Alexis Muller a écrit 93 commentaires

  • # Conseil consitutionnel ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cachez ce lien que je ne saurais voir : contre-offensive. Évalué à 4.

    Il me semble qu'il y a pas (plus ?) de problème avec les liens vers le site du conseil constitutionnel.

    Extrait de leur site :

    L'établissement de liens hypertextes est autorisé, à condition de mentionner leur source et sous réserve des droits attachés aux images et illustrations proposées.

    Un lien vers la page en question ;)

    http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionne(...)
  • [^] # Re: illusions de la traduction

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 1.

    Antoine a raison de dire que UML sera peut être dépassé un jour et que dans ce cas on pourrait se retrouver dans le même cas qu'avec un langage devenu désuet.

    Oui, je ne dit absolument pas que UML est le parfait langage de modélisation,
    je ne le pense même pas. C'était juste une précision sur l'état actuel des
    choses.

    C'est d'ailleurs une des principales raisons d'être de la notion de méta-modèle.
    Ainsi, un modèle réalisé en UML peut facilement être transformé en un autre formalisme, sans pour autant perdre le sens de ce qui a été modélisé.


    C'est ce que je veux faire comprendre à Antoine. Le but est de capitaliser la
    connaissance, peut importe le langage et modélisation utilisé.

    Ca ne pouvait fonctionner avec les langages de programmation, parce-que le code
    prend en compte beaucoup de préoccupation technique et fait "disparaître" une
    grande partie de la connaissance qui reste dans la tête du programmeur.

    C'est ce qu'on appelle l'approche DSL

    Cette approche à été étudiée en profondeur pour les langages de programmation.

    On devrait plutôt appeler ça l'approche DSML (Domain Specific Modelisation
    Language) ;)
  • [^] # Re: illusions de la traduction

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 1.

    En pratique ce n'est pas souhaitable car cela donne des résultats ne tirant pas partie des idiomes de la plateforme cible, et donc très lourds (relecture difficile, etc.).

    Dans ce cas, le problème vient soit du traducteur qui était mal fait, soit du
    fait qu'en partant d'une implantation (Java par exemple) on ne dispose pas
    d'assez d'éléments "de haut niveau" sur le problème pour faire une
    transformation efficace. En effet, avec une implantation on peut trouver le
    comment mais pas le pourquoi.

    Lorsque tu lis du code, si tu es comme moi, tu cherches à trouver ce que fait
    le programme. Le code lui même ne suffit pas, il faut déjà savoir quel est le
    problème qui doit être résolu, dans quel contexte... bref tous les éléments qui
    était avant décrit comme de la documentation (nom des variables,
    commentaires,...)

    L'idée pour pouvoir faire des transformations de qualités c'est de prendre ces
    éléments en compte, et donc de partir du modèle et non du code.

    Pourquoi serait-ce différent avec les langages de modélisation ?

    Justement parce-qu'un modèle est sensé avoir une sémantique de plus haut niveau
    que du code.

    J'imagine que s'il y a plusieurs langages de modélisation

    En pratique, pas vraiment. Le langage UML est considéré comme le langage de
    modélisation standard (et MOF le langage de méta-modélisation) et a part
    Microsoft (qui à dit comme d'hab ? ;), les académiques et industriels le
    suivent. C'est la plus belle réussite de l'OMG je pense.

    Mais il est vrai qu'on ne peut pas tout modéliser en UML, comme des systèmes
    mathématiques ou physiques.
  • [^] # Re: Générateur de code OpenSource ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 2.

    ??

    Non justement, tu n'as pas très bien compris. Un modèle est quelque chose qui
    représente ta solution métier. Si tu veux uniquement changer le langage avec
    lequel il est décrit, des outils automatiques peuvent le faire pour toi.

    En effet, le modèle de ta solution doit être suffisamment précis pour ne pas
    être ambigu, d'où la possibilité d'automatiser sa traduction.

    Attention, je parle de traduction, on passe d'un langage de modélisation (ou
    de spécification) à un autre sans ajout (et normalement perte) d'information.

    Donc dans l'idée du MDE on ne modifie le modèle "du départ" UNIQUEMENT si le
    métier change.

    Le but est justement de capitaliser la CONNAISSANCE indépendamment de la
    technologie.
  • [^] # Re: Générateur de code OpenSource ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 3.

    Vu que le MDE est une voie de recherche et non un "produit"...
    Je dirais dans 10 ans. Mais si cette voie est aussi prometteuse
    qu'elle n'y parait, alors dans 10ans on compilera des modèles ;)
  • [^] # Re: Générateur de code OpenSource ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 2.

