android était en fait libre. Évalué à 0.

    Hum, j'avoue que je n'en sais rien mais c'est la première fois que j'entends que les contributeurs du kernel auraient donné une exception de licence à la glibc. Ca m'étonne un peu. De ce que j'en avais compris la glibc n'avait aucun droit de plus ou de moins qu'un autre soft au niveau légal. Tu as des sources claires là dessus ?

  • [^] # Re: userland GPL et libc GPL ou non

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Et si Android était en fait libre. Évalué à 3.

    Tel que je le vois ça peut rendre Bionic GPL (parce que Bionic diffuse des morceaux de code GPL, ne fait pas que les utiliser), éventuellement un peu plus si jamais des choses sont trop intimement liées à Bionic et peuvent être considérées comme indissociables de Bionic.

    En aucun cas la GPL ne se propage aux programmes utilisateurs. Il y a même un passage là dessus dans la GPL : l'utilisateur des outils de dev de la plateforme, y compris le noyau, n'impose pas les conditions de diffusion de la GPL.

    Si c'était le cas, ça s'appliquerait aussi à la GLIBC.

  • # coupable non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Big Brother, c'est du petit (café au) lait.... Évalué à 5.

    Ne nous trompons tout de même pas de problème. chacun a le droit d'exprimer son mécontentement.

    Le problème ici c'est qu'une maison mère à des milliers de kilomètres arrive à mettre assez de pression pour que la boutique locale puisse envisager de virer un employé fusible pour un malheureux café oublié. C'est fou qu'on arrive à en faire porter la responsabilité à l'auteur d'un malheureux tweet qui n'est pas faux factuellement.

    Ce n'est pas à chacun de retenir tout ce qu'il pense parce que peut être un imbécile prendra des décisions disproportionnées. A l'inverse, l'idée serait peut être de signaler par ce même média qu'en tant que consommateurs on apprécie encore moins ces décisions radicales et excessives.

  • [^] # Re: pas d'anciens clients Free ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal adsl ovh. Évalué à 2.

    Ca par contre c'est clairement légal à priori, c'est un service différent, avec des obligations légales différentes, donc logiquement on peut différencier.
  • # pas d'anciens clients Free ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal adsl ovh. Évalué à 3.

    J'aimerai bien connaitre la légalité de la restriction d'Alice "pas de client résilié depuis moins de 3 mois". Une fois qu'on n'a plus d'offre, il n'y a aucun motif légitime pour refuser de vendre, n'est-ce pas un refus de vente ? A-ton réellement le droit de mettre ce genre de restrictions commerciales propre à profiter d'une position majeure sur le marché ?

    Commercialement je comprends bien qu'ils veulent faire une annonce et éviter que ça phagocyte leurs clients actuels, mais je trouve ça anormal que ça puisse être possible