mururoa69 a écrit 287 commentaires

Quel est le rapport entre le lobbying à l'américaine et les francs-maçons ?

Remplacer "standalone" par "JBOD".
Remplacer "hot swap" par "warm swap" vu qu'il faut une intervention humaine pour le remplacement.
Le Raid 1 a 2x la capacité unitaire, non valide.
Le Raid 5 à 3x la capacité unitaire, non valide.

Comment ça je pinaille ?!

Elle est dedicacée par qui ta machine ?

Ubuntu + EasyUbuntu ça devrait le faire pour faire tout traitemement multimédia y-compris lecture DVD / divx / wmv.

Si c'est pour avoir un systeme sécurisé pour ne faire tourner QUE proftpd je conseillerais de ne pas installer debian mais openBSD qui est par nature sécurisé et qui dispose d'un port ( équivalent package ) de proftpd.
Ce choix est simple. Pour avoir un systeme securisé avec une debian il faut installer debian en version server et ensuite faire un gros boulot de securisation. Pour avoir un systeme securisé avec openBSD il suffit d'installer openBSD, de répondre à 3 questions et c'est fini. Tout simplement parce que la securité et la simplicité sont les fondements d'openBSD alors que debian se veut polyvalent et universel.
Concernant proftpd c'est un bon choix et que ce soit sous debian ou openBSD la configuration sera exactement la même.

Pour faire simple : L'opération assurant l'atomicité d'une transaction n'a pas besoin d'être elle-même atomique (car elle ne fait pas partie implicite de la transaction).

Et si justement, c'est ce que tu n'arrives pas à comprendre. Tu ne peux pas dérouler le nombre d'instructions que tu veux jusqu'à avoir bloqué les interruptions du système et ensuite dérouler ta tâche sans aller droit dans le mur.
Et je ne confond rien, c'est toi qui ne comprend pas le mécanisme necessaire à la pose d'un lock. Cette opération doit absolument se faire de façon non interruptible par une autre tâche du système donc de façon atomique. Non interruptible ET extremement bref pour ne pas perturber le fonctionnement du système dans son ensemble. Le test ET le set. Sous peine de voir 2 tâches poser un lock simultanément et ensuite continuer leur fonctionnement en tenant pour acquis qu'elles sont propriétaires du lock pendant le temps que se déroulent les opérations suivant la pose du lock jusqu'à sa desactivation.
Il faut que le noyau ou des tâches plus prioritaires puissent interrompre une tâche ayant posé un lock sous peine de graves problèmes de non prise en compte d'évenements, voire de gel du système tout entier si la tâche ayant posé un lock boucle.
De plus c'est incohérent de bloquer toutes les interruptions juste pour avoir un pseudo-lock. De mémoire seulement windows 3.11 faisait une énormité comme ça.
C'est des concepts de base des systèmes temps-réel qui te paraîtraient évidents si les avais un peu pratiqué.
Pour en revenir au sujet du post. Il faut que ce mécanisme soit possible pour faire fonctionner linux. On ne peut pas faire fonctionner de système multi-tâche ,même non temps-réel, sans un moyen valide de poser des locks.

Rajoutons les fichiers avec des espaces :

find . \( -name "*.htm" -o -name "*.html" \) -type f | awk '{ print "\"" $0 "\"" }' | xargs tar zcvf truc.tar.gz

Une interruption peut avoir lieu pendant que tu récupères l'état du port, se dérouler normalement et te rendre la main pour que tu modifies le bit qui t'intéresse et mette le port à jour. L'atomicité de l'exécution débute au moment où la ligne est mise à l'état adéquat. C'est d'ailleurs le principe de toute transaction.

Si tu peux être interrompu entre le test et le set potentiellement tu peux l'être par une autre tàche qui fait la même chose que la première et ensuite les deux tâches se déroulent en pensant être la seule à avoir posé un lock.
Le fait de rajouter un transistor ne change rien à l'affaire.
Non ?

La mandriva vient avec son lot de documentation.
Il ne te reste plus qu'à rechercher dedans la réponse à tes questions basiques comme "comment installer make ou un autre paquet RPM" ou peut-être tout simplement "Qu'est-ce que make, à quoi sert-il" ou "Qu'est-ce qu'un paquet RPM".

