Jakie Kasperwsky a écrit 96 commentaires

  • [^] # Re: Ha ha ha

    Posté par  . En réponse à la dépêche Disparition de M. Gilles KAHN, Président de l'INRIA, membre de l'Académie des Sciences. Évalué à 7.

    L'INRIA est aussi à l'origine du language OCaml, du middleware ObjectWeb, de tout un certain nombre de soft pour les OS sur cluster.

    Par contre je ne defend pas du tout la volonté de l'INRIA de ne pas vouloir prendre de position sur les brevets, les DRM ou sur les logiciels libres alors que les enjeux pour l'avenir de l'INRIA sont important.
    Ils ont bien crée une licence libre (Cecill : http://www.inria.fr/valorisation/logiciels/Licence.CeCILL-V1(...) mais il n'y pas de règle particulière pour le depôt de brevet. Il exite des projets entièrement financé sur fond public ayant été breveté. Le contribuable a le droit de demander où est le retour sur l'investissement des impôts dans ces cas là.

    L'absence de volonté politique claire concernant l'Internet n'est à mon avis pas un très bon calcul de la part de l'INRIA.

    Les travaux de l'INRIA sont en partie public : http://hal.ccsd.cnrs.fr/view_by_stamp.php?label=INRIA&ac(...)

    Un portail grand public se trouve ici :
    http://interstices.info/display.jsp?id=jalios_5127
  • [^] # Re: C'est bien mais

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les UltraSparc sous GPL. Évalué à 6.

    "il existe une conccurence (Itel,AMD,Via) pour faire baisser les prix".

    Je ne suis pas tout à fait d'accord. La baisse des prix due à la concurrence est assez relative. La concurrence joue surtout sur les performances des processeurs. Pour les processeurs, les coûts de productions sont négligeables par rapport aux coût de lancement (R & D puce et machine + contruction de la ligne de fabrication se compte en effet en milliard de dollars).

    En fait Intel pourrait pouduire des processeurs du genre pentium III à 1 GHz assez peu cher puisque qu'il ont les machines pour ça et qu'ils ont déjà amorti les dépense de R & D. Mais ce serait se tirer une balle dans le pied pour eux puisque beaucoup d'utilisateurs s'en contenterai (C'est la puissance de mon partable qui est tout à fait utilisable). Les fondeurs ont les moyens de le faire mais ils savent tous que leurs concurrents sont dans la même situation. C'est d'ailleurs là un des pbm du projet one Laptop Per Child, AMD fourni des processeurs pas cher pour ce projet mais prends aussi le risque de detruire ce model économique. Intel ne voulait pas prendre ce risque.

    Au cours de mes quelques cours d'électronique, j'ai retenu que la révolution du domaine pouvait venir d'une architecture très standard bon marché avec Linux dessus et un ensemble de briques logiciel compatibles servant à créer tout un ensemble de services. Les livebox, freebox, ... sont peut-être des précurceurs. UltraSparc ou autre on y viendra de toute façon. Il suffit que quelqu'un commence.
  • [^] # Re: C'est bien mais

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les UltraSparc sous GPL. Évalué à 8.

    Je suis tout à faire d'accrods avec toi. Il y a ici un moyen d'avoir un cas d'école pour tous étudiants voulant étudier quelques-chose de pointu et aussi pour les chercheurs de mettre en application leurs théories. C'est une super nouvelle.

    Qui peut construire de telle puce ? Tout le monde et c'est ça qui peut faire des progrès énormes en terme de coût et de recherche en R&D. Si SUN donnait aussi une archi de carte graphique sous licence libre, on peut envisager d'avoir des ordis standards fabriqués par milion et ne coûtant presque rien.
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 3.

    les horreurs qui circulent par ce biais

    En effet on peut penser comme ça en France parce que la liberté d'expression est là. Je ne risque rien en disant que

    "RDDV obéit aux pressions des gros inductriels avec un zèle qui frise la corruption"

    Je dis ça pour exemple et sans preuve mais il y a des pays pas si loin de la France où peut aller en prisons pour propos à l'encontre du gouvernement.
    FreeNet est en effet un moyen d'enfreindre la loi. Mais la loi n'a pas le même sens en France et en Corée du Nord. Et est-on si sûr que ça que la France ne devienne un jour pas un pays totalitaire ? Donc oui je suis pour montrer que FreeNet existe et oui je suis aussi pour expliquer les avantages et les inconvenients de la possibilité d'être anonyme sur la toile. Les inconvenients les plus souvent mit en avant (et notement pas microsoft !!!) sont ceux qui choquent le plus : pédophilie, terrorisme, appel à la haine racial et espèrent que ça empêche les gens de réflechir aussi aux avantages de la liberté d'expression.
  • [^] # Re: Quelles solutions proposer pour préserver le LL?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Débat ouvert autour de DADVSI. Évalué à 5.

