Co-organisée avec des entreprises et des organismes de recherche, cet article indirectement met en lumière la position "politique" bancale de ces derniers: financés par les brevets, mais qui développent aussi du L.L. Alors que certaines très grosses entreprises commerciales ont clairement décidé de développer conjointement les deux, y voyant autant d'avantages. Il en conclue que le marché se partagera harmonieusement entre les deux.
Dans le résumé qu'il fait, cela flaire le troll: «[Les logiciels libres sont des] logiciels de base, développés par des informaticiens pour des informaticiens. A l'inverse, le logiciel propriétaire [...] favorise davantage l'innovation par les éditeurs de logiciel et l'utilisation par des utilisateurs non spécialistes.»
Il s'enfonce largement plus loin en écrivant allègrement que «l'avènement de protocoles basés sur les standards du Web devraient améliorer encore cette interopérabilité et donc faciliter l'intégration entre logiciel libre et logiciel propriétaire.». Et le fameux "embrace and extend" de Microsoft, il connaît?
Honte à moi, j'y étais pas... quelqu'un peut-être ?
Aller plus loin
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# Laissez tomber...
Posté par Jar Jar Binks (site web personnel) . Évalué à 10.
[^] # Re: Laissez tomber...
Posté par Da Scritch (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 10.
Mais il faut écrire une réponse au Monde, expliquant que bien souvent, les nouveaux standards sont d'abord gérés dans le logiciel libre, t quec'est Microsoft qui les bloque
[^] # Re: Laissez tomber...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 4.
C'est vrai, c'est un gros troll poilu d'un mec qui n'y connait rien, et qui sort des banalites affligeantes en esperant que ce soit consensuel.
[^] # Re: Laissez tomber...
Posté par nicolap . Évalué à 3.
Ainsi, des fonctions spécialisées comme la gestion d'imprimantes ou de messagerie sont de plus en plus réalisées par des solutions logiciel libre sous Linux. Mais les fonctions plus complexes comme la gestion de transactions ou la gestion de bases de données sont typiquement réalisées par des logiciels propriétaires comme Oracle, DB2 ou SQL Server.
Ce papier est effectivement un torchon.
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