Il est avec Bob Young une grosse figure de Red Hat.
C'est en parti grace à lui que Red Hat est une société pleinement impliquée dans le logiciel libre et ce depuis le début. Les contributions de Red Hat ne se comptent plus tant elles sont énormes. Sans compter les sociétés rachetés dont le code a ensuite été libéré (la "facture" doit largement dépasser la centaine de million de dollar). Pas de doute, c'est un sans faute dans ce domaine.
Il a voulu Fedora. Il a dit "présent" à OLPC (formidable). Mais toujours Red Hat a dit non à tout compris douteux sur les brevets (n'est-ce pas Novell :-)).
Il a compris que Centos n'était pas un problème. D'ailleurs, il y-a-t-il un équivalent de Centos ? Ben non, il n'y a que Red Hat qui le permet car Red Hat a une grande compréhension du fonctionnement du libre, aime le libre et le respecte.
Ça a mis du temps (trop de temps ?), mais la communauté du libre comprend de mieux en mieux le role de Red Hat dans cet écosystème peu commun.
Discret, c'est un monsieur pour qui j'ai beaucoup d'admiration. Visionnaire sans jamais paraitre révolutionnaire. Pourtant la révolution il l'a faite.
Son message d'annonce de son départ :
http://www.press.redhat.com/2007/12/20/a-message-from-matthe(...)
...
I take pride when customers and industry types comment to me that the people of Red Hat are “different.”
...
What was once considered a joke in 1998, no longer is.
...
Diable, que d'évènement aujourd'hui.
# Re:
Posté par IsNotGood . Évalué à 2.
Je ne le connais pas.
[^] # Re: Re:
Posté par GeneralZod . Évalué à 2.
Il a quitté Delta Airlines cet été après sa non-désignation au poste de CEO malgré qu'il ait redressé la société.
Sa bio à Delta Airlines: http://www.delta.com/about_delta/corporate_information/corpo(...)
[^] # Re: Re:
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Tant mieux, mais je ne suis pas convaincu que ce soit très important :-)
Je ne pense pas qu'il va "révolutionner" Red Hat, son coeur de métier et son expertise, dans les premiers mois.
Je ne serais pas étonné qu'il soit quasi invisible les premiers mois.
Red Hat a eu une croissance soutenue depuis plusieurs années. Red Hat a encore un gros potentiel de croissance. Mais ça doit être géré au niveau organisation et personnel. Par exemple Red Hat c'est maintenant environ 3 000 employés !
les perceptives de Red Hat a moyen terme sont claires :
- virtualisation
- linux automation
- jboss
- RHX
Je vois une réorganisation de Red Hat (pas ce que fait Red Hat) afin de se préparer les "montées en charge" à venir. Puis une profonde réflexion pour définir des plans à (très) long terme. La question d'investir le marché du desktop sera évidemment abordé en profondeur.
Donc, pour ma part, il faut a Red Hat aujourd'hui un excellent "gestionnaire" pour mettre en place une solide organisation. Mais Red Hat n'est pas une boite comme les autres, il faudra préserver ses spécificités qui font son succès, il faudra beaucoup d'imagination et d'intelligence.
Je ne crois pas que le couple RHEL/Fedora soit impacté significativement.
Par contre on va peut-être voir plus de moyen pour la communcation autour de Fedora (et RHEL Desktop). Même si le marché du desktop est encore assez ridicule, c'est dès aujourd'hui qu'il faut placer ses pions et notamment au niveau de l'image.
C'était mon sentiment. Je suis très peu inquiet à moyen terme.
[^] # Re: Re:
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
>
> Tant mieux, mais je ne suis pas convaincu que ce soit très important :-)
Ooops. Je veux dire que ce n'est pas important que ça soit Fedora ou autre ou même qu'il utilise Linux ou non. Ce qui compte est qu'il comprenne le modèle du libre, son fonctionnement global, ses bénéfices. Il doit être "sensible" à tout ça et non chercher à appliquer des solutions du monde propriétaire car ça marche dans le monde propriétaire. Évidemment, s'il utilise Fedora (notamment car c'est une distribution orienté communauté du libre) avant même être embauché chez Red Hat, c'est un excellent signe.
[^] # Re: Re:
Posté par GeneralZod . Évalué à 2.
Le fait qu'il utilise Fedora montre qu'il a une connaissance des logiciels libres et qu'il n'est pas totalement déconnecté de la communauté donc pas de remous à prévoir effectivement.
Bref, je suis plus marri par le départ prochain de M. Spevack, ça va être plus dur de lui trouver un successeur à sa hauteur. :)
[^] # Re: Re:
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Fedora est un projet qui ne sera jamais à maturité. C'est un projet qui doit bouger, qui doit toujours promettre plus qu'il ne peut réellement faire. C'est le seul moyen pour en faire un "bouillon" où des idées et des fortes personnalités sortiront.