    Le debat est oriente de maniere subtile par le gouvernement. Il est oriente de maniere a presenter les dangers du telechargement. La ou je m'oppose a l'eucd.info c'est de jouer le jeux de RDDV en denocant les scandales de la copie prive, le droit a la culture pour tous entre autres. Or le gouvernement trouvera facilement des artistes qui s'oppose au peer to peer, a la copie, etc avec des arguments simples et efficaces. Et ces artistes sont des artises influent sur le grand public (Goldman, Fersen).

    Comme il a deja ete dit plusieurs fois sur ce forum, il est peut etre plus constructif de ne mettre en avant uniqument les dangers des DRM et du flicage d'internet puisque c'est ca le plus important.

    Si on arrive a expliquer simplement sur un tel forum que les DRM 'obligatoires' cassent la concurrence sur les lecteurs multi-media et placent les OS libres dependant de MS & Co sur le marche du grand public. (donc voue a 0.5 % de part de marche). De plus Linux utilise en masse sur les Palms et autres *box peuvent donner lieu a la creation de nouveau marche de services grand public si il est aussi utilise sur les PCs familiaux (reseaux locaux, mobilite ipv6). En realite l'argument du developpement de nouveaux marche est assez simple et on ne peut pas affirmer en tant qu'homme politique "Oui je suis pour que l'internet reste sous le controle de MS en assumant les consequence geo-politique du moment que ca sauve la creativite musicale"
  • [^] # Re: Mandriva Linux Inside

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un e-mag pour Mandriva Linux. Évalué à 3.

    Ils avaient pensé à "Mandriva, think different" mais ça faisait trop Microsoft.
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 4.

    ça a beau être très lent, il faut montrer que ça existe !

    l'argument est qu'avec le flicage d'internet supposé empêcher les terroristes n'empêche en réalité que les terroristes stupides (qui n'utilise ni ssh, ni aucun moyen de cryptage). Mais d'un autre coté il permet d'accumler de grosses quantitiés d'informations sur les populations. Ce n'est pas la question que ce soit suspect ou pas, tant que les gens ont la liberté d'installer ce qu'ils veulent sur leur ordi, ils peuvent échapper au contrôle.

    Bien que cela soit une solution pour éviter le piratage des oeuvres artistiques numérisés, c'est sortir des l'idéaux dans lequel se developpe l'Internet.

    PS : FreeNet utilise un algo de communication similaire et échange les fichiers par peer to peer. C'est surtout à cause du peer to peer et du stockage décentralisé que c'est lent.
  • [^] # Re: Et pratiquement...

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 2.

    Les acteurs de théatre ne sont pas rémunérés par le système des droit d'auteurs. Peut-être plus de concert peuvent suffir à remunérer les artistes. Dans ce cas fini les artistes super riches et les majors font faillite. Mais c'est une évolution possible.

    En fait les solutions se trouveront peut-être d'elles même si on prend le temps de laisser faire les choses. La question est : la qualité de l'offre musical dimine-t-elle forcement avec la gratuité de l'offre musicale ?
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 3.

    Tes bisounours maquillent l'usage d'un cryptage licite, ils ne le rendent pas licite.

    Ce n'est pas la question ! le cryptage est licite. D'où le pbm.

    La question n'est pas de rendre licite quelque chose qui ne l'est pas. La question est qu'il me semble impossible de deviner, par contrôle de flux, l'échange de contenu protégé sauf à contrôler entièrement la chaine numérique. Le contrôle ciblé de ce que font les utilisateurs sur leur ordi peut devenir une atteinte à la vie privé et est de toute façon facilement facilement contournable.

    La loi n'interdirait pas <<d'envoyer 25000 fois de suite le mot "bisounous">>, mais ces 25000 bisounours deviendraient rapidement suspects.