    C'est vrai que c'est une différence, mais ce n'est pas la différence
    fondamentale. Il suffit de lire les documents de l'OMG et les papiers
    fondateurs du MDE.
    Même si maintenant (forcement) l'OMG à fait évoluer ses idées (il ne faut
    pas oublié que des académiques font aussi parti de l'OMG).
    D'ailleurs il ne faut même plus parler de PIM (Platform Independent Model)
    et PSM (Platform Specific Model) alors qu'à l'origine c'était la "killing
    feature" du MDA ;)
  • [^] # Re: Générateur de code OpenSource ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Acceleo sort en version 1.0. Évalué à 3.

    Salut,

    Je connais plutôt bien l'approche MDA (voir mon site web) et je pense
    pouvoir apporter quelques précisions.

    Pour résumer, l'idée de MDA c'est de décrire (à l'aide d'un modèle) une
    solution à ton problème métier indépendamment des considération
    techniques propre à une plate-forme ou un langage particulier.

    Le bénéfice attendu est de pouvoir capitaliser la description de ta
    solution et ainsi pouvoir passer d'une plate-forme à l'autre au fil des
    évolutions.

    On sait très bien qu'en informatique les langages et les plates-formes
    changent très vite par des phénomènes de modes et des évolutions
    technologiques. Alors que la solution à une préoccupation métier
    (gestion de stock, de client, ou même le "métier" d'un wiki par exemple,...)
    n'évolue de très peu.

    L'apport des outils qui vont avec c'est de ne pas devoir se taper à la
    main la mise en oeuvre de nos solutions génériques sur la nouvelle
    plate-forme.

    On peut voir un peu ça comme de l'idée des langages de programmation de
    haut niveau : quand tu écris un programme en C tu peux obtenir de
    l'assembleur pour différent processeurs sans modifier ton code.

    Mais le MDA (Model Driven Architecture) c'est dépassé, la nouvelle
    évolution c'est le MDE (Model driven Engineering) qui généralise l'idée
    de capitaliser les modèles. Mais alors qu'a l'origine le MDA n'est
    qu'une approche descendante (du modèle métier vers l'implantation)
    l'approche MDE propose "toutes sortes" de manipulation sur les modèles
    à tous les niveaux (composition, traduction, vérification,\ldots).
  • [^] # Re: D'où sorte les fonds de l'INRIA ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft et l'INRIA vont créer un laboratoire commun à Orsay (91). Évalué à 3.

    Je ne sais pas si ça existe un chercheur appliqué, comme je le disais, un chercheur doit très souvent faire les deux types de recherches.

    Si un chercheur ne fait que de la recherche appliqué, dans ce cas peut-être qu'effectivement on peur dire qu'il fait un travail d'ingénieur.

    Par-contre, une thèse qui ne proposerai pas quelque-chose de nouveau mais qui se contenterait de faire un état de l'art ne peut pas être une bonne thèse...

    Cela peut être une mise en relation de solutions existantes, mais il faut que cela n'est jamais été fait auparavant et que cela ne soit pas trivial.

    Mais je persiste à dire que le travail d'un chercheur est de trouver de nouvelles solutions alors que le travail d'ingénieur c'est d'être capable d'identifier et de mettre en oeuvre, au vu d'un besoin, la solution existante la mieux adaptée.
  • [^] # Re: D'où sorte les fonds de l'INRIA ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft et l'INRIA vont créer un laboratoire commun à Orsay (91). Évalué à 4.

    Tu confond donc recherche fondamentale et philosophie(1)...
    Parce-que tout résultat de recherche fini par trouver son utilité et donc son application.

    La différence entre recherche fondamentale et recherche appliqué, c'est qu'on part d'un problème théorique alors qu'en recherche appliqué on part d'un besoin technique.

    La recherche appliqué donne donc rapidement des solutions directement applicables alors que les résultats de recherche fondamentale demande à être "transposées" pour
    être utilisables.
    Mais en contrepartie, ces mêmes résultats sont plus généraux (fondamentaux) que ceux obtenus par la recherche appliqué et peuvent donc être "transposées" pour résoudre toute une famille de problèmes.

    Les deux types de recherches sont indispensable, et je peux te dire que dans le domaine de l'informatique les chercheurs doivent faire les deux types de recherche.
    La recherche appliqué pour monter des partenariats avec des industriels et ainsi obtenir des financements, et de la recherche fondamentale car elle permet d'obtenir des "vrais" résultats générique et stables. En effet les résultats de recherche appliqué
    disparaissent souvent en même temps que le problème.