Quelque soit le leader, il ne peut pas gérer totalement Fedora. C'est impossible. Spevack a fait de formidables avancées mais des points ont été un peu négligé (ceci dit sans critiquer Spevack). Du sang neuf, d'autres compétences, une autre vision, d'autres priorités ne peuvent pas faire de mal à Fedora à priori.
NB : Je ne pousse pas Spevack vers la sortie :-) C'est le "bazard" Fedora qui veut ça.
> ça va être plus dur de lui trouver un successeur à sa hauteur. :)
Fedora trouvera. Ça sera différent.
Saluons Fedora et Spevack pour avoir fait cette annonce très tôt. Le choix d'un nouveau leader ainsi que les nouvelles priorités va se faire sans précipitation et la transition au mieux.
# Traduction
Posté par supergab . Évalué à 2.
On traduit ça par président du conseil d'administration.
C'est quand même pas mal pour quelqu'un qui démissionne.
[^] # Re: Traduction
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Il a clairement indiqué son intention de réduire son implication dans Red Hat pour des raisons personnelles.
> On traduit ça par président du conseil d'administration.
Et ça fait quoi un président du conseil d'administration. Quels sont ses pouvoirs ? Sont-ils stratégiques ou administratifs ?
[^] # Re: Traduction
Posté par GeneralZod . Évalué à 2.
Le président lui a plus un rôle d'arbitrage et décide de l'ordre du jour.
[^] # Re: Traduction
Posté par Psychofox (Mastodon) . Évalué à 2.
veulent pas le virer, et ils décident si les employés auront droit à des stock options, si on doit spliter les actions, le niveau des dividendes pour les actionnaires, etc...
Ils baronnent grave quoi.
# équivalent de Centos
Posté par rewind (Mastodon) . Évalué à 2.
Je vois mal Debian ou Slackware avoir un équivalent de Centos... peut-être parce que ce ne sont pas des distributions commerciales hein.
Sinon, faut ouvrir un peu les yeux, il n'y a pas que Redhat dans le monde Linux, heureusement. Et même si les contributions de Redhat ne sont pas anodines, ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan du libre.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par B16F4RV4RD1N . Évalué à 4.
une distribution qui phagocyte le travail et le prestige d'une autre distribution plus ancienne et plus renommée pour servir son propre business model ?
Ubuntu non ?
Only wimps use tape backup: real men just upload their important stuff on megaupload, and let the rest of the world ~~mirror~~ link to it
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par Camille_B . Évalué à 2.
À ce que je sache il y a de nombreuses distributions qui se fondent entièrement sur Debian. Elles ne phagocytent pas cette prestigieuse distribution ? Oups ! Pardon, j'avais oublié, elles n'ont pas un nombre très conséquent d'utilisateurs, leur honneur est sauf !
De nombreux utilisateurs d'Ubuntu n'auraient sans doute jamais touché à Debian, et n'y toucheront peut-être jamais. Non pas que Debian soit une distribution difficile à installer, mais elle peut faire un peu peur. Il faut penser à installer les drivers pour la webcam, pour la tablette graphite, pour la 3d etc. Pas difficile, mais nombre d'utilisateurs ne veulent pas s'embêter avec ça. Premier avantage.
Le second ce sont bien sûr des logiciels de la branche principale plus récents. Certes on perd un peu en solidité et en propreté, mais cela permet d'avoir une meilleure reconnaissance de son matériel, et un environnement plus moderne (ce qui n'est pas un avantage en soi j'en convient).
Et tout cela repose sur les fondations solides de Debian et sur ses merveilleux outils.
N'est-ce pas au contraire un immense hommage à cette distribution que la popularité d'Ubuntu ? Vous auriez préférés qu'Ubuntu parte de zéro et retire à Debian une base d'utilisateurs potentiels ou, au moins, indirects ?
Bref, Ubuntu ne me pose aucun problème car elle vise à résoudre des besoins qui ne sont pas ceux que résout Debian. Et je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de mal là-dedans.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par B16F4RV4RD1N . Évalué à 2.
Moi ce que je reprocherais avant tout à Ubuntu c'est de ne pas avoir les mêmes paquets et les mêmes versions que Debian (Sid par exemple) et d'avoir modifié la façon dont le compte root fonctionne (même si on peut remettre le mot de passe ensuite).
