Frédérick Diot a écrit 303 commentaires

  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Mais un film peut être sous CC et les sous titre régie par le droit d'auteur.

    De deux choses, je vais restreindre donc ma problématique à un film français.

    Ensuite je rappelle que ma principale question se base sur le "droit de modification" et pas sur celui de copie ou diffusion au sens artistique.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 3.

    Merci pour tes exemples, mon exemple était faux, je me suis deja "excusé", on va pas revenir dessus à chaque fois.

    Forcé de constater que les vidéos et autres médias que tu présentent sont en licence libre dans une optique de tremplin, ou d'amateurisme experimental, ce n'est pas du tout un mal en soi, c'est juste qu'il n'y a pas de production filmique dont la qualitée, le but, est la diffusion extra-internet.

    Ensuite, quand je cherche une musique pour une B.O. , que j'en trouve une mais impossible de trouver l'auteur, et bien je ne l'utilise pas, c'est du respect. J'utilise pas de musique libre, sauf si je peux entrer en contact avec les auteurs (ou en cas d'extrême urgence), c'est beaucoup plus enrichissant. Ce contact pour moi est vital, que la musique soit libre ou pas. Mais ça se discute.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 3.

    Je sais quand même sur quoi je lance mon sujet!

    Les sous-titres sont protégé par le droit d'auteur pour les traducteurs, ils appartiennent ensuite à l'exploitant. Le format c'est une question informatique, interdiction de passer outre les protections dvd pour changer le format média.

    Mon sujet, c'est que je cherche à expliquer pourquoi je trouve qu'une oeuvre libre (picture et sonnore sont de la partie également, mais ma spécialité c'est l'audiovisuel) est un non sens dans sa partie de droit de modification. Donc quelque soit le format, et pour les sous-titres, c'est une outils de compréhension qui s'y superpose.

    Artistique, je voulais tenter d'expliquer pourquoi modifer la production était inconcevable pour beaucoup d'auteur de fiction. Surtout que lorsqu'on fait un montage, on a beaucoup beaucoup de mal a revenir dessus, c'est presque une obligation que se posent les monteurs avec qui j'ai pu travailler.

    Donc non, mon sujet ne veux pas traiter les legislations qui restreigne l'utilisation d'une oeuvre dans son format, ou les restriction dans son emploi avec les sous-titres.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Oui, MAIS, ce n'est pas mon sujet.

    Je parle de l'œuvre uniquement, les sous-titres et le format sont a part de la valeur arstitique.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Sauf que moi je parle de contenu pas de média, je parle de l'oeuvre pas le support, ni les accessoires (sous-titre).
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    J'ai jamais dit qu'un film était un logiciel (bien qu'un logiciel puisse être un film), mais ce sont tout les deux des œuvres.

    un logiciel un film ?
    un logiciel une oeuvre ?

    bon. je vais m'arreter là.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Oui tu penses bien que je l'ai vu...

    ça ne change rien a ma reflexion.. artistiquement ça n'a pas de sens - et je parle pour la fiction - le doc, ça peut être utile pour les reportages etc..

    Et puis c'est quand même un type bien précis de genre de vidéo..

    bref je tourne en rond, tu n'essaye pas vraiment de comprendre le but initial de ce que je raconte. Pour un réal, un prod, ou un scenariste, ça n'a pas de sens de refaire un film à partir d'un autre (et un remake ou un pastiche, c'est un autre film... ) et ça meme si ce sont des amateurs.

    Le ciné l'envie de crée un message avec sa touche personnel
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Oui mais dans le monde du libre, les acteurs n'ont pas tous des rôles aussi clairement défini et chacun peut prendre n'importe quel rôle, pour peu qu'il en à la carrure.

    ben oui, moi je te parle de cinema. Dans le cinema, meme le plus amateur qu'il soit, et j'en suis, il y au moins toujours un real et des techniciens, il faut ensuite être assez intelligent pour les retrouver, et eux laisser assez d'info pour les retrouver. c'est tout.

