Migrer vers une solution logicielle libre

Posté par  . Modéré par Amaury.
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11
fév.
2004
Communauté
Des utilisateurs Linux ont travaillé ensemble à la rédaction d'un document visant à détailler les avantages et les étapes nécessaires à la migration sous un système libre.

Le fruit de ce travail s'adresse principalement aux chefs d'entreprise, aux professionnels de la branche informatique ou tout simplement aux utilisateurs de type familial, qui hésitent à adopter une solution logicielle libre.

Aller plus loin

  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 9.

    J'ai lu la première partie du dcument... et à un moment, on lit...

    Linux est, de plus, devenu part intégrante du projet GNU.

    C'est un troll ou j'ai laissé passé une nouvelle importante !!!
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 6.

      bah c'est depuis que Darl McBride a pris la tête de la FSF, non ?
      t'as fait quoi pendant ces 2 prochaines années toi ?
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 1.

      "Linux est, de plus, devenu part intégrante du projet GNU."

      Pour autant que je comprenne le français, il n'a pas été dit que Linux était GNU, mais devenu une part intégrante de GNU.
      Il me semble d'ailleurs que le projet GNU ne se limite pas à HURD. Il est bien plus vaste que cela.

      PL
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  . Évalué à -1.

        Je ne comprends peut-être pas très bien le problème je crois que Linux peut être considéré comme tous les OS libres sous GPL comme faisant partie du projet GNU puisque le projet GNU consite a réaliser un OS libre.

        Je cite www.gnu.org :
        "The GNU Project was launched in 1984 to develop a complete Unix-like operating system which is free software: the GNU system."

        Linux n'est-t-il pas un "complete Unix-like OS which is free software" ?
        De plus n'est-ce pas pour cette raison qu'on doit dire "le système GNU/Linux" ?

        On pourrait même dire que tous les logiciels libres font partie du projet GNU puisqu'ils utilisent pas license GNU GPL.
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  . Évalué à 0.

          Linux n'est-t-il pas un "complete Unix-like OS which is free software" ?
          Oui, mais ce n'est pas LE "complete Unix-like OS which is free software" du projet GNU

          De plus n'est-ce pas pour cette raison qu'on doit dire "le système GNU/Linux" ?
          Non, c'est justement pour différencier GNU (Le système sans le noyau) et Linux (le noyau).
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  . Évalué à 2.

        Un projet GNU, c'est un projet officiellement intégré (par la FSF) au projet GNU...
        Linux est distribué sous license GNU GPL, mais n'est pas reconnu par la FSF comme faisant parti du projet GNU.

        Tous ce qui est GPL n'est pas GNU...

        Il me semble d'ailleurs que le projet GNU ne se limite pas à HURD

        Le projet GNU contient tous ca : ftp://ftp.gnu.org/gnu/(...)

        mais donne son soutiens (serveur ftp) à tous ca : ftp://ftp.gnu.org/gnu/non-gnu/(...)

        et dans tous ca, le seul noyau du projet GNU, c'est "the Hurd" imself !
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 10.

    Bonne vue d'ensemble, et excellente documentation de culture générale mais méthodologie de migration j'en doute ...

    A moins que la problématique se resume en 4 lignes :)

    Le recensement de l'existant est une aventure (on en découvre des choses que personne ne soupconnait).

    La définition du nouveau poste est complexe (vous voulez vraiment reproduire la même chose au lieu de rationnaliser ?).

    Les critères qui mènent à l'adoption d'une solution libre vont au delà de la seule comparaison fonctionnelle (comparer logiciel par logiciel c'est un poil basique comme approche).

    Il manque un chapitre sur les craintes, histoire de les desamorcer de suite, et un autre sur les apports d'un système libre, bien au délà du coût et de l'utilisation de formats ouverts.

    (Le gain majeur est souvent le coût de maintenance, en supposant que l'on parte d'une solution "non verrouillée").

    Un peu trop de théorie et pas assez de concret peut être (j'hésite à dire : simpliste). Ceci dit je suis conscient que les retours d'expériences ne sont pas nombreux (ou plutôt pas diffusés).