Sinon pour le support matériel, à part pour rajouter le pilote 3D nvidia à la main, tout le reste fonctionne bien du premier coup sous Debian (tablette graphique, interface midi pour le synthé, imprimante multifonction hp, mp3 etc)
À moins d'utiliser Minix , du matériel packard bell ou du matériel trop récent, je vois pas quelle distribution a un mauvais support du matériel, que cela soit opensuse, mandriva, fedora etc
Only wimps use tape backup: real men just upload their important stuff on megaupload, and let the rest of the world ~~mirror~~ link to it
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par Camille_B . Évalué à 2.
Pour ce qui est du support matériel sous Debian il me semble que pour installer une tablette wacom il faut installer le paquet correspondant, idem pour certains drivers wifi. C'est pas grand chose certes, mais c'est agréable d'avoir une installation quasi-automatique. Par exemple avec la 7.10, si on installe les drivers Epkowa pour Epson, on branche l'imprimante et hop c'est installé, idem pour le scanner. Ce qui est plutôt agréable.
Il est vrai que ma vision de Debian est biaisée, je l'ai toujours uniquement installée qu'avec l'installeur minimal qui pioche sur Internet.
Je ne faisais en tout cas pas ici de comparaison avec les autres distros.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par pw00t . Évalué à 1.
ben si c'est pour redistribuer debian sid, c'est pas la peine de creer une nouvelle distribution non plus... :)
Sinon, pour moi, l'interet d'ubuntu c'est que justement, ils ont choisi a ma place le bureau et les softs installes par defaut et ont une distrib coherente avec ce choix.
Je comprends tout a fait que certains veuillent choisir tres precisement le moindre composant de leur distrib, mais c'est n'est pas le cas de tout le monde, loin de la.
C'est a ceux qui ne veuelnt pas devoir choisir parmi 5 navigateurs web et 6 bureaux que s'adresse ubuntu.
L'autre difference majeure que je vois entre debian et ubuntu, c'est le marketing (au sens noble, pas pejoratif).
Les gars d'ubuntu ont rellement:
1) reflechit a ce qu'attendent leurs clients/utilisateurs
2) communique pour leur faire comprendre qu'ubuntu est la distribution qu'ils veulent mettre dans leur pc.
On pense ce qu'on veut du marketing, mais la meilleure distrib du monde utilisee uniquement par quelques inities, c'est tres dommage tout de meme..
Bref, le difference entre ubuntu et debian n'est pas tant dans la technique que dans ce qui va autour: precisement ce qui manque au monde libre en general.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par IsNotGood . Évalué à 2.
Sans déconner ?
Faut aussi ouvrir les yeux et voir l'importance qu'a Red Hat dans le libre. Vu son activité, son influence et ses contributions, on parle très peu de Red Hat et notamment sur dlfp.
Du Ubuntu ceci et cela alors que leur contribution est ridicule par rapport à Red Hat et qu'ils surfent principalement sur le boulot des autres, on en a des tonnes.
Je ne critique pas Ubuntu. Mais c'est quoi ici où systématiquement on veut cacher Red Hat, faire comme si Red Hat était annodin, systématiquement discrédité Red Hat de ses contributions ?
> Et même si les contributions de Redhat ne sont pas anodines, ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan du libre.
Une goute d'eau ?!?
C'est le plus gros contributeur à Linux (le noyau). C'est souvent autour de 20 % des contributions de Linux. C'est une goute d'eau ?
Idem pour gcc, glibc. C'est un gros contributeur à Gnome où Red Hat est le mainteneur de nombre de paquet.
Lis bien ça :
http://fedoraproject.org/wiki/RedHatContributions
Faut avoir de la merde dans les yeux pour tenir tes propos.
Je veux bien qu'on dise que mon journal en fait trop, qu'il est subjectif, que je suis trop "pasionné", etc....
Mais dire que Red Hat est une goute d'eau il faut vraiment, vraiment avoir de la merde dans les yeux.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par rewind (Mastodon) . Évalué à 2.
http://sourceforge.net/index.php
Registered Projects: 165,234
Registered Users: 1,754,102
http://nongnu.org/
54330 utilisateurs inscrits
2831 projets hébergés
https://gna.org/
9277 utilisateurs inscrits
1109 projets hébergés
Même sur GNA, il y a plus d'utilisateurs que d'employés chez RedHat et à mon avis, le coeur du libre, il est là, pas chez RedHat. Ce qui fait le libre, ce sont tous ces petits utilisateurs qui démarrent leurs projets ou qui participent à un projet existant et qui véhicule à leur manière l'esprit du libre. RedHat là dedans, ce n'est pas grand chose, juste une entité commerciale qui participe à sa manière au libre. Mais après, tu peux bien croire ce que tu veux.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Sur ce point, globalement, je suis entièrement d'accord.