    En fait je pense que ton esprit est trop formaté dans le mode de fonctionnement des grosses productions cinématographiques actuelle pour ne pas trouver tout autre forme de production comme absurde.

    Je peux te renvoyer que tu n'as jamais fait de cinema, et que tu parles juste d'idéaux en l'air juste pour le plaisir de spéculé sur les possibilité du libre. J'ai déjà essayé plusieurs fois de faire un film "libre" , collaboratif, j'ai très vite vu les limites, et les problèmes qui font que ce n'est pas possible, ou alors dans cas très rare ou tout le monde trouve sa place vite et bien, et finalement ça devient une équipe de production comme une autre... rassemblé par l'étiquette "libre"..


    Bon c'est là mon analyse qui vaut ce qu'elle vaut, mais elle expliquerais le fait que pour certaines personnes l'art libre sonne comme un non-sens alors qu'elle existe déjà dans plusieurs domaine et qu'elle commence à s'aventurer dans d'autres.


    Des noms, des titres, des liens..
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Il re-utilise les principes unix, mais ce n'est pas un unix.
    Il s'en inspire, il reprend des principes,

    ça ne change rien au fait qu'un logiciels n'est pas un film. tu peux faire des analogies, des parallèles, mais ça ne fonctionne pas de la même façon..
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à -1.

    Pffou tes interventions sont de plus en plus...sans interet.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Tu veux dire celui qui possède des privilèges sur l'œuvre, parceque les films sont possédés par autant de personne qui l'ont vu.

    Alors là, j'ai rien compris.

    Mais bon tu esquives quand même le gros du problème. Contacter un «ayant-droit» est déjà souvent galère, en contacter des centaines, voir des milliers, c'est carrément titanesque.

    Depuis quand c'est un problème ? il suffit de contacter le producteur, le diffuseur, les acteurs, n'importe quel membre du staff ou de la prod qui peut reaiguiller...

    Bien sur si tu reste devant ton pc a chercher une adresse mail... encore que tu as toujours imdb..
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Je crois qu'on a pas attendu les licences libre pour faire des remake...

    enfin bref.. je pense que le débat est pipé d'avance, je pense que je connais plus le monde de l'informatique libre que toi tu ne connais l'économie et le droit en cinema.. ce n'est pas une basse remarque, c'est que vu les remarques que tu lance, c'est vraiment ne pas connaitre tout ce qu'on peut faire sans licence libre.. la preuve c'est qu'aucun film n'est en licence libre.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 1.

    Oui mais visiblement pas des acteurs.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Je réponse a ta deuxième interrogation, puisque je n'ai pas compris ou tu voulais en venir (1ère) et ce que tu as dit (3ème). Il y a toujours un legataire pour l'auteur de l'oeuvre (les acteurs et tout les techniciens n'ont pas le droit patrimoinal de l'oeuvre...) : donc on en reviens a celui qui possède l'oeuvre.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Comme toujours, tu donnes des arguments provenant des pro-logiciels propriétaires... Parce quand tu fais un logiciel, ben faut bien manger aussi... Le programmeur a un ventre, autant qu'un scénariste.

    Parce que linus torvald, et les concepteur logiciel dans le libre ne sont jamais payé ?

    Les avances sur scénario sont assez rare, alors qu'un développeur une fois engagé, libre ou pas libre est payé au mois. Donc oui, il y a une différence. d'autant plus qu'un dev est payé pour faire un travail palapable, qu'on vérifie vite, un scenariste doit vendre son scenario.

    Et non j'ai pas peur d'utiliser des arguments que TOI tu assimiles a un attaque de logiciel proprio (parce que moi je n''ai toujours pas compris en quoi c'était pareil...)
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 1.

