Sondage Vivez vous du libre?

Posté par  (site web personnel) . Licence CC By‑SA.
11
3
nov.
2013

Une question qui clive souvent le monde de l'open source est celle du rapport à l'argent et des sacrifices (ou non) qu'il faut faire pour pouvoir vivre tout en gardant ton éthique intacte. Les échanges sont généralement politiques et philosophiques. Ici le but est plutôt de voir un état des lieux de la vraie vie, celle que l'on ne peux pas mettre de côté si facilement que ça. Laissons la théorie de côté, et passons du côté des pragmatiques.

La question est finalement assez simple: quel est l'apport de l'open source dans vos revenus ?

  • Je ne vis que de prestations autour de l'open source :
    197
    (8.5 %)
  • Je vis majoritairement de prestations sur de l'open source, mais je fais également du privatif :
    208
    (9.0 %)
  • Mes prestations sur de l'open source sont minoritaires :
    83
    (3.6 %)
  • L'open source est un moyen pour monter une communauté d'utilisateurs dont certains vont prendre une version payante :
    20
    (0.9 %)
  • J'utilise dans mon métier des outils open source, mais ce ne sont que des outils non liés directement à mon revenu :
    1110
    (47.8 %)
  • Je n'utilise dans mon métier que des outils privatifs et je me suis trompé de site en fait :
    123
    (5.3 %)
  • Je n'ai pas d'activités rémunérées :
    293
    (12.6 %)
  • Obi-Wan Kenobi :
    288
    (12.4 %)

Total : 2322 votes

La liste des options proposées est volontairement limitée : tout l’intérêt (ou son absence) de ce type de sondage réside dans le fait de forcer les participants à faire un choix. Les réponses multiples sont interdites pour les mêmes raisons. Il est donc inutile de se plaindre au sujet du faible nombre de réponses proposées ou de l’impossibilité de choisir plusieurs réponses. 76,78 % des personnes sondées estiment que ces sondages sont ineptes.
  • # «J'utilise dans mon métier que des outils privatifs et je me suis trompé de site en fait »

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 9.

    L'option «J'utilise dans mon métier que des outils privatifs et je me suis trompé de site en fait» me choque un peu.

    On est sur LinuxFR et pas GPLFR il me semble.

    Sinon je fais de la recherche en utilisant et produisant des outils open-source, mais ça pourrait être privatif que cela ne changerait pas grand chose :-)

  • # Grammar nazi

    Posté par  . Évalué à 2. Dernière modification le 03 novembre 2013 à 18:34.

    Je ne vis que de prestations autour de l'open source uniquement

    Je pense qu’on parle de l’Open Source en général donc je crois qu’on doit mettre des majuscules.

    Si j’ai bien compris ça veut dire «Je ne vis que de prestations qui ne concernent que l’Open Source et pas le non-libre», et dans ce cas c’est pas super clair (on pourrait croire à une redondance involontaire).

    Je propose:

    Je vis uniquement de prestations ne concernant que l’Open Source

    Écrit en Bépo selon l’orthographe de 1990

    • [^] # Re: Grammar nazi

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      « Je vis uniquement de prestations concernant l’Open Source. »

      Ça suffit, pas la peine d'alourdir avec la redondance « uniquement / ne … que ».

      • [^] # Re: Grammar nazi

        Posté par  . Évalué à 1.

        Oui mais ça peut concerner l’Open Source et autre chose, et je crois que c’est cette ambiguïté que la formulation de départ tentait d’éviter.

        Écrit en Bépo selon l’orthographe de 1990

  • # Des sacrifices : laissez moi rire !

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    Le coup de faire des sacrifices pour travailler dans le libre m'a toujours fait mourir de rire.

    Quand j'ai commencé dans l'informatique, je rêvais de bosser dans le libre. J'ai pris le boulot qu'on voulait bien me donner, à 500 km de chez moi, dans un environnement full proprio mais j'avais de l'unix pour faire joujou. Le libre c'est moi qui l'ai apporté.

    Ensuite j'ai fait de la SSII parce que je ne trouvais rien d'autre. J'étais content car régulièrement j'ai pu bosser sur des technos libres. Durant mes missions j'ai pu bosser pour une grosse multi national dont tout le monde dit du bien ici et sur des technos libres : 100% des dev fait sur les outils n'étaient pas reversés à la communauté.

    Je vais bientôt bosser pour une boite qui fait majoritairement du libre et maintenant oui j'ai fait une concession sur mon salaire.

    Donc il m'aura fallu 7 ans pour réussir à faire un sacrifice car maintenant je gagne correctement ma vie et mon CV me permet de pouvoir choisir mon travail.

