Ce journal constitue un début de réflexion sur la récolte de l’ensemble des données qu’ont peut recueillir sur nous même, et sur la manière de les mettre à disposition à des « demandeur de données ». Je pense en particulier à la recherche scientifique.
Aujourd’hui, ce sont de très gros organismes comme l’état ou les GAFAM qui ont les moyens de récolter des masses de données, et on a très peu de contrôle sur ce qu’ils en font. Ils se constituent en (…)