    Faudrais voir ce que tu appels informatique déjà. Parceque l'informatique c'est un terme générique pour les sciences de l'information, ce qui comprends l'infographie par exemple.

    L'infographie reste une technique informatique, qui peut devenir un art. L'informatique et les logiciels sont l'outils de cet art, et l'oeuvre qui en sort est picturale. Tu joues sur les mots.

    Si tu avais été plus malin tu aurais cité les arts multimedia - interactif mais là l'informatique reste l'outils et l'art : l'assemblage de video/son/et interaction - mais là comme il n'y a plus de passivité, c'est plus une performance qu'on peut executer à souhait.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    J'ai déjà recopié le scénario du film sur le wiki de culture libre où tout à chacun peu le modifier, et j'ai bien entendu informé ralamax. Donc bon, jusque là c'est libre.

    Oui, bien, je passe sur l'idée qu'un scenario qui se vend c'est a peu près un an de travail (ou il faut manger oui), et on reste sur le coté amateur/semi pro - c'est facile pour un scenario, mais les rush ? les times-codes ? les comptes scripts (qui se font a la main quand même hein..) ? j'en passe est des meilleurs.

    Si c'est les rush qui sont fournies, la question ne se pause pas, tu les montes avec ce que tu veux du moment que c'est intéropérable.

    Et si justement ça ne l'est pas ? et puis il n'y pas que les rush dans le montage, ça reste que la matière.


    Tu peux utiliser une musique pour rendre une scène plus stressante. Et cette même chanson tu peux l'utiliser dans une publicité pour des armes nucléaires destinés au ménagères de moins 50 ans, comme tu peux utiliser un logiciel dans une arme nucléaire. Bon c'est des exemples un peu tiré par les cheuveux


    Oui, ç'est d'autant plus tiré par les cheveux, que ça n'apporte rien.

    Heu, genre un remake ?

    Excellent exemple, qui n'a jamais nécessité un film libre de modification à la base..
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Il faut juste avoir des acteurs qui ne sont pas omnibulés par le détournement de leur image et dans ce cas ils feraient mieux de pas faire acteur.

    C'est leurs outils de travail. Ce ne sont pas des variable qu'on déclare dans un programme, ce sont des être humain. Et ça tant que tu n'en fréquente pas, tu ne comprendras pas.

    La lourdeur des rushes, c'est un problème aujourd'hui comme partager des fichiers musicaux c'était un peu lourd fut un temps.

    Je te l'accorde. Cela dit, pour la reédition, il vaut mieux avoir les bande d'origine, et donc tu es obligé de passer par le propriétaire de toute façon.

    Pour ce qui est d'alterer le film je ne vois pas le problème, quelqu'un t'avais même donnée un exemple avec star wars dont les rééditions avait modifiées certaines scènes.

    C'est la même boite qui a fait les modification, c'est limite du marketing en plus dans ce cas, et ce sont des modif mineure qui apporte peu, même qui détruisent le charme (le coup des flingue dans E.T. par exemple pour plaire plus au assos des familles américaine). Ce n'est pas comparable.

    Il faudrais que tu me donne un exemple d'un type qui est frutré qu'un film ne soit pas libre de modif, ça nous ferait peut être avancer...

    Rien ne t'empêche de faire signer la licence art libre à tous les acteurs, cela dit.

    Comme dit précédement, le droit moral sera toujours superieur de toute façon. Lis le CPI.

    Et pour l'exemple de la classe américaine est effectivement une ré-utilisation - tiens, il ont payé les archives (ça qui a revenu a un film plus cher qu'un téléfilm habituel) et ils ont réussi sans même que les films originaux eu été libre... formidable non ?
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Argument identique utilisé il y a quelques années pour faire un OS : "Financièrement, faire un OS coute cher en argent"... Et maintenant?

    Mais quel rapport avec un film ? aucun.. surtout que GNu/linux n'était pas la copie d'être un autre OS. Un film ça coute trop cher pour juste refaire un film sans y modifier autre chose qu'un pan de scenario comme tu le laissé dire.