    Quid des logiciels métiers, de l'intégration à un existant "propriétaire" prévu pour durer encore 1 ans, des domaines de prédiléction du libre (client léger ou gras ?),

    Je vois plutôt une cible "particuliers" avec ce document : Aller voir un "décideur" avec ces données là, ca risque d'être dangereux.
    (Il va avoir plein de questions et vous pas de réponses ...)

    M
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 3.

      "...mais méthodologie de migration j'en doute ...
      A moins que la problématique se resume en 4 lignes :)....."


      La problématique d'une migration industrielle ne se résume certes pas en 4 lignes. C'est même un problème trop complexe dans le cadre de ce document. Du moins c'est ce que nous avons pensé.
      Il est difficile de faire des cas d'école dans ce cas, et tu le dis bien peu ou pas de retour d'expérience.

      "Quid des logiciels métiers, de l'intégration à un existant "propriétaire" prévu pour durer encore 1 ans, des domaines de prédiléction du libre (client léger ou gras ?)"

      ça c'est sûr, c'est un manque.

      "Je vois plutôt une cible "particuliers" avec ce document : Aller voir un "décideur" avec ces données là, ca risque d'être dangereux."

      Ce n'est en ce sens qu'une introduction à des questions qui sont régulièrement posées

      (Il va avoir plein de questions et vous pas de réponses ...)

      si tu parles des auteurs, tu crois vraiment??? :-)))

      Merci pour cette critique, on en tiendra compte
      PL
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 9.

    Je viens de finir les 20 premières pages...
    Je vais essayer d'être plus constructif que lors de mon précédent post.

    Le document est plutôt clair, fait un bon historique de l'informatique libre (et propriétaire).

    La principale critique que je ferais est : il y a trop de comparaisons machin et meilleur que bidul ... ce qui enlève pas mal de crédibilité.

    plus quelsques détails à modifier de toute urgence :

    page 13 : Linux est, de plus, devenu part intégrante du projet GNU.
    Non : Le noyau du projet GNU est encore the Hurd.

    page 15 : SuSE Linux, distribution d'origine allemande.
    A mon avis, si c'est la seule chose qu'on a à dire sur la Suse, autan ne pas la nommert. (compte tenu du fait que pour les autres distibs, il n'y a pas d'origine mantionnée).

    page 20 : Mozilla est un navigateur respectant parfaitement les standard du W3C
    s/parfaitment/le plus possible/

    page 20 : Opera est un navigateur Internet (dans le contexte : libre)
    Non

    page 20 : Le compilateur gcc est devenu un standard dans l'industrie. De fait, tout les développeurs sous UNIX l'utilisent.
    Je pourrais en citer au moins un qui utilise autre chose !

    page 20 : Un équivalent de gcc, entièrement libre, existe pour Microsoft Windows : cygwin.
    1ere solution : s/cygwin/mingwin/
    2eme solution : gcc marche aussi très bien avec cygwin


    Je lis les 20 prochaines pages ... et je reviens !
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 6.

      Je me réponds à moi même :

      page 24 : Au niveau du matériel, la coopération des constructeurs est très diverse et si la palme
      peut-être donnée à NVidia (fabriquant de cartes vidéo),....


      Ce document est un vrai nid à troll ... j'arrête là !
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        La bonne volonté a des limites qu'un troll ne connait pas :-)
        Dicton nerd danois de la fin du XXeme siecle.

        Mais merci a Pierre LO CICERO et Yoann LE BARS pour leur bonne volonté, la version 2.O devrait approcher la perfection.

        Enjoy
        Karles
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  . Évalué à -2.

        Je vois pas vraiment le troll, mais bon c'est possible ?

        Les drivers NVidia, quoique non GNU, sont dans les plus simples à utiliser et installer.
        Ils fonctionnent parfaitement.
        On peu quand même saluer des constructeurs qui font un effort...ou pas ?
        J'ai un peu de peine à comprendre

        PL
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  . Évalué à 3.

          ils font un effort, mais ils ne jouent pas le jeu du logiciel libre
          alors pour la palme de la coopération à un projet libre... :)
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  . Évalué à 1.

          Ils fonctionnent parfaitement.
          Dans tous le document, il est fait une apologie des logiciels libres... et NVIDIA fait des drivers propriétaires...

