cffs a écrit 3 commentaires

  • # Vidéo accélérée

    Posté par  . En réponse à la dépêche 22 v’là Firefox !. Évalué à 6.

    Quand tu regardes un cours ou conférence en ligne, et que l'orateur est lent (ce qui est souvent le cas des profs états-uniens), il est intéressant de pouvoir accélérer. Évidemment, il faut que le son soit adapté (ajustement du pitch), ou on a l'impression que le cours est donné par Mickey Mouse.

  • [^] # Re: documentation et limites

    Posté par  . En réponse à la dépêche LyX 1.4 est disponible. Évalué à 9.

    LyX a une excellente fonction d'export au format LaTeX qui est d'ailleurs utilisée pour le rendu DVI, PS ou PDF. De plus, tu peux entrer du code (La)TeX directement dans ton document LyX. On pourrait donc le considérer comme un éditeur LaTeX "haut niveau". De là à dire que c'est le meilleur, chacun appréciera selon ses propres critères.

    Pour ce qui est de la documentation, je la trouve assez complète et on peut y trouver rapidement ce qu'on cherche pour autant qu'on utilise le navigateur de sections (il suffit de double cliquer sur la table des matières).
  • # Importance de la définition de la brevetabilité

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 8.

    "le problème n'est à mon avis pas dans la définition de la brevetabilité, mais dans le fonctionnement du système"

    Certes, je suis assez d'accord. Néanmoins, il faut prêter attention à la définition de la brevetabilité dans la loi (directive). Actuellement, si je suis poursuivi dans un état membre pour violation d'un brevet "illégal" attribué par l'OEB, je peux me défendre en justice devant une juridiction nationale. Le tribunal national peut considérer le brevet comme nul si le brevet ne correspond pas aux critères de la directive, peu importe l'avis de l'OEB.

    L'OEB peut donc attribuer autant de brevets "illégaux" qu'il veut, ils ne sont pas opposables pour autant qu'on a les moyens de se défendre en justice (l'argent, le nerf de la guerre).

    Si au contraire on laisse la commission établir une directive vague n'imposant pas la nouveauté et l'inventivité, les juridictions nationales des états membres ne pourront plus s'opposer aux brevets délivrés par l'OEB qui sera alors tout puissant.

    Il faut donc mener de concert un combat pour une "bonne" directive et un fonctionnement plus démocratique et plus contrôllé de l'OEB.