    Donc contre le libre : Avec Microsoft, si tu vient leur demander, qu'il y a un projet précis, et qu'ils voient qu'il y a du fric à se faire, il y a peu de chances qu'ils refusent...


    C'est la même chose pour un logiciel libre.. si un projet interresse la fondation mozilla, ou un contribution c'est pour amémliorer leurs logiciel... il y a une génération d'argent derrière qui d'ailleurs "choqué" les prudes de l'économie.. quoi ? mozilla a besoin d'argent ? mais pourquoi faire ?

    Le libre, c'est l'épreuve de l'île : si tu meurt, comme tu ne m'as pas autorisé à faire quoique ce soit, comment je fais pour te demander l'autorisation?

    Il y a toujours des endroits, et quand tu es "artistes", tu prévois ce genre de cas - tes proches sont au courant de ta philosophie, meme si tu l'as pas écris. En tout cas pour la diffusion copie.

    Le libre, c'est l'autorisation "générique", pas à la tête du client. La tu milites pour une licence proprio, et l'étude au cas par cas avec exactement le même argument.

    Dans la propriété intellectuelle notamenent artistique, tu as le droit moral, et ça, licence ou pas licence libre, utiliser mes images ou les diffuser dans un cadre qui est contraire mon éthique sera punissable si elle entraine un problème de sens. Et quand tu fais des fait a partir de mes images, rien que le fait de m'en parler me vient naturellement d'être ouvert plutot que se planquer derrière son anonymat et rien demandr.

    il en va de même pour les logiciels libre, on en parle toujours au contributeur, rien que pour integrer sa participation.

    c'est assez de voir ceux qui descendent ces arguments dans le logiciel se mettre à utiliser les mêmes tactiques quand c'est ailleurs...

    Comme c'est assez " .. " de voir que les hystérique de la GPL sont incapable de comprendre qu'il ne connaissent pas assez un domaine pour comprendre que y extrapoler froidement une philosophie serai un non sens.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 1.

    Chacun sa vision de l'art. Pour moi une suite de zéro et de 1 est de l'art, et une sculpture est un bout de caillou qui ne mérite pas qu'on s'y attarde.

    Non mais là c'est un troll, c'est pas possible de poster un truc pareil.
  • [^] # Re: Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Belle excuse. Si c'est impossible technique, ben laisse le truc final libre, on verra bien si d'autres ont le même avis que toi... Ou si ils arrivent à en faire quelque chose!

    Pour cet argument c'est sur l'inutilité de la démarche, et surtout le fait que par exemple je trouve vraiment l'idée de varsovie express tape-l-oeil et a but promo pour les auteurs initiaux. C'est tout.

    Sachant que l'impossibilité technique, c'est aussi du coté auteur originial. Imaginons qu'il soit impossible de transmettre les rush ou autre chose ? on va l'accuser de faire semblant d'être libre ?

    bientot tu vas me dire que si je monte sous un logiciel proprio, le film n'est pas libre ? puisque finalement tout le monde n'a pas la possibilité d'utilisé un projet sous première pour cause de licence...


    Argument qu'on peut reprendre pour un soft alors : qui a envie que son soft soit utilisé pour faire une bombe nucléaire? N'empèche, mettre une clause "éthique" fait qu'une licence n'est plus libre. Soft ou art.


    Non mais on frole le point godwin là. Ca n'a strictement rien a voir, on parle de concept artistique, de point de vue artistique, pas de fonctionnalisme logiciel. C'est incomparrable, et je suis quasiment sur que tu comprend pourquoi. Et pour moi, navré un logiciel n'est pas une oeuvre en terme general - c'est outils qui sert a faire une oeuvre.

    Argument utilisé par les tenants du logiciel proprio.