    Et inutile de mettre en opposition chercheurs et ingénieurs, ils n'ont pas le même boulot. La recherche, qu'elle soit fondamentale ou appliqué, doit répondre à un NOUVEAU problème alors que l'ingénierie doit résoudre un problème en utilisant
    la meilleur solution connue. C'est par exemple le travail d'un ingénieur de transposer un résultat de recherche fondamentale en une solution applicable...

    (1) puisque, si je ne me trompe pas, le "but" de la philosophie c'est de réfléchir à des choses pour lesquelles il n'y à pas de "vrai" réponses(2).
    (2) notez je n'ai pas dit que la philosophie était inutile !
  • [^] # Re: le journal sur le sujet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft et l'INRIA vont créer un laboratoire commun à Orsay (91). Évalué à 2.

    Je n'ai jamais vu de document écrit sur ce point...

    Par-contre c'est vrai qu'à "l'orale" il y à quand même des sous-entendu... du genre :

    "Si vous voulez diffuser vos programmes, nous somme là pour réfléchir avec vous à la meilleur licence à utiliser. La GPL n'est peut-être pas la plus intéressante, elle peut poser des problèmes par la suite, par exemple en cas de partenaria avec des industriels..."
  • [^] # Re: le journal sur le sujet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft et l'INRIA vont créer un laboratoire commun à Orsay (91). Évalué à 8.

    Et bien ce n'est pas si simple...

    L'INRIA n'est pas directement mon employeur. Je participe à un projet INRIA
    (le projet Jacquard http://www.lifl.fr/jacquard/)(...) mais je suis employé par l'université de
    Lille I.

    Tous les projets INRIA ne fonctionne pas comme ça, mais ici les équipes ont plusieurs
    "tutelles" : INRIA, CNRS et université. Ce projet est relativement jeune (3ème année)
    et il n'y a ici que peu de chercheur directement employé par l'INRIA. Par-contre,
    nous avons des moyens administratifs et financier de l'INRIA pour nos déplacements,
    pour du matériel...

    Que penses-tu de la position de ton propre employeur concernant les brevets logiciels ? Visiblement, l'INRIA ne se prive pas d'en déposer...
    Ce problème gêne-t-il les scientifiques de l'INRIA ?


    Je ne peux pas parler pour tout le monde, mais dans mon équipe, la plupart (moi y
    compris) sont contre les brevets logiciels. Et il n'y a pas (à ma connaissance) de
    brevet déposé par notre équipe.
    Mais vu les mails qui circules en interne, la section Inria du SNCS
    (Syndicat National des Chercheurs Scientifiques) est clairement contre les brevets
    logiciels et très préoccupé de ce qui sera dans l'accord avec microsoft.

    Pourquoi l'INRIA ne se mobilise-t-elle pas contre le projet de directive européenne ?

    Je pense que la direction de l'INRIA n'est pas contre la brevetabilité des logiciels :-(
    Par-contre, les syndicats ont déjà exprimés leur désaccord.
  • [^] # Re: le journal sur le sujet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft et l'INRIA vont créer un laboratoire commun à Orsay (91). Évalué à 10.

    Ce qui est écrit dans cette article est archi faux, le document qui à été signé entre l'INRIA et Microsoft n'est qu'un MOU (Memorandum of understanding). C'est à dire un document qui dit seulement que l'INRIA et Microsoft sont d'accord pour travailler à la création d'un labo commun.

    Mais ce document ne contient auncune informations sur le type ou la hauteur du finacement. Il ne contient pas non plus d'informations sur la diffusion des résultats obtenus.

    Je n'aime pas la politique de Microsoft, mais il ne faut pas non plus avancer n'importe quoi...

    Je fais partie d'un projet INRIA, et je peux vous dire qu'il y à beaucoup de réactions en interne (qui sont remontées à la direction) concernant nos inquiétudes sur la nature de cette collaboration (notament à cause de la position de Microsoft sur les brevets logiciels).

    Donc pour le moment, contrairement à ce qu'on peut lire dans les "médias", la seule chose qui a été signée, c'est que l'INRIA et Microsoft vont réfléchir ensemble à la création d'un labo commun...
  • [^] # Re: Petites critiques à l'égard de RMS

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 2.

    Lorsqu'un client commande un logiciel très spécifique sans nécessité de service (1 ou 2 jours de formation peut être), comment rembourser le développement ?