T'es sûr qu'il y a rsync sur Irix par défaut ?
Moi je ne suis pas sûr du tout. Sous Solaris et Tru64 pas de rsync par défaut.

Pour 100 ¤ je te l'écris.
Et sinon il va falloir te retrousser un peu les manches, te sortir les doigts d'où ils sont et bosser un peu.

Compiler un .tar.gz sur une distribution à base RPM avec son cortege de dependances et de spécificités je ne dirais qu'une chose : bonne chance !
S'assurer au minimum que tu as bien tous les outils nécessaires pour compiler du code source à commencer par gcc et make.

A vue de nez, sans l'avoir déjà fait, je dirais moins complexe vu le nombre restreint de matériels qui peuvent se trouver sur une station Sun.

> Uninstalling NVIDIA Accelerated Graphics Driver for Linux-x86 (1.0-8756):
-> done.
-> Uninstallation of existing driver: NVIDIA Accelerated Graphics Driver for
Linux-x86 (1.0-8756) is complete.
-> Installing 'NVIDIA Accelerated Graphics Driver for Linux-x86' (1.0-8756):

Visiblement tu patauges en reinstallant les mêmes versions de driver en esperant que ça se mette à marcher.
Si l'astuce de Yann ne donne rien verifie que le module nvidia chargé en mémoire est bien le module nvidia que tu viens de compiler. Normalement le script nvidia le fait mais bon.
J'ai eu ce problème une fois. Ca marchait juste après l'installation et ça foirait à chaque fois après un reboot parce que ce n'était pas le bon module chargé par defaut. T'as bien viré tous les paquets nvidia avant d'installer le binaire qui se contrefout des paquets debian ?
En regle générale : "if it's not broken, dont try to fix it !"

Stop+a se traduit par Stop+q dans nos contrées azertyfiées.
Tu disposes de Solaris 5 mais tu peux aussi disposer pour le prix de 2 ou 3 CD de Solaris 10 version Sparc.
J'ai un collegue qui vient d'installer Debian sur Sparc sans me poser la moindre question sur la debian donc ça ne doit pas être trop dur à faire.

Supporter », ce n'est pas du jargon, c'est une faute de français, et c'est également très laid.

Je maintiens que c'est du jargon. Le jour ou les articles concernant l'informatique seront écrits en bon français sans aucun jargon, fais moi signe.

Pour la taille mémoire, si tu relis mon commentaire, tu t'apercevras que c'est mon argument principal. Pour la manière dont elle est agencée, c'est au compilateur C de s'en accomoder.

Effectivement, que le MMU soit intégré ou pas, ne pouvoir adresser que 64 Ko de mémoire en continu est problématique pour linux.

Pour TAS, cette fonction n'existe pas en une seule instruction sur i386. D'une manière générale, si tu as besoin d'effectuer une opération atomique, tu vires les interruptions, tu fais ton travail et tu les réactives

Oui l'instruction TAS n'exite pas sur x86 mais il y a une astuce qui permet de la simuler. Quand tu dis "tu vires les inerruptions" il faut quand même qu'il y ait un moyen de le faire de façon non-interruptible sinon le serpent se mors la queue et tu limites juste les risques.
S'il n'existe aucune architecture CPU 8 bits qui soit supportée ( ça va, pas trop mal ? ) sous linux il doit bien y avoir des raisons propres aux CPU 8 bits non ?
Si OS/9 a tourné/tourne sur le Z80 et pas linux ça prouve effectivement qu'on peut faire tourner un système, de plus temp-réel, sur un Z80 mais qu'il y a d'autres éléments requis pour pouvoir faire tourner linux qui ne sont pas réunis sur un Z80, même secondé par un ou plusieurs dispositifs externes.

Arf, battu et en plus élegant ... mais quand même des précisions :

- mettre l'option p au tar pour conserver les propriétés
- pas d'options j ou z sur Irix; c'est pas du linux
- ma solution prend les .htm ET les .html

Il ne te reste plus qu'à faire un mix et tu aura une solution efficace et élegante.

On peut surement optimiser mais déjà ça va faire le job :

# find . \( -name "*.htm" -o -name "*.html" \) -type f -print > /tmp/liste
# tar cvpf /tmp/site.tar `cat /tmp/liste`
# gzip site.tar

Tu peux rajouter autant de -o -name que tu veux ( *.php par exemple ).

Supporter est du jargon informatique. C'est marrant, supporter te gêne et pas CPU ...
C'est bien au CPU qu'il manque des fonctionalités. Même si la quasi-totalité du système est écrite en C, au final c'est bien en assembleur que les instructions sont traduites et il faut donc que le CPU supporte des fonctions essentielles comme, par exemple, un équivalent de l'instruction TAS ( Test And Set ) pour pouvoir implementer des mecanismes de lock, integre un MMU et aît pas mal d'autres fonctionalités comme la possibilité d'adresser une taille mémoire suffisante pour au moins pouvoir booter le kernel.

Non il n'y a aucune distribution linux pour Z80.
A mon avis il doit manquer pas mal de fonctionalités au CPU pour pouvoir supporter linux
Et pire que ça, il n'y a pas, non plus, de distribution netBSD et netBSD est réputé pour être le systeme d'exploitation disponible sur le plus grand nombre de plateformes matérielles. ( http://www.netbsd.org/Ports/#ports-by-cpu )
Le mieux est de chercher sur des sites spécialisés CPC pour voir ce qu'il peut y avoir de disponible en dehors du système d'origine.

1 - marche pas
2 - ne marche pas non plus
3 - rien à signaler
4 - j'ai peur de flinguer mon port AGP avec la voodoo 3 ( voltage )
5 - les performances vont être castrophiques et plus de 3d

6 - j'ai mis à jour mon bios pour supporter le duron 1.8 GHz ---> ça ne change rien

Bilan : j'ai reinstallé edubuntu et ça marche bien avec les drivers nvidia fourni par la distribution.
Donc j'ai toujours pas compris le problème mais maintenant tout marche.

Ca commence à me gaver linux. Si je n'avais pas eu besoin des applications qui sont sur la edubuntu je serais passé à freeBSD ...

J'ai pas eu le temps de tester !

Par contre j'ai vérifié la version de mon bios et apparemment mon CPU ( duron 1800 ) n'est pas supporté avec la version du bios que j'utilise donc je vais faire ça en premier.

Pour le 5, nv est compatible avec les Geforce FX ?

Ca ressemble à un kernel qui n'est pas compilé pour supporter le filesystem que tu utilises sur la partition de boot ou sur /.
Par exemple ça ferait ça si tu installais un kernel non compatible reiserfs pour booter sur une partition reiserfs.

Sans entrer dans la polemique anti-gnome ( go linus go ! ) faut dire quand même que c'est contraignant.
C'est souvent plus pratique de passer en root et faire shutdown -h now.
Sinon mettre un racourçi sur le bureau qui le fait ça t'evitera de rentrer le password root à chaque arret machine. Je connais pas la fedora pour te dire comment parametrer ton racourçi ( suid, sudo ) pour pouvoir le lancer avec un utilisateur lambda qui ne peut pas faire de shutdown par defaut mais il y aura bien une bonne ame pour te tuyauter.

Je vais essayer tes suggestions 1 et 2 déja.
Pour la 3 une fois que c'est figé pas moyen de rien taper.
Pour la 4 je suis moyennement chaud mais si il n'y a que ça à faire ...

Par contre quand tu dis Ctl+alt+sys+K qu'est-ce que tu appelles la touche sys ? C'est la touche print screen/sys rq à coté de scroll lock ?

Passe en clavier US/international pour les accents.
Comme ça t'as les bénéfices du querty ET les accents pour taper du texte en français. Pour mettre les accents tu tapes l'accent et apres la touche genre ' puis e ça te donne é. Ca te force à entrer les accents puis espace pour mettre " par exemple mais ça deviens vite une habitude et puis tu peux toujours basculer US-intl vers US-US et revenir.