          Pour la Palme , Matrox aurait été un meilleur choix... les drivers des cartes Matrox sont libres parce qu'ils distribuent leur matériel avec les specs !
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          marchent parfaitement ????

          pas vraiment je suis obligé de désactiver l'agp sinon freeze system!!!

          et sa dure depuis 2 ans, sa a été signalé et ce n'est toujours pas corrigé.

          mon chipset ??? : VIA ohh c pas du nvidia n'y aurrais-t-il pas un peu de mauvaise volonté là-desous ???
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 1.

      "Opera est un navigateur Internet (dans le contexte : libre)
      Non"


      ça c'est bête de ma part, je l'avais vu lors de la correction et il m'a échappé.

      "page 20 : Un équivalent de gcc, entièrement libre, existe pour Microsoft Windows : cygwin.
      1ere solution : s/cygwin/mingwin/
      2eme solution : gcc marche aussi très bien avec cygwin"


      Juste aussi

      PL
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à -1.

    page 15 : SuSE Linux, distribution d'origine allemande.
    A mon avis, si c'est la seule chose qu'on a à dire sur la Suse, autan ne pas la nommert. (compte tenu du fait que pour les autres distibs, il n'y a pas d'origine mantionnée).


    Mandrake a comme origine la france, sa lui colle a la peau d'ailleur.

    Sinon je suis plutot daccord avec Maillequeule.
    Sauf pour :

    (Le gain majeur est souvent le coût de maintenance, en supposant que l'on parte d'une solution "non verrouillée").

    La qualitée des softs me semble plus important que le coût (ainsi que les performances).

    Je vois plutôt une cible "particuliers" avec ce document : Aller voir un "décideur" avec ces données là, ca risque d'être dangereux.
    (Il va avoir plein de questions et vous pas de réponses ...)


    Un How-to DESCIDEUR avec question-reponse serait-il vraiment utile ? :)

    je salue l'initiative (peut-etre que c'est un premier jet).
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Pierre LO CICERO associe ce type de migration à une "bouffée d'air frais". J'ai contributé (trop largement à mon gout ;) à cette opération chez un de mes clients et il faut admettre que cela ressemble bien pour eux à l'arrivée d'air pur :

    - moins de serveurs : plus besoin de séparer des applications par peur de crach du systeme, des reinstallations, ...
    - meilleure exploitation des machines : le frontal web n'est plus qu'un PII 233 :o) qui fait son boulot comme un chef
    - stabilité acrrue : a part quelques morts de disques rien à signaler en 9 mois
    - plus grande offre logicielle : avec une simple Debian et quelques apt-get, on répond facilement à la plupart des besoins. Le seul critère est de choisir le meilleur outil (libre évidemment) pas .. simplement combien coute la licence
    - meilleur support : google, mailing list, irc, sources .. nécessitent un peu de pugnacité mais bien génèrent moins de frustation d'un support téléphonique peu ou pas efficace et surtout l'équipe d'administration progresse à chaque résolution de problème

    Par ailleurs, 15% des stations de developpement ont fait le pas (vers Debian unstable). Et je crois qu'aucun des développeurs en question n'accepteraient de repasser le Rubicon dans l'autre sens :o) Machines plus réactives, plus d'outils, environnements graphiques (Gnome, KDE) plus riches, plus configurables ...

    La principale clé d'une telle migration est d'avoir les compétences et l'expérience nécessaires (ca parait évident mais ...) La charge de travail nécessaire en dépend directement. Déployer un bind pour la première fois ou pour la 10eme fois n'ont rien a voir :o)

    Malheureusement pour moi, le grand demon du priopriétaire s'est vengé et mon nouveau client a peur du pingouin .. Retour aux affres du propriétaire pour moi apres de longues années d'absence :,(
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 3.

    La migration : J'ai quand même l'impression qu'on a minimisé la partie entre le clavier et la chaise. Expérience personnelle : vaincre les a priori, les petites habitudes, voire la défiance est le boulot le plus lourd de la migration.

    Et nerveusement, rester zen face au millième "c'est moins bien qu'avant"...

