« Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office - et certainement pas vos "licences libres" . [...] Nous vous demandons de cesser de contacter nos artistes via notre site Web pour les solliciter au sujet de vos produits et services . »
L'article 01
http://www.01net.com/article/215058.html(...)
Les commentaires de L.Lessig
http://www.lessig.org/blog/archives/001410.shtml(...)
# Re: Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par Xavier CAMIER . Évalué à 4.
Au esprits chagrins: je sais que je me suis un peu éloigné du sujet initial :-)
[^] # Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par Lee Nux . Évalué à 3.
J'emmerde les majors... j'ai moins de moyen qu'eux, mais je suis plus libre qu'eux. Et un big fuck à ces bouffeurs de fric. Patientons un peu et regardons les crever à petit feu.
(Désolé, c pas mon genre, mais je m'emporte en lisant la réponse du mec de Vivendi Universal).
La sortie ? C'est par là --> []
[^] # Re: Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par astennu . Évalué à 1.
[^] # Re: Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par Larry Cow . Évalué à 3.
[^] # Re: Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par astennu . Évalué à 1.
[^] # Rien ne remplace les protections légales fournies par l'enregistrement au Copyright Office..
Posté par Lee Nux . Évalué à 4.
Effectivement, ce n'est pas gagné.
Mais au train où vont les choses, les maisons de disques produisent de plus en plus de disques afin d'augmenter leurs ventes et leurs chiffres (les marchés boursiers aiment les augmentations de chiffres (affaires, bénéfices, ....) mais pas la stabilité... le déclin, on le comprend, ils le détestent).
Afin de pouvoir sortir de plus en plus de disques, il est nécessaire de "trouver des nouveaux talents". Tu as ainsi les Star Acc', PopStars, DJ Bobo, des tonnes de flops^H^H^H^H^Hcomédies musicales, ... Tous ces artistes ont un point commun : l'éphèmère.
On en parle aujourd'hui, mais demain ils seront oubliés... sauf dans les comptes des producteurs qui ont baisés eux à la fois les chanteurs (avec des contrats en béton... pour le producteur) et les clients (avec des prix en or... pour le producteur).
Cependant, je pense (et j'espère très fortement) que le marché (c-à-d nous, consommateurs) commence à se lasser à entendre les quasi-même musiques avec des paroles (je ne dis pas texte, cela dénigrerait les véritables textes !) différentes pour laisser croire à une nouvelle chanson, musiques rabachées à longueur de journée sur radio NRV... La clientèle se réduit et se concentre sur les ados... Mais ce marché n'est pas assez grand pour continuer à se dévelloper.
D'autre part, les artistes (les vrais, qui ont ce "don") sont en général opposé au système économique tel qu'il est dans le milieu du "show biz". Ils demandent simplement à pouvoir manger-boire et dormir, avoir le temps de créer (et non pas de pomper). Une license musicale libre peut permettre d'aller dans cette vision. Tout le monde peut entendre librement leur musique, mais si une boite veut l'utiliser à des fins marketings (p.ex.), alors, c'est un salaire d'une année qui tombe.
L'émergence de ces deux milieux (lassitude des consommateurs de la musique commerciale dont on les gave à longueur de journée; démarche artistique et non plus "fric") pourrait changer la donne du milieu musical ces prochaines années.
Les maisons de disque auraient du souci à se faire, surtout si les chanteurs qui sont sous contrat actuellement se rébellent parce que malgré le fric qu'ils peuvent amasser, les contrats sont rarement en leur faveur. Je ne parle pas de la SACEM, cette dernière risque sérieusement de se faire des cheveux blancs à l'avenir. Les petits auteurs et compositeurs n'ont plus d'intérêts à appartenir à la SACEM, les auteurs et compositeurs du libre, encore moins, la SACEM étant incompatible avec le modèle libre. Les affiliés de la SACEM seront donc les gros pondeurs (Obispo, Goldman, ...) et quelques artistes mal conseillés.
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