Tes stats sont "gentilles" (je ne mets pas en cause les chiffres), mais il y a contributeur et contributeur. Je suis un contributeur. Mais mes contributions n'ont rien à voir avec les contributions de Alan Cox, Dave Jones, etc... Le nombre n'est pas très significatif. Morton a déjà dit que 98 % de Linux était développé par des employés de société (IBM, Intel, Oracle, Red Hat, etc). 98 % du code de Linux est fait par 10 % des contributeurs.
> RedHat là dedans, ce n'est pas grand chose, juste une entité commerciale qui participe à sa manière au libre.
Ce n'est pas grand chose dans le sens où il n'est pas le centre de gravité. C'est totalement juste.
Ce n'est pas Dieu le père ou le soleil. Mais sa contribution n'est pas une goute d'eau. Red Hat n'est pas le "patron" du libre, mais a une influence significative. Il faut le reconnaitre. Comme Debian tu pourrais dire. Ben oui. Jamais je ne dirais que Debian ou équivalent n'est qu'une goute d'eau.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Et on peut aussi évidemment s'interroger sur l'influence qu'a le libre sur Red Hat. Autant d'un point de vu technologique que méthodologie, management, etc.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par Psychofox (Mastodon) . Évalué à 2.
Je ne crois pas que quiconque essaye de cacher RedHat ici. C'est juste que les "adorateurs" de RedHat comme toi ont une façon assez pénible de s'exprimer. Un peu comme les membres d'une secte quoi.
J'éprouve la même aversion pour les fanboys Apple et Ubuntu qu'on retrouve sur digg par exemple...
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Mouaif...
Je ne promet pas la lune. Je "conseille" hypra rarement Red Hat ou Fedora. Il m'arrive même souvent de dire "Fedora n'est pas la distribution qu'il te faut". Les gens doivent tester et faire leur choix. Je ne masque pas la vérité. Par exemple je ne dis pas que Fedora est sans bug et parfaite pour le desktop. Etc.
Comme fanboy on fait mieux que moi.
> C'est juste que les "adorateurs" de RedHat comme toi ont une façon assez pénible
Le nombre de commentaire désagréable que tu as fait sur moi doit être assez impressionnant. Comme pénible tu sais te poser.
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Et ?
Notes la différence entre Debian et RHEL/Centos. RHEL/Centos c'est supporté au moins 7 ans, il y a stabilité de l'API et l'ABI.
Il ne faut pas comparer directement Debian à RHEL ou Centos. OK.
Il faut comparer avec SLES ou Mandriva CS. Ben il n'y a pas de clones pour ces dernières.
Il y a des clones pour RHEL car Red Hat fait vraiment du libre. Toute l'infrastructure de Fedora est libre (système de build, etc). RHEL utilise les outils de Fedora. Il est quasi trivial pour Centos de cloner RHEL. Mais qui essaie de cloner SLES ? Quasiment personne car c'est trop de boulot.
Dans les distributions commerciales (sauf pour les distributions dérivés de Debian), il n'y a que Red Hat qui met son infrastructure en libre (je crois que Mandriva y vient depuis peu).
[^] # Re: équivalent de Centos
Posté par rewind (Mastodon) . Évalué à 2.
# En passant...
Posté par Ontologia (site web personnel) . Évalué à 2.
Ca laisse rêveur non ?
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: En passant...
Posté par IsNotGood . Évalué à 2.
Sûr ?
En passant toujours, Red Hat emploi beaucoup de monde en Europe, Inde, etc...
Alan Cox qui est sous contrat Red Hat bosse en Europe par exemple.
En passant, une petite vidéo d'Alan Cox dans sa région :
http://www.redhatmagazine.com/2007/12/18/video-alan-cox-and-(...)
C'est un point que Szulik a souvent souligné. Indiquant aussi le haut niveau des développeurs européens. Je ne serais pas étonné que Red Hat ait plus de développeur en Europe qu'aux USA.
Certe la boite est basée aux USA, mais l'argent gagné par les développeurs est dépensé en Europe (ou ailleurs). Comme quoi la mondialisation ce n'est pas le mal absolu.
[^] # Re: En passant...
Posté par Ontologia (site web personnel) . Évalué à 2.
Je n'en disconvient pas. Je pensais plutôt aux bénéfices accordés aux actionnaires :-)
Comme quoi la mondialisation ce n'est pas le mal absolu.
Je ne me sens pas visé :-)
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: En passant...
Posté par IsNotGood . Évalué à 2.
Achetes des actions Red Hat :-)
[^] # Re: En passant...
Posté par Ontologia (site web personnel) . Évalué à 2.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: En passant...
Posté par IsNotGood . Évalué à 1.
Faudrait aussi voir si Red Hat France n'est pas une boite française :-)
Sinon, effectivement j'aurais aimé que Red Hat soit basé en France. Évidemment.
[^] # Re: En passant...
Posté par GeneralZod . Évalué à 2.
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