    Note :

    'Microsoft EULA : End User Licence Agreement : (cf. Microsoft XP Professional)'...

    Je ne suis pas légiste, mais il me semble que de toute façon, ces clauses ne sont pas légales.... Donc ne tiendraient pas devant un tribunal (en France).

    Donc pour les citer, pas de problème, mais juste pour montrer les velléités des la société en question. Et peut-être faire remarquer que le logiciel doit surement permettre de joindre le geste à la parole.

    Dans ce cas, faire gaffe aussi à ne pas basculer dans le bâchage pur et simple.


    Sinon, c'est une bonne synthèse (comprendre réclame).
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 1.

      "vaincre les a priori, les petites habitudes, voire la défiance est le boulot le plus lourd de la migration.

      C'est exactement cela. Cependant, il faut commencer par le début. Au dire de certains décideurs qui ont lu ce document, il répond à une partie de leurs questions.
      La pierre d'achoppement principale étant la question d'un "habitus", pourtant l'habitude n'est certes pas primordiale au niveau d'une migration.

      'Microsoft EULA : End User Licence Agreement : (cf. Microsoft XP Professional)'...

      Je ne suis pas légiste, mais il me semble que de toute façon, ces clauses ne sont pas légales.... Donc ne tiendraient pas devant un tribunal (en France)."


      Non, pas plus qu'ici en Suisse, mais, car il y'a un mais de taille :
      La législation internationnale.
      Sans être juriste, c'est vraimentde taille.

      PL
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  . Évalué à 1.

        C'est pour ça que dans certaines boites, ils compensent le changement d'environnement par une update des PC (ex : remplacement des écrans tubes par des écrans plats), ce qui 'valorise' l'utilisateur qui de fait est finalement content.
        C'est ce que la CCI de Lyon a fait quand ils sont passés en client léger et c'est ce que F Labbe a fait pour faire migrer sous OOo l'hopital dans lequel il travaillait (voir le très bon document dans lequel il décrivait comment il avait conduit la migration : http://www.framasoft.net/article1842.html(...)).
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  . Évalué à 1.

          Voilà qui est constructif !

          Dans la notion de migration, tous ceux qui l'ont expérimentée savent que la première des réticences n'est pas objectives mais psychologiques.
          Quelqu'un a dit plus haut que ce document n'est qu'un "prospectus" de promotion. C'est très possible. Il tient compte d'objections qui sont systématiquement faites, avant même d'avoir envisagé la migration proprement dites.
          Est-ce que ce document s'adresse à des "Linuxiens" chevronnés?
          Evidemment non ! Ces notions sont tellement connues que les discussions tournent très vite autour de points de détails du style :
          savoir si GNU/Linux est GNU ou pas GNU, ou d'autres qui sont totalement hermétique à l'utilisateur final et qui sont purement dans ce cas : idéologiques.

          Un décideur, indépendamment, de l'aspect financier ou de l'aspect purement technique doit avoir un minimum de raisons pour se pencher sur le problème et envisager finalement l'aspect pragmatique que représente une migration vers une solution libre.


          Dans tous les cas merci pour le lien

          PL
          • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

            Posté par  . Évalué à 1.

            savoir si GNU/Linux est GNU ou pas GNU, ou d'autres qui sont totalement hermétique à l'utilisateur final et qui sont purement dans ce cas : idéologiques.

            Ce n'est pas de l'idéologie... ca en serait, si j'avais dit : "Linux, c'est pas bien... parce que c'est pas dans le projet GNU"

            Dire que "Linux ne fait pas parti du projet GNU", ce n'est pas de lídéologie... c'est juste un fait... qui ne reflete ni mon opinion, ni une idéologie.
        • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

          Posté par  . Évalué à 1.

          C'est ce qu'est en train de faire une caisse du crédit agricole. Un projet de "migration" s'accompagne souvent d'un renouvellement du matériel à bout de souffle. Maintenant, tu connais une boîte qui commande des nouveaux PC avec des écrans cathodiques ?
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 4.

    Ce document est grotesque et peut valablement servir de repoussoir à toute idée de migration dans une entreprise (je ne parle pas du cas des PC familliaux).