    En lui facturant le coup du développement+la marge ?
    C'est pas la même chose dans toutes les SSII, qu'elles livrent du proprio ou du libre ?
  • [^] # Re: Petites critiques à l'égard de RMS

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 2.

    La licence sous laquel les programmes sont distriburés aux clients est décidée avant le début du projet... C'est un argument de vente qu'on bon commercial devrait savoir mettre en avant !
  • [^] # Re: Petites critiques à l'égard de RMS

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 6.

    Bah RMS ne dit pas aux entreprises de ne concevoir que des logiciels libre, il dit aux utilisateurs de n'utiliser que des logiciels libres...

    Il y à quand même une grosse différence. Imagine que sont message passe, dans ce cas toutes les sociétés qui proposent des logiciels ne se poseraient plus la question, toutes leurs productions seraient libres (je rappel en passant que ça veux pas dire gratuite). Ce qui ferait alors la différence ne serait donc plus la licence qu'ils utilisent, mais réellement la qualité de leur production.

    De plus je trouve que l'utilisation d'une licence libre c'est justement une valeur ajouté par rapport à l'utilisation d'une licence propriétaire. Bien-sûr, il faut savoir le vendre, mais pour moi ça montre la confiance que l'entreprise à dans la qualité de sa production.
    "On vous donne les sources du logiciel que vous nous avez commandez, de toutes façons nous somme experts dessus et vu la qualité de notre travail vous reviendrez vers nous pour ses futurs évolutions..."
  • [^] # Re: A méditer

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 5.

    C'est un problème bien connu que tu soulèves là.

    Personne ne dit (enfin il me semble) que les logiciels libres sont magique et qu'ils se développent tout seul. Il faut, comme pour les logiciels propriétaires, des concepteurs/programmeurs qui vont le développer, le maintenir...

    Là où il y a une grosse différence entre les deux modes de éveloppement, c'est que dans le cas d'un logiciel propriétaire, une seul entité (une entreprise le plus souvent) décide de l'évolution et/ou de la mort du logiciel.
    Ses décisions sont pratiquement toujours, et c'est normal, motivées par le profit (retour sur investissement).

    Dans le cas d'un logiciel libre c'est différent, tous les programmeurs peuvent faire vivre le logiciel (à la hauteur de leurs compétences), décider de remplacer le leader s'il décide de partir, faire un "fork" en cas de divergences d'opinions sur ses évolutions...

    Comme tu le dis, un logiciel libre peut toujours mourir, mais cela signifie qu'il n'attire plus (pas ?) de contributeurs. Et le plus souvent (toujours ?) s'il n'attire plus de contributeurs c'est qu'il n'attire plus non-plus d'utilisateurs.
    Parce-qu'il est dépassé, mal-conçu... Mais certainement pas parce-qu'il n'est
    plus rentable.

    Dans tous les cas, même si un projet libre "meurt" il laisse des "traces" qui peuvent toujours être utilisées par la communauté et/ou une entreprise.

    Pour résumé la grosse différence entre les deux modèles, c'est la possibilité (liberté) de continuer à faire vivre un logiciel libre.
  • [^] # Re: Ada pas ADA

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Mars 2005. Évalué à 2.

    oui et "Ada s'écrit Ada et non ADA." s'écrit "Ada s'écrit Ada et non ADA." et non "Ada s'écrit Ada est non ADA."...

    Tout le monde me suis ?
    Et oui, j'ai la mauvaise habitude de ne me relire qu'une fois mon commentaire posté :-(
  • # Ada pas ADA

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Mars 2005. Évalué à 5.

    Ada s'écrit Ada est non ADA.

    En effet c'est un prénon et non des initials.
    C'est un détail, mais qui a son importance pour les "amoureux" du langage Ada dont je fais partie ;-)
  • [^] # Merci !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Appel du Nouvel Observateur contre la répression du peer-to-peer. Évalué à 1.

    Je ne connaissais pas ce site (ce label), il est génial !

    J'ai trouvé plusieurs morceaux de qualité, je bookmark imédiatdement
    et si je trouve des albums qui me plaisent je ferrais des petits clicks sur "buy". Mais j'ai pas encore vu les prix...

    Et enfin un site de de vente de musique en ligne ou je me fait pas jetter parceque j'ai pas IE ou qui oblige l'utilisation d'un lecteur proprio !

    Encore merci à toi ! J'aime bien linuxfr, j'y apprend pleins de trucs :)
  • [^] # Re: Oeuvres du domaine publique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GRAC 0.1a : vérificateur grammatical. Évalué à 10.

