Microsoft contre la liberté d'expression

Lu via http://planet.debian.net/(...) , la prose de ce bout de blog vaut plus que la mienne, vous pouvez y aller directement : http://hackers.propus.com.br/~pablo/blog/(...)

Pour résumer quand même, Microsoft attaque donc un défenseur du libre qui a osé parler du phénomène d'embrigadement/piège par la gratuité initiale (ou cas du vendeur de drogue, de cigarette, etc.) à propos du géant propriétaire.

Ce serait déjà bien douteux même si Microsoft était blanc comme neige (car la comparaison est pertinente, et il y a des drogues légales donc le propos n'est pas diffamatoire) mais personne n'a oublié que dans le domaine des comparaisons réellement abusives, Microsoft n'a de leçons à recevoir de personne : ils nous avaient appris que la GPL était un cancer et que Linux était communiste/anticapitaliste (ou l'inverse).

Nouvelle "défense" d'une entreprise qui a renoncé à combattre sur le plan de la qualité de ses produits ?

# Ca ne m'étonne pas

Posté par Guillaume Knispel le 17 juin 2004 à 17:32. Évalué à 4.

Alors que la communauté aspire à vivre tranquillement et à proposer des logiciels de qualité, la politique de Microsoft a toujours été celle du FUD^Wmarketing et du judiciaire, que ce soit dans un sens ou dans l'autre.

Ses attaques particulièrement perfides et indéfendables sur le libre ont eues logiquement lieu dès là prise de conscience du danger qu'il représente pour eux. Alors ce que dit le gas peut être ettayé par les propos de Bill Gates en personne qui déclarait qu'il préférait qu'on pirate Microsoft plutôt que l'on utilise d'autres logiciels. Aujourd'hui elles attaignent leur paroxysme dans ce procès qui aura fini de les décrédibiliser totalement. Au moins nous ne sommes pas tombés aussi bas qu'eux. Personne ne leur à jamais fait un procès qu'en ils nous ont sortis leur comparaison sentant la merde entre la GPL et les pires maladies. Le verbe a suffit à montrer leur ridicule, et suffit encore maintenant pour montrer la dégéneressence de cette société.

Cela nous montre aussi à quel point une certaine espèces d'avocat et dangereuse pour la société. Il faudrait leur couper les vivres.