    Encore une fois, c'est un glissement qui n'a rien a voir. Financièrement, faire un film coute cher en argent, en temps, en investissement personnel, donc l'idée de refaire un autre film avec quelques modifs de scenario n'a aucun sens a part copier pour le plaisir de copier... hommage ? performance ? Rajoute à ça que tu fais un film pour exprimer quelque chose, tu le fais pour des spectateur... prend ça plutot comme un argument pour les logiciels libre si tu veux absolument faire le lien il vaux mieux participer à un logiciel libre que de refaire entièrement un logiciel proprio.


    Si ça n'intéresse personne, ben tu peux faire du libre alors, personne n'utilisera cette liberté peut-être, mais dire "j'interdit un truc parce que personne ne l'utilisera", ça fait franchement rigoler.


    Sauf que là, c'est toi qui a conclu ça. C'est pas parce que j'ai dit que je trouvais cette licence inutile et un non sens que j'interdirai de gens qui ont envie d'utiliser mes images pour autre chose de le faire. Si quelqu'un vient me le demander, qu'il a un projet précis et que je vois effectivement qu'il y a quelque chose derrière, il y a peu de chance que je refuse... tu extrapoles.


    Donc pour résumer tu cautionnes le logiciels proprio, car tu utilises exactement les mêmes recette que les anti-logiciels libres (prix, pas de besoin etc...)

    Tu extrapoles encore pour ton compte... et a la rigueur si je veux jouer un peu à celui qui accuse l'autre un peu facilement, je pense que j'ai assisté a assez de production de film ( du genre production Fr3 pour diffusion nationnal et ce en assistant producteur et assistant mise en scène - des documentaires pour encore des chaines nationnal) tout en étant un fervent défenseur et amateur des logiciels libre - voir meme de la cutlure libre (regardes mes sites, profit, ma contribution pour la bibliothèque quebecquoise des sciences sociales etc.. ) pour pouvoir t'affirmer que le principe n'est pas applicable au niveau du cinéma, et pire que ç'est un mauvais point pour le libre puisque les gens qui l'utilise à outrance font passé ça comme le premier argument de leurs productions.
  • [^] # Re: Question oubliée

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 3.



    Maintenant il n'y a pas que la possibilité de refaire la postproduction. N'importe qui peut refaire une reprise totale du film, avec d'autres acteurs, d'autres perspectives, d'autres moyens.

    Rien ne m'empêche de reprendre largement le scénario en l'adaptant un peu et de faire une œuvre qui s'intitulerais "Ligne direct vers Souffelweyersheim" et de filmer le tout avec une petite caméra-dv. :)


    Oui mais l'interet pour quelqu'un qui aime crée des court métrage est quasi-nul. Dans ce cas, il suffit de reprendre le concept du scenario, ça s'appelle s'inspirer, et pour ça pas besoin de se formaliser dans une licence, qui est tape à l'oeil - et ç'est là ou je veux en venir : ça devient plus un objet promotionnelle qu'une philosophie.
  • # Rassemblement des arguments anti-libre et exemple de RALAMAX Prod

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 4.

    Je tenais à signaler que dans plusieurs films de Ralamax (qui ont mis en projet un film "totalement" libre comme une licence de gpl :http://www.varsovie-express.com/ ), le droit de modification est banni pour des considérations que j'avais même pas évoquées (artistique, technique etc..)

    Les longs métrages libres déjà existants sont tous des films d’animation ou d’images de synthèse. Nous soutenons pour ces films la démarche consistant à autoriser la modification de l’oeuvre. Certains même, redistribue aussi sous licence libre les modèles 3D du film pour permettre une ré-utilisation. Malheureusement, cela n’est pas possible dans le cas du Bal des Innocents car ce film fait intervenir un paramètre supplémentaire aux films d’animations libres : celui du droit moral des acteurs sur leur image.
    Tous nos acteurs nous ont cédés leur droit à l’image pour faire