    Bref allez dire à un jeune diplômer de faire des sacrifices quand il est au chômage dans un contexte économique pas évident. Il suffit de regarder les stats du chômage et d'arrêter de penser qu'on vie tous à Paris où il est plus simple d'avoir un boulot dans l'informatique. J'ai pu rencontrer des gens avec des BTS info qui bossaient dans des entrepôt pour payer leur loyer.

    Faire un sacrifice est une chance aujourd'hui.

    • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

      Posté par  . Évalué à 7.

      En fait j'arrive même pas à comprendre ce que tu veux dire.

      Si c'est dire que le volume des postes où tu fais du libre est ridiculement petit par rapport au marché global je pense que tout le monde est au courant.

      Bref allez dire à un jeune diplômer de faire des sacrifices quand il est au chômage dans un contexte économique pas évident

      Je pense que c'est ton interprétation et ta contextualisation. Les sacrifices ça peut être financier, ça peut être de se bouger à l'autre bout du monde, ça peut être bosser comme un chien sur son temps libre pour se faire sa place, ça peut être créer sa boîte etc.

      Il suffit de regarder les stats du chômage et d'arrêter de penser qu'on vie tous à Paris où il est plus simple d'avoir un boulot dans l'informatique

      Faut pas déconner non plus. L'informatique se porte très bien. Trouver du taf d'autant plus pour un junior est relativement facile, puisqu'ils correspondent exactement à ce que le marché français recherche: pas cher. Vu le niveau moyen ridicule de la profession, il suffit de se sortir un peu les doigt pour passer "n'importe où" sans problème. Ça veut pas dire que tu auras le poste de tes rêves loin de là, mais que du taff y'en a contrairement à d'autres secteurs vraiment dans la merde.

      Après il semble évidant que s'il n'y pas de marché local, et bien y'a pas de marché local. On peut tourner le truc dans tout les sens, la solution est uniquement de changer de métier où de localisation. Mais ça c'est valable pour tout le monde et tout les métiers non "de proximité".

      • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1. Dernière modification le 03 novembre 2013 à 21:51.

        À Sophia-Antipolis en sortie d'école d'ingénieur, ce n'est pas bien difficile de trouver du travail. Pour faire de la SSII, il n'y a qu'à répondre aux spams^W sollicitations des recruteurs. Et si on se débrouille bien, on a plusieurs propositions non SSII avant la fin des études.

        Alors peut-être qu'au fin fond de la Dordogne (ou même du Var juste à cotés) c'est plus difficile, mais on a pas à se plaindre dans l'informatique.

    • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

      Posté par  . Évalué à -4.

      arrêter de penser qu'on vie tous à Paris où il est plus simple d'avoir un boulot dans l'informatique

      Tu veux dire que là, tu postes ton commentaire depuis ailleurs que Paris ?
      Et t'as Internet là-bas ?
      En France ? (parce que la Californie ça compte pas, même si c'est pas Paris)
      T'as piraté un câble sous-marin ?
      Non en fait j'y crois pas. Si tu nous postes pas un twitpic pour prouver que c'est vrai je pense que ton commentaire est un fake.

      J'ai pris le boulot qu'on voulait bien me donner, à 500 km de chez moi

      Et sinon, pourquoi tu viens pas à Paris au fait, puisque c'est plus simple d'avoir un boulot ?
      Plutôt que de faire 500 km (elle est grande ta province, pour faire 500 bornes sans passer par Paris).

      • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

        Posté par  . Évalué à 8.

        Et sinon, pourquoi tu viens pas à Paris au fait, puisque c'est plus simple d'avoir un boulot ?

        Par ce que quitte à aller s’enterrer dans une grosse ville avec un temps bien pourri, autant aller là où il y a à la fois des postes intéressants et les salaires qui suivent ? Donc pas Paris ;)

        • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

          Posté par  . Évalué à 1.

          Moi je viens de trouver un poste sur Paris (dans une boite qui fait purement du libre) et le salaire me semble convenable (bien que en dessous de ce que je gagnais a Londres).
          Je suis pas sure de voir ou les salaires sont plus interessants qu'a Paris avec le un volume de poste similaire…

          • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

            Je suis pas sure de voir ou les salaires sont plus interessants qu'a Paris avec le un volume de poste similaire…

            Attention quand on compare, la vie parisienne est bien plus chère (en particulier le loyer) qu'ailleurs en France. En dehors de Paris, on peut avoir un salaire inférieur en « gagnant plus » au final.

      • [^] # Re: Des sacrifices : laissez moi rire !

        Posté par  . Évalué à 1.

        Euh… a peu pres tous les bled en dessous de bordeaux sont a plus de 500 km de Paris… a vue de pied.

  • # J'utilise dans mon métier des outils libres...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    … et surtout gratuit!

    Vu que mon pouvoir de décision budgétaire est de +/- 0€, travailler avec des outils pwivateurs payants est impossible!

    Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

  • # Libre ou presque

    Posté par  . Évalué à 6.

    Ma boîte (http://www.microlinux.fr) propose des solutions basées sur Linux et les logiciels libres. Dans le temps, j'ai eu fait du dépannage Windows - et occasionnellement Mac OS X - mais j'ai complètement arrêté, pour me concentrer sur Linux et le libre. J'ai coché le deuxième choix ("… mais je fais également du privatif"), parce qu'il m'arrive d'installer des stations de travail de calcul géophysique, et le logiciel SeisSpace est un closed source certifié pour RHEL-64bit uniquement. Autrement, tout ce que je fais (serveurs, postes de travail) est basé sur différentes déclinaisons personnalisées de Slackware.

  • # Exploitation du libre

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 10.

    Il manque un choix qui doit être majoritaire : j'exploite du logiciel libre sans contrepartie.

    C'est moche, mais jusqu'à présent, je n'ai jamais réussi à travailler pour une société qui prenait le logiciel libre au sérieux, autrement que pour un truc gratuit qui marche.

    • [^] # Re: Exploitation du libre

      Posté par  . Évalué à 7.

      C'est moche, mais jusqu'à présent, je n'ai jamais réussi à travailler pour une société qui prenait le logiciel libre au sérieux, autrement que pour un truc gratuit qui marche.

      En général ca commence comme ca, puis tu découvres que ca marche pas toujours alors tu patches. Et comme ca te gonfle de maintenir des trucs internes (ou que ca fait de la pub gratos) tu upstream le tout.

      Y'a de plus en plus de boîtes qui open source les briques de leur infra aussi. Ca coute pas grand chose et ca fait une bonne image.

      • [^] # Re: Exploitation du libre

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 0.

        Certes, mais j'ai toujours la trouille de me prendre un procès dans la gueule.

        • [^] # Re: Exploitation du libre

          Posté par  . Évalué à 4.

          Heu le "tu" c'est toi/ton équipe/ton projet/ta boîte selon le cas. Bien évidement la décision est validée.

          Et c'est justement ce que je disais. Ca passe de plus en plus dans les moeurs de remonter les patchs où d'open sourcer des briques qui n'ont pas de valeur business (ca te permet de construire ton produit mais y'a pas grand chose à en tirer pour ce que tu es prêt à investir). Bref c'est de plus en plus facile d'obtenir l'accord pour le faire.

          Après certaines boîtes préfèrent centraliser les contributions pour se faire une belle vitrine, d'autres aux contraires demandent de ne jamais montrer leur nom.

    • [^] # Re: Exploitation du libre

      Posté par  . Évalué à 2.

      Rien que par l'effet de réseau, chaque utilisateur donne du poids à l'écosystème et contribue indirectement au développement du logiciel libre.

  • # Vivre du libre

    Posté par  . Évalué à 8.

    Bonjour,

    En Polynésie Française, il existe une association d'utilisateurs de logiciels libres en général et de GNU/Linux et autres Unix-like en particulier.

    Association : LOgiciels LIbres à TAhiti dont l'acronyme est bizarrement lolita, voir le site http://www.lolita.pf/ et non ce n'est pas une blague.

    Parmi ses adhérents, certains n'ont quasiment que des prestations autour du libre, mais tous ne peuvent pas.

    Le problème que nous avons ici, c'est peut-être trop de fric facile. (Si certains lisait ce message, ils auraient les cheveux dressés sur la tête.)
    On reçoit de l'argent de la France (merci aux contribuables de métropole) et les administrations n'ont pas forcément le comportement qu'il faudrait pour l'économiser.

    Donc les administrations claquent du fric dans des licences de logiciels privateurs et dans des solutions qui privent les utilisateurs de la liberté de changer de ou choisir plus tard.

    Pour ma part, je suis dans une petite société de service dans laquelle le patron n'est pas un farouche partisan du libre, c'est le moins qu'on puisse dire.
    En fait sur 4 personnes, je suis le seul à avoir au moins les bases (Je suis certifié LPIC-1) et même un petit peu plus.
    Quand je quitterai la boite, ils seront bien embêtés par les serveurs GNU/Linux que je leur laisserai… C'est bien dommage.

    Donc, malheureusement, j'ai répondu "Mes prestations sur de l'open source sont minoritaires :"

    Désolé, mea culpa.

    Bien cordialement.
    Jo

  • # Je produis du logiciel libre en tant que produit dérivé de mon activité professionnelle?

    Posté par  . Évalué à 4.