    Il faudrait supprimer tout le baratin idéologico-moralisateur et donner des informations chiffrées sur les coûts et les gains. Il faudrait parler des applications métiers, des progiciels et des méthodologies de migrations.
    • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

      Posté par  . Évalué à 1.

      "Ce document est grotesque et peut valablement servir de repoussoir à toute idée de migration dans une entreprise (je ne parle pas du cas des PC familliaux)."

      C'est possible. :-)
      Mais si tu expliquais, ce serait nettement mieux

      "Il faudrait supprimer tout le baratin idéologico-moralisateur et donner des informations chiffrées sur les coûts et les gains. Il faudrait parler des applications métiers, des progiciels et des méthodologies de migrations."

      Il n'y a volontairement aucune idéologie. Mais des constats. C'est en tous cas ce à quoi nous nous sommes attachés.
      Il y'a aussi nettement des concepts ethiques, qui peuvent ne pas plaire, mais qui ne sont pas affectés par le fait de plaire ou de ne pas plaire.
      Le probléme du logiciel libre,s'inscrit dans un contexte plus vaste que celui limité de l'informatique.
      Admettre le brevet logiciel tel qu'outre-atlantique, c'est admettre par voie de conséquences les brevet sur le vivants (OGM), le brevet sur une idée...etc.
      Il n'y a aucune idéologie là-dessous, c'en est même le contraire, puisque c'est une réalité.

      PL
      • [^] # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

        Posté par  . Évalué à 1.

        Je suis prêt à entamer une discussion constructive, sereine, polie, toussa, qui pourrait, peut être, s'avérer intéressante, mais j'ai un peu de mal à faire ça à l'aide du système DLFP. Cela ne s'y prête pas, pour plusieurs raisons.

        Que dirais-tu d'un échange par mail ?

        Je ne sais pas trop quelle adresse utiliser pour te joindre. Tu peux m'en fournir une par mail à manuel daut leclerc hat wanadoo daut fr
  • # Parlons de la forme

    Posté par  . Évalué à 2.

    Bon, je ne tiens pas à parler du fond mais de la forme : ce travail doit certainement être intéressant, mais pourquoi passer des heures à le rédiger pour ensuite bâcler la présentation !
    La page HTML fait 140Ko, il y a deux images (Précédent - Suivant) et elles ne sont même pas affichées. Où est la pagination, la mise en forme ... Ces messieurs les dirigeants ont beau penser argent, l'emballage compte ! La preuve c'est que Windows est plein de problèmes (bogues, vers, ...) mais qu'il a 9X.XX % de part de marché ...
    KDE a très bien compris ça avec KDE3 et une prise en main facile avec une interface graphique plus que soignée !
    Messieurs les programmeurs, lâcher vos souris pour une tablette graphique !
    • [^] # Re: Parlons de la forme

      Posté par  . Évalué à 1.

      "Où est la pagination, la mise en forme "

      Dans le document "pdf".
      Les pages html sont juste une exportation faite depuis le fichier LAtex avec latex2html.

      Cela dit, je vais voir pourquoi les images n'apparaissent pas sur le document html

      Voilà

      PL
      • [^] # Re: Parlons de la forme

        Posté par  . Évalué à 1.

        Dommage que le PDF soit laid également : comme souvent, les polices T1 de LaTeX ne sont pas au mieux de leur forme dans un PDF.

        L'utilisation des polices OT1 et un petit

        \usepackage{ae}
        \usepackage{aeguill}

        dans le préambule serait le bienvenu.

        Affirmer que Linux est l'égal de Windows et proposer un document HTML qui a l'air d'avoir été écrit en 94 en HTML 0.0 pour Mosaic et un PDF tout pas bo ne fait pas très crédible. Les URL cliquable, c'est luxe aussi...

        Question de béotien : C'est vraiment obligatoire de copier le GLDF à la fin ? Parce que bon 9 pages sur 45, la forêt ne dit pas merci à la FSF :)
      • [^] # Re: Parlons de la forme

        Posté par  . Évalué à 1.

        Pour obtenir de l'HTML plus joli qu'avec latex2html j'utilise hevea http://para.inria.fr/~maranget/hevea/(...) produit libre de l'INRIA. Il est incomparablement plus rapide et souple que latex2html.

        Cordialement et vivement la version 2.0 du document. Il y a plein de remarques constructives :-)

        Cordialement,

        --
        Pierre.
    • [^] # Re: Parlons de la forme

      Posté par  . Évalué à 1.

      Hmm c'est pas aux programmeurs mais aux graphistes et autres amateurs de PAO de faire ça, ne mélange pas tout.
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    Quand je lis ça:

    "Il existe d'autres systèmes d'exploitations libres, quoique n'étant pas sous licence GPL mais sous d'autres licences semblables. Citons donc Free BSD, une version libre de l'UNIX développée à l'université de Berkley, Net BSD, QNX ou BeOS."

    je dis : "allez, au revoir les amis..."
  • # Re: Migrer vers une solution logicielle libre

    Posté par  . Évalué à 2.

    Bonjour.

    Je suis Yoann LE BARS et j'ai lu avec intérêt l'ensemble des commentaires que vous avez donné. Je suis désolé de vous répondre par personne interposée mais je n'arrive pas à ouvrir un compte sur LinuxFR. N'hésitez pas à utiliser mon adresse personnelle : le.farfadet.spatial@free.fr

    Parlons donc de l'article. Il est certain qu'il a besoin de prendre de la maturité. Il y a des erreurs et des manques, ne serais-ce que parce qu'à force d'avoir le nez dessus nous avons du mal à le relire. C'est la raison pour laquelle nous sommes ouverts à toutes contributions. Par vos remarques, vous nous permettez de l'améliorer et nous vous en remercions. C'est d'ailleurs le sens de l'adoption de la FDL, c'est-à-dire une invitation au travail collaboratif en sachant que ce sera fait dans le respect de chacun. A ce sujet, à titre personnel les dix dernières pages en anglais me gène un peu également mais à partir du moment où nous adoptons cette licence nous devons la citer dans son intégralité.

    Maintenant, je voudrais vous présenter notre démarche, parce que je pense qu'elle éclaire l'article. Bien sûr, elle est discutable mais il est plus facile d'en parler une fois qu'elle est clairement exposée.

    Notre objet initial est donc de présenter l'existence des logiciels libres à ceux qui ne les connaissent pas, qu'ils n'en aient jamais entendu parlé ou mal. Ensuite, nous souhaiterions leur donner des raisons objectives pour lesquelles se tourner vers le libre. Nous allons étendre la méthodologie de la migration mais force est de constater que pour un particulier elle se résume maintenant pour ainsi dire à acheter une distribution orienté utilisateur et à la laisser s'installer. Pour les entreprises, nous en parlerons plus mais reste que le principal conseil pour qu'une telle migration se passe bien est de s'adjoindre les services d'une entitée compétente sur le sujet.

    Ceci étant posé, nous avons volontairement évité de faire trop technique, parce qu'à l'évidence nous ne nous addressons pas à des informaticiens ni à des habitués du libre. Ceci fait que, tout en essayant de rester aussi juste que possible, nous ne pouvons pas entrer dans certains détails. Par exemple, il me semble parfaitement légitime de dire que Linux fait maintenant partie intégrante de GNU, parce que c'est à l'heure actuel le noyau utilisé par la très grande majorité des utilisateurs de GNU, parce que GNU profite du développement de Linux, parce que GNU a le succés qu'il a aujourd'hui grâce à Linux (et réciproquement d'ailleurs), entres autres raisons. De plus, nous avons parlé de HURD, avons dit que Linux était un noyau et pas le système d'exploitation dans son ensemble. Faire tout un paragraphe sur ce sujet n'aurait servit qu'à noyer le poisson. Nous sommes obligé de passer certains choses, de survoler certains point. Cet article est orienté sur la découverte du monde du libre, nous ne prétendons pas -- et même pensons qu'il est préférable de ne pas le faire dans un premier temps -- faire une présentation exhaustive.

    Ceci dit, nous tiendrons bien sûr compte des remarques qui nous sont apportées, qui d'ailleurs ne viennent pas exclusivement de ce site.

    A bientôt.

    Yoann LE BARS,
    alias Le Farfadet Spatial

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