    Suspect seulement ! Il n'est pas simple de prouver que le contenu est illicite. La justice risque de se casser les dents sur ces problèmes de "propriété intellectuelle et Internet"

    Sur un sujet plus large que les DRM. Il y a un fantasme quant au contrôle de l'Internet. Par exemple parmi tant d'autres :

    The Dining Cryptographers Problem:
    Unconditional Sender and Recipient Untraceability


    http://www.cs.cornell.edu/People/egs/herbivore/dcnets.html

    Ce résultat théorique a pour moi des conséquences importantes. Cet algo permet en effet de créer un canal de diffusion d'information anonyme au sein d'un groupe répétant le même protocole (lire le lien ça vaudra mieux :°) ). On peut alors imaginer un logiciel de chat avec lequel il devient impossible de savoir qui a envoyé tel message au serveur même en analysant tout les infos IP.
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 2.

    Et c'est là on peut tout à fait enregistrer ce qui sort de la carte son (Si ce n'est pas bloqué au niveau de l'OS) et le compresser au format ogg. Ensuite plus de droit, plus de DRM et on peut filer le morceau à son voisin qui peut le lire sous Linux. Les OS libres sont donc dans leur ensemble incompatible avec les DRM.

    De plus même avec un Windows(tm) super bloqué de partout on peut toujours brancher la carte son sur sa chaîne Hi-Fi et enregistrer sur des K7 audio. Les bonne vieille cassette d'antant audio qu'on a peut-être jeté trop vite.
  • [^] # Re: Quand?

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 4.

    C'est vrai mais plus on retarde l'échéance plus les choses changent et plus les brevets et autres DRM deviennent difficiles à faire passer. C'est un travail de fourmi c'est sûr.

    En même temps les gouvernements peuvent se permettre de telles loi parce que le nombre d'utilisateurs de Linux est minime et comporte un interêt électoral négligeable (Seulont le gouvernement). Seulement qui se montre en faveur des LL ? Les écoles d'ingé (X, Mines, ENS, Central, ENST, ...) (les moins prestigieuses sont assez souvent orienté Microsoft ???), les universités, les instituts de recherche public, et tout un ensemble de boîtes basé sur les LL (Mandriva, Linagora, Bull...). En réalité cela constitue une population assez importante pouvant tirer partit du développement de Linux en concurrent de MS Windows. (Par contre la politique de FT face aux LL ????????).

    Je pense aussi qu'il est intéressant de se focaliser sur les dangers que représentent les DRM pour les logiciels libres. Et là il y a un argumentaire claire sur les avantages des LL :

    1) Indépendance face aux fournisseurs
    2) Sécurité des systèmes
    3) Création d'acteurs économiques locaux pour la création de solutions informatiques customisés. (Des vrais gens qui viennent donner des vrais explications et qui font un vrai travail de service)

    Entre autres, ...

    Et si les principaux acteurs cité plus haut se décident de se mettre d'accord sur leur vision des choses, une telle loi n'a aucune chance de passer.
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 4.

    Si on pousse le raisonnement au bout, dès lors qu'il reste la possibilité entre deux personnes d'échanger de l'information, il y a possibilité de créer des canaux caché échappant à tout contrôle.

    On peut en effet convertir un fichier binaire (i.e. utilisant l'alphabet {0 , 1}) avec un autre alphabet {bisounours, porcinet} en le cryptant au passage avec des algos classiques de cryptographie. Ensuite on envoie le fichier sous forme de suite des mots "bisounours" et "porcinet" sur un réseau entièrement sous écoute. A moins qu'ils ne soit écrit quelque part dans la loi qu'il est interdit d'envoyer 25000 fois de suite le mot "bisounous", on peut ainsi échapper à tout contrôle et faire passer un document potentiellement interdit à l'échange.

    C'est un exemple simple qui peut servir à expliquer que les DRM peuvent n'avoir qu'une porté limité et temporaire pour résoudre le piratage des fichiers soumis à la propriété intellectuelle. Seulement elle peut avoir des effets non limité et non temporaire sur le développement des LL et notement sur le marché des LL sur lequel la France a un potentiel très fort.