    Dans le monde de la recherche (non-informatique, et pas dans les instituts paranos sur la propriété intellectuelle—CEA, INRA), il est tout à fait possible de produire du code libre diffusé en tant qu'élément essentiel à la reproctucibilité des résultats scientifiques. Ça n'a l'air de rentrer dans aucune catégorie du sondage, mais je pense que c'est une "niche" importante : il y a plein de gens dont l'activité n'est pas de fournir du logiciel, mais de fournir des résultats (analyses, rapports, n'importe quoi en fait). Dans le cadre d'une telle activité, il est tout à fait possible de développer ou de contribuer à des logiciels libres, puisque l'activité de développement elle même n'est pas monétisable (il n'y a pas de business model sur le développement en tant que tel).

    • [^] # Re: Je produis du logiciel libre en tant que produit dérivé de mon activité professionnelle?

      Posté par  . Évalué à 2.

      il y a plein de gens dont l'activité n'est pas de fournir du logiciel, mais de fournir des résultats (analyses, rapports, n'importe quoi en fait). Dans le cadre d'une telle activité, il est tout à fait possible de développer ou de contribuer à des logiciels libres, puisque l'activité de développement elle même n'est pas monétisable (il n'y a pas de business model sur le développement en tant que tel).

      C'est exactement mon cas, je ne vend pas aux chercheurs avec qui je bosse des logiciels mais plutôt des analyses de données, déjà 'mâchées' (je suis preneur pour une traduction de data crunching). Surtout que finalement, quand je leur passe un notebook IPython, c'est plus un rapport dynamique et exécutable qu'un programme…

      Enfin je suis bien heureux de vivre dans l'écosystème libre…

  • # Il manque une option.

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Je participe à un/des projet(s) open source car ceux ci sont utilisé au sein de mon entreprise, et cela permet de ne pas à avoir à backporter mes modifications à chaque nouvelle version. Cela permet aussi d'avoir une plus grande base d'utilisateurs, et donc une meilleure remontée des bugs.

  • # conformité sociétale

    Posté par  . Évalué à -2.

    Ce sondage est remarquablement pertinent, puisqu'on atteint un taux d'activité non-rémunéré proche des statistiques officielles du taux de chômage (toutes catégories confondues)!
    Bravo pour la rigueur sociologique!!

    • [^] # Re: conformité sociétale

      Posté par  . Évalué à 1.

      Sinon t’a pensé aux étudiants qui fréquentent le site (genre moi)? Et les retraités? Sans compter le fait que les chiffres de Pôle Emploi, c’est pas tous les chômeurs mais tout ceux qui s’y sont inscrits (à Pôle Emploi).

      Écrit en Bépo selon l’orthographe de 1990

      • [^] # Re: conformité sociétale

        Posté par  . Évalué à -1.

        Je t'ai oublié, pardon! Comment ai-je pu faire une chose pareille?
        (mais la prochaine fois je mettrai un avertissement à ton intention pour te signaler une blague, promis.)

        • [^] # Re: conformité sociétale

          Posté par  . Évalué à 1. Dernière modification le 08 novembre 2013 à 16:19.

          Remarque, il y a eu un sondage sur l'âge, et nous sommes plutôt une minorité, donc ta blague reste correcte.

          Mais ça avait l'air plutôt sérieux même si sur un ton de blague (eh oui, l'avènement du !!!!!!!!! — et pas seulement sur Internet — a rendu si faible l'emploi du !…).

          Écrit en Bépo selon l’orthographe de 1990

  • # Obi-Wan Kenobi

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Vivez vous du libre? Non, pour/avec le libre peut-être …

    N'étant pas comme beaucoup ici(te) un professionnel de l'informatique, l'open source n'est pas mon métier, mais j'utilise depuis longtemps quasiment uniquement des logiciels libres / open source au quotidien ainsi que pour travailler sur un projet qui démarra comme un hobby, qui ne me rapporte pas grand chose si ce n'est la satisfaction de le développer et qui contribue à la diffusion d'une musique qui me passionne.

    wind0w$ suxX, GNU/Linux roxX!

    • [^] # Re: Obi-Wan Kenobi

      Posté par  . Évalué à 6.

      un projet qui démarra comme un hobby

      il y en a un qui a essayé, il a eu des problèmes du succès.

      • [^] # Re: Obi-Wan Kenobi

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        ahah! Tu dois parler du hobby de celui qui laisse le monde entier se charger de faire ses sauvegardes j'imagine … il me manque malheureusement encore quelques millions de lignes de code, aussi j'ai peu d'espoir que mon projet devienne un jour aussi grandiose que le sien. ; )

        wind0w$ suxX, GNU/Linux roxX!

        • [^] # Re: Obi-Wan Kenobi

          Posté par  . Évalué à 2.

          Concernant les sauvegardes, la méthode de Linus est stupide. T'as qu'à juste envoyer tes trucs importants par mail dans des headers, et zou, la NSA fait les sauvegardes pour toi.

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