    Bah moi je trouve que si on attend qu'un logiciel libre qui peut intéresser beaucoup de monde soit fonctionnel avant d'en parler, on risque de l'attendre ancore plus longtemps...
  • [^] # Re: Copie privée

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ripper Like : mieux que peer to peer ?. Évalué à 1.

    Bah une radio privée c'est interdit donc ton pote risque d'être poursuivi.
    Ensuite, si tu savais que la diffusion êtait illégale, ça doit tomber sous le coup d'un truc comme "complicité".
    Enfin je suis pas juriste mais j'imagine...

    Tiens si un juriste est dans la salle, j'aimerais bien savoir si j'ai le droit de faire une copie d'un DVD que j'ai loué ?
  • # C'est quoi ce résumé ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche 11 raisons pour ne pas choisir la filière informatique. Évalué à 7.

    En lisant cette news, certains points m'on fait bondir, notamment :

    4. Inadéquation totales des formations au mieux une formation à 3 ans de retard (le temps de voir le besoin, de décider de faire une formation et de faire un support de cours) par rapport aux besoins réelles.


    On n'a l'impression (surtout par rapport au titre de la news) qu'on parle ici des formations universitaires ou écoles. Mais il n'est absolument pas question de ça dans l'article. M. Granarolo parle ici des formations inter entreprise, de même pour les points 5 et 6.
    Bref je trouve que le résumé porte à confusion, heureusement que j'ai lu l'article originale avant de réagir "violemment"...
  • [^] # Re: Breveter le nouveau code

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un consortium pourrait ré-écrire une partie du noyau pour éviter les risques liés aux brevets. Évalué à 2.

    C'est quoi cette Agence pour la Protection des Programmes ?


    Article 1 - OBJET
    [...]
    L'APP s'occupe de faciliter les actions amiables ou judiciaires tendant à la réparation des préjudices subis par le titulaire des droits du fait de contrefaçons ou d'imitations frauduleuses ou illicites, de pillages et de concurrence parasitaire.
    [...]


    C'est quoi une imitation de logiciel ? Ou une de la concurrence parasitaire ?
    Je sais pas pourquoi mais j'ai une impression plutôt négtive sur cette association...

    Mais peut-être qu'ils peuvent défendre les logiciels libres contre le pillage ?!
    Je vais donner leur adresse à Prelude ;-)
  • [^] # Re: Difficile

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un consortium pourrait ré-écrire une partie du noyau pour éviter les risques liés aux brevets. Évalué à 6.

    J'ai une idée ! Les développeurs du noyau n'ont qu'à ne le diffuser qu'en version binaire sans donner accès aux sources !
    Comme-ça personne ne pourra voir qu'ils utilisent des algorithmes brevetés.

    Je précise, avant de me faire luncher, que c'est de l'ironie.
    Mais ça montre à quel point les logiciels libres ont bien plus à craindre des brevets logiciel que les logiciels propriétaires...
  • [^] # Re: Prevoire de la place !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la Gentoo 2004.3. Évalué à 3.

    Heu, je rappel que Gentoo est un META-distribution, donc ce que je voulais dire en disant "Gentoo ne prend pas plus de place qu'une autre distribution, et même beaucoup moins."

    C'est qu'elle PEUT en prendre beaucoup moin...

    Ca dépend bien évidament de TA Gentoo de TES use flags de TA configureation...
    Tu peux installer une Gentoo sur clef USB !

    Par contre il faut (beaucoup) d'espace libre pour la phase d'intallation, je te l'accorde. Mais c'est de l'espace TEMPORAIRE que tu peux éventuellement empreinter à une autre machine...

    Mais le système installé PEUT prendre beaucoup moins de place qu'une autre distribution. Je l'ai expérimanté en créant ma média box en installant EXACTEMENT ce dont j'avais besoin.
    Pour info ma média box n'a qu'un dique de 2Go ! Et je peux encore mettre mes films de vacances dessu...

    Pour le mise à jour, j'utilise temporairement l'espace disque d'une autre machine (via nfs). J'utilise d'ailleurs aussi mes autres machines pour l'aider à compiler (via distcc) et oui le processeur n'est qu'un 550Mhz.

    D'ailleurs toutes mes machines utilisent le même arbre portage et le même répositori pour les sources.

    Donc pour conclure, une Gentoo se customise pratiquement à volonté et très facilement. Donc si tu veux une Gentoo qui ne prend pas de place tu peux le faire facilement.