Antoine-B a écrit 3 commentaires

  • [^] # Re: Changer d'outil de production ?

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal PAO avec logiciels libres au sein d’une équipe sur le long terme. Évalué à 1.

    C'est au cas par cas. Pour ce projet en particulier c'est faisable. Sous réserve de refaire le travail de montage complet en HTML/CSS, alors que la maquette existe en Scribus et qu'il suffit de monter le numéro suivant avec les sources existantes. Ce qui n'a du coup pas le même cout. :)

  • [^] # Re: Changer d'outil de production ?

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal PAO avec logiciels libres au sein d’une équipe sur le long terme. Évalué à 1.

    Ceci dit, si je trouve très intéressant et prometteur tous ces nouveaux outils HTML to print que défend et porte Julie Blanc et C&F etc. Il reste toutefois que dans la création graphique, tous ne sont pas faits de document de plusieurs pages. La mise en place de CSS spécialement pour une affiche, un flyer, même voir une plaquette est beaucoup plus rapide à mettre en place avec des logiciels de PAO comme Scribus, voir inkscape qu’en calant des CSS. Sauf, bien sûr à refaire toujours la même chose.

    Les deux options PAO et HTML to Print peuvent très bien évoluer parallèlement, car de plus il faudra que les designers graphiques ou les personnes qui se forme la PAO, se forme aussi en CSS.

  • # La forme puis le fond

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Outils pour écrire un livre. Évalué à 3.

    Je dirais que le mieux c’est d’écrire décorrélé de la mise en forme qui parasite la rédaction.
    Rédaction en markdown avec un logiciel qui gère le contenu et tes copies d’écran, tels que Zettlr, que tu peux coupler avec un logiciel de type Zotero si tu as besoin de références bibliographiques.

    Zettlr permet par exemple d’exporter en EPUB, tex, PDF (via pandoc), LibreOffice, Word…

    Après l'epub, dans un deuxième temps pour un livre imprimé, je passerais sur Scribus, qui est aussi adapté au document long. Le grand avantage d’avoir une base en markdown, c’est sa proximité avec le texte brut, toujours récupérable. Extraire ton texte avec des données structurées après être passées en Scribus ou odt, est bien plus pénible à réaliser.