Trenien a écrit 8 commentaires

  • [^] # Re: Très bien

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle version de MapOSMatic, le service Web de rendu de cartes de ville. Évalué à 1.

    Au fait, je parlais pour les livrets multi-pages, bien évidemment.

  • # Très bien

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle version de MapOSMatic, le service Web de rendu de cartes de ville. Évalué à 1.

    Site vraiment excellent !

    Par contre, il serait bien de pouvoir choisir l'échelle d'affichage (où alors je n'ai pas compris comment).

  • [^] # Re: L'anglais n'est pas la seule langue mise en avant par « nos dirigeants »

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 1.

    La première raison pour laquelle le français est à l'OU est qu'il s'agissait de la langue diplomatique par excellence jusqu'à la deuxième guerre mondiale (langue des "élites").
    C'est d'ailleurs pour ça que l'espéranto n'a pas décollé : la proposition avait été faite à la société des nations d'en faire la langue officielle, mais la France y a mit son véto.

  • [^] # Re: Anglais ou autre, une réelle différence?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 4.

    Les chinoix étaient (sont toujours ?) très intéressés par l'espéranto. Il font de l'anglais par nécessité, mais si une structure internationale importante (au hasard, l'Europe) en faisait une langue officiele, il ne faudrait pas longtemps pour qu'il y ait un nombre considérable de locuteurs chinoix.

    L'anglais comme langue majeure de l'Europe est une construction artificielle : au point que des statistiques officielles truandent avec les chiffres pour dire que l'anglais est la deuxième langue de l'Europe (ce qui est faux, c'est le français).

  • [^] # Re: Anglais ou autre, une réelle différence?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 4.

    Euh, arguer que parler anglais comme langue étrangère est plus facile que parler français est très difficilement défendable (et je suis prof d'anglais). Il s'agit vraiment d'une impression due à l'environnement.

  • [^] # Re: Anglais ou autre, une réelle différence?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 1.

    Pour ce qui est du coût des bouquins, ceux de collège/lycée (de très loin les "organismes" avec le plus d'élèves en langues) sont changés tous les 3-4 ans, donc ça ne changerait pas grand chose.

  • [^] # Re: Esperanto…

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 9.

    Je suis prof d'anglais, et à ce titre assez bien placé pour voir à quel point l'anglais est difficile à apprendre : à l'issue du lycée, un élève aura eu plus de 750 heures de cours d'anglais (et ce sont des adolescents pour qui apprendre une langue est assez facile). Les objectifs officiels de l'Educ' Nat' sont d'atteindre le niveau B2 (c'est à dire un locuteur indépendant avancé, capable de converser sur à peu près tous les sujets, même s'il peut avoir des problèmes de vocabulaire et sur certaines formes).

    C'est très loin d'être le cas (et ce, malgré des méthodes d'enseignements qui ont beaucoup évoluées). Honnêtement, l'enseignement de l'anglais est un gouffre en France (entre autre parce qu'il s'agit d'une langue qui, au delà de la cosmétique d'une partie du vocabulaire, est relativement éloignée du français). Et non, il n'est pas vraiment possible de l'apprendre comme un jeu : il n'y a pas suffisamment de cohérence à la langue pour ça.

    Je n'ai pas encore eu le temps de commencer à l'apprendre, mais tout ce que j'ai entendu de l'espéranto est qu'on atteint le niveau susnommé en environ 200 heures d'apprentissage (pour des adultes).

  • [^] # Re: Nazi ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Jusqu'où s'arrêtera Linus Torvalds ?. Évalué à 7.

    Alors pour ceux qui l'ignorent, l'utilisation du terme "quelque chose nazi" dans ce genre de circonstances provient originellement d'un épisode de la série Seinfield dans lequel une petite boutique de vente de soupe (genre kioske à sandwichs) est tenu par un extrémiste de la soupe. Celles qu'il fait sont excellentes, mais si vous avez le malheur de lui déplaire pour une raison quelconque (en rapport avec avec la soupe et le respect qui est dû à ce pinacle culinaire), il vous renvoi dans les roses avec pertes et fracas ("That's it! No soup for you!").

    L'un des personages utilise le terme de "soup nazi" pour définir l'irascible. C'est resté dans le vocabulaire des geeks.