    La loi peut-être se résumer ainsi : Le contrôle ciblé sur internet (i.e. fichier musicaux mais pas bulletin de santé) est quasi impossible à mettre en place mais peut avoir des conséquences culturelles et économiques assez néfastes pour un pays qui a besoin de trouver de nouveaux marchés. Sans forcément prendre parti contre les DRM, il faut surtout prendre le temps du débat puisque les solutions sont loin d'être évidentes.
  • [^] # Re: utilisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : c'est reparti. Évalué à 10.

    Je pense que le gouvernement en lui même doit subir le forcing des lobbies pour qui les LL sont une cible secondaire mais qui doit aussi être traîté. Par nature les Logiciels libres s'opposent à toute mesure permettant de contrôler ce que font les internautes.

    Seulement la dialectique du projet de loi s'appuie en autre sur le fait que peu de gens ont conscience des effets secondaires néfastes du contrôle de l'internet. Microsoft a diffusé l'été dernier aux parlementaires les risques de la libéralisation d'internet face au térrorisme et à la pédophilie pour justement diminuer l'espace de réfléxion sur le sujet du non-contrôle qui pourrait être vue comme une acceptation des ces problèmes.

    Le problème vient principalement de la technicité du problème. Et là dessus je ne suis pas d'accord avec le monde de la recherche qui n'affirme pas plus clairement que les DRM sont une menace pour la sécurité des systèmes, en créant d'une part une uniformisation des solutions logiciels facilitant les attaques de type virus et chevaux de troie, et d'autre part un concentration quantité importante d'information sur les usagers; ce qui se vend très très cher. En expliquant dans mon entourage les danger d'une telle loi, personne ne comprends vraiment que, potentiellement, l'open source et la libreté sur internet guarantie mieux la sécurité et la confidentialité que des logiciels fermés et des DRM. Les gens sont souvent convaincus du contraire.

    Le fait est que, bien qu'étant chercheur en informatique sur le domaine de la sécurité, peu de gens essaye vraiment de comprendre mon point de vue. Il y a un énorme travail didactique à fournir pour instaurer un débat constructif et la tâche n'est vraiment pas facile.
  • [^] # Re: Suppression

    Posté par  . En réponse à la dépêche l'UE lance une consultation sur les brevets. Évalué à 3.

    Je suis d'accord sur le fait que la recherche d'antécedant soit gratuite. C'est à mon avis un service public évident. (En vrai j'imagine que ça l'est déjà ou alors je ne comprends pas)

    Le problème est que les brevets marchaient sans trop de pbm avant l'avènement de l'informatique. Poser des brevets sur un objet en forme de lune qui permet de poser des bouteilles dans un équilibre rigolo peut avoir un sens puisque ça permet de créer un marché de R&D dans un domaine où il y en a peu. Mais en informatique le problème est différent. Il pousser la population dans sont ensemble à regarder les choses en face. Internet est une remise en question profonde du droit d'auteurs ou de tout concept permettant d'avoir un contrôle sur la diffusion de l'information et du savoir. De plus il faut comprendre la notion d'immateriel, d'infiniment reproductible et de voir qu'il est sans doute illusoire de vouloir appliquer aux systèmes d'informations le cadre juridique déjà existant comme les brevets.

    Poser un brevet sur le mp3 revient, si on pousse un peu les choses, à poser un brevet sur une mise en place particulière d'algos de compressions dont la plupart ont été bien antérieurs au mp3 lui-même (J. Fourier 1768-1830). L'informatique évolue et les languages de programmation se rapprochent de plus en plus du language mathématique. Il apparaît alors de plus en plus évident que breveter un logiciel issue d'un effort de recherche public, par exemple, et dont les rapports sont gratuitement accessibles de partout dans le monde contredit la notion de recherche. Il n'a pas été dans l'histoire question de brevet sur certain resultats mathématiques (je n'ai pas trouvé de lien là dessus) mais comme on peut les retrouver indépendament rien n'a marché.

    Bien qu'utile pour la diffusion de la culture, la notion de propriété intelectuelle (et par suite de brevet) est, à mon avis, profondement remise en cause par l'Internet
    complètement libre comme le rêve les scientifiques ?

    C'est pour moi un des débats les plus importants du moment et qui revient toujours (brevet, DRM, LL, ...) à la même question : A quoi veut-on que l'internet de demain ressemble ! Et ceci sachant que technologiquement on ne peut pas tout avoir. On peut pas voter tranquillement sur Internet et en même temps avoir une agence d'état qui verifie si les gens on des photos pédophiles sur leurs ordis. Il doit y avoir un vrai débat public sur Internet pour les gens s'y intéresse. On a bien vu l'importance d'internet comme media d'information sur l'affaire DADVSI alors que la presse traditionelle n'en parle pas (plus maintenant qu'au mois de décembre). Le problème actuel est que bcp de gens sont pas du tout au courant alors que c'est aujourd'hui par leurs choix de consomateurs qu'il peuvent choisir l'Internet de demain. Après tout, si tout le monde préfère, avec une bonne connaissance du pbm, avoir windows avec des DRM partouts et quelques multinationales qui contrôlent le monde, c'est arpès tout un choix démocratique et respectable.
  • [^] # Re: Constance de la commission

    Posté par  . En réponse à la dépêche l'UE lance une consultation sur les brevets. Évalué à 3.

    quelque chose qui a nécessité de la recherche, par exemple un nouveau format de compression vidéo magique super efficaces est ce vraiment anormal de demander un retour sur investissement ?

    C'est vrai en théorie mais pas en pratique. Dans la vrai vie un tel format vidéo utilisera tout un ensemble d'algorithme dont certain seront issue de la recherche public et seront resté sous forme papier. Ce qui sera breveté c'est l'assemblage et le codage des ces algos. Si on considère que les maths ne sont pas brevetable, les brevets de traitement d'image n'ont pas trop de sens. A priori écrire les mêmes algos dans unlangagee différentn'enfreintt pas le copyright. Donc que peut-il être breveté sur un programme ? Et comment résoudre le problème du retour sur investissement. Le brevet à pour but originel de favoriser la diffusion d'un procédé puisque l'inventeur n'a pasintérêtt à le garder pour lui. Seulement le brevet a l'effet inverse en info. Alors que la recherche s'oriente de plus en plussérieusementt vers les composants logiciels, où sont les brevets làdedanst. (0.01 centime par librairie et un système linux devient hors de prix) L'informatique aurai très bien resté une branche des maths applis si personne n'avait commencé a breveter du logiciel. Je recherche d'urgence des argumentsexpliquantt que les brevets logiciels font avancer les choses ! Je n'arrive pas à voir les brevets autrement que les taxes sur les droits de passage au moyen âge.
  • [^] # Re: Constance de la commission

    Posté par  . En réponse à la dépêche l'UE lance une consultation sur les brevets. Évalué à 1.

    J'ai quand même du mal à croire que les membres de la commission arrivent, après une reflexion pleine de bonne foi, à être aussi sûr d'eux sur un problème qui n'a aucun antécédent et dont les enjeux pour l'avenir économique sont aussi important. Ils ne sont pas responsable du non au référendum puisque qu'il y a à mon avis presque autant de raisons différentes que de vote négatifs. Seulement ils en ont caractéristique. L'Europe ne marche pas puisque qu'elle n'est constitué d'états membres qui ne veulent que les bon cotés et refusent catégoriquement tout sacrifice (France et GB en tête). Ce qui crée un débat conflictuel non constructif. La commission refuse au maximum qu'il y ai débat sur la question (idem DADSVI) et pour ça il n'y a pas 40 explications : 1) Soit ils se considèrent super clairvoyants mais ont, pas de bol, du mal à mettre en avant des arguments qui satisafassent l'Europe d'en bas; 2) soit ils sont sous pressions.
    Au font l'Europe dans sont ensemble devra faire un certain nombre de choix concernant l'Internet et les systèmes d'information en général : (Brevets, DRM, interopérabilité, ...). Quels que ces choix, ils sacrifiront une part de l'économie, en favoriseront une aumodifierontifiront les modes de vie. De plus l'Europe influence de plus en plus l'Amérique du sud et certains pays emergants. J'ai quand même du mal à croire que les grosses multinationales laissent leur modèle économique être remis en question sans rien faire. En tout cas si Microsoft par exemple ne fait rien pour poussdécisionscisions c'est vraiment des imbéciles !
  • [^] # Re: Universités ? Labo de recherche ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Skype intégré dans Mandriva 2006. Évalué à 3.

    En plus les universités et autres instituts public (qui par ailleurs utilise principalement debian ou fedora) n'installe pas à partir des CD d'installations mais avec le Réseau sur la base d'image préconfiguré avec les points de montages NFS et SAMBA qui vont bien, les client LDAP configurés ... Donc en gros ils s'en moquent.

    Par contre bien que moyennement entousiaste pour Skype je vois ça comme une bonne chose tout simplement parce que ça augmente la diversité de l'offre.
  • [^] # Re: tax et raquet

    Posté par  . En réponse à la dépêche Journée détaxe 2005 - Communiqué de Presse et actions. Évalué à 4.

    L'Etat est le seul responsable dans ce cas. Je ne vois pas comment on peu accuser
    Microsoft de passer des accords avec les constructueurs pour qu'il vendent du materiel avec Windows préinstallé. Même si on peu remettre en cause l'approche philantropique de Microsoft, c'est la loi du marché, rien de plus. Il est plutôt négatif à mon sens de faire de l'information en critiquant Microsoft. Il faut expliquer que personne ne tolérerai qu'aucun supermarché ne vende du café équitable parce que tout les supermarchés sont de mêche avec Maxwell. Même les fans de Maxwell seront choqué d'un truc comme ça.
  • # Question de modèle économique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Migrations vers l'open source: pourquoi se taire ?. Évalué à 1.

    Quand Microsoft disent que les developpeurs de logiciels libre sont les communistes des temps modernes, ils se font en fait une publicité à l'encontre de leur défenseurs. Un état du marché 50 % des pcs utilisent des OS libres il ne faut que quelques années pour que cela tourne à 99 % d'OS libre et se joue alors une autre compétition acharné où la concurrence se joue sur les connaissances et sur la capacité à suivre les évolutions technologique. Un marché du savoir où les chinois, les indiens, les africains et les sud-américains prennent part entière à l'economie. Et ça fait réellement peur à beaucoup de gens.

    Pour ça Micrsoft a récement changé son approche et joue sur la peur du libre, peur de ne pas pouvoir s'en servir, peur de ne pas avoir les services associé. La peur d'une remise en cause des dominances actuelles est en réalité un des atouts de microsoft. La firme de Redmond a récement fait publicité contre Linux sur les CD pirates, l'insecurité et le terrorisme. Le monopole "comuniste" de microsoft rassure beaucoup plus que ne le pense les adeptes du libre. Sinon comment expliquer que les gens utilisent beaucoup plus facilement OpenOffice.org quand on leur dit que c'est la nouvelle version de MS Office.
  • [^] # Re: nan rien...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Réactions au site pecephobie.be. Évalué à 4.

    rien n'empeche un composant de ne pas etre à code source ouvert, tant que son interface est fournie

    Ce serai bien mais c'est pas vrai dans la réalité. Certaines propriétés de sécurité ne sont pas conservées par composition. Sans rentrer dans les détails, on peux créer des canaux de communication "caché" en assemblants composants qui analysés seuls sont sécurisés. Donc en fait il faut faire attention en composant et la connaissance de l'interface seule marche pour les propriétés fonctionnelles mais pas pour les propriétés de sécurité. Il ne faut pas forcément connaître tout le code, mais si on ne connaît pas ce qu'on connaît pas, on ne peux pas être sûr à 100 % que la composition est encore fiable.

    Cela suppose que l'attaquant connaisse bien le fonctionnement interne des composants et là encore on ne peux pas vraiment tout cacher non plus. Il y a toujours moyen de faire du reverse ingeneering qui permettrai au createur de virus d'avoir suffisament d'info pour trouver une faille.

    De plus, créer un génrateur d'attaques est interdit pour un logiciel proprio et pas
    pour un logiciel open source. Ce qui fait que les failles de logiciels Windows
    ont bien des chances de n'être connues que par les createurs anonymes de virus
    et pas par des spécialistes du domaine.
  • [^] # Re: nan rien...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Réactions au site pecephobie.be. Évalué à 4.

    Au niveau de la recherche, des methodes pour analyser le code et trouver des défaillances existent. Mais c'est un domaine encore jeune et qui bute naturellement sur l'explosion des combinaisons à tester. C'est impossible à faire sur un logiciel come firefox par exemple. Mais par contre, l'approche contruction d'application par assemblage composants logiciel qui eux sont fiables et securisés est une approche réellement prometeuse. Et dans ce cas il est complétement inconcevable que chacun des composants ne soient pas à code source ouvert.