DITA XML est un formidable format pour gérer les projets de documentation. Pour les projets multilingues, cependant, il faut créer un fichier .ditamap, qui contient la structure de table des matières des documents, par version. Ceci entraîne un risque d’erreurs et d’incohérences. Heureusement, une méthodologie appropriée remédie à ce problème.
Script d’automatisation élémentaire sous GPL 3 inside ;-)
# Par rapport à sphinx ?
Posté par feth . Évalué à 2.
Question naïve : beaucoup de gens ici connaissent sphinx, d'autres connaissent DITA. Est-ce que quelqu'un connaît les deux environnements et pourrait nous donner un point de comparaison ?
Pour le peu que j'en sais, sphinx me semble plus léger, peut-être plus "bricolé", mais idéal pour la documentation d'API. DITA, à l'opposé, semble très pratiqué par les rédacteurs techniques : pourquoi cette préférence ?
[^] # Re: Par rapport à sphinx ?
Posté par Gohar . Évalué à 1.
Oui, on m'a souvent parlé de Sphynx et j'y ai jeté un œil. Mais DITA a été spécialement conçu pour la communication technique. En tant que rédacteur technique, j'apprécie sa "macro-sémantique" (concepts, tâches, référence) et sa "micro-sémantique" (adresse, option, commande, etc.).
# Définissez « overkill » en un journal
Posté par Moonz . Évalué à 4.
[^] # Re: Définissez « overkill » en un journal
Posté par Gohar . Évalué à 1.
Ohé, heu, c'est mon premier projet GPL (je ne suis pas développeur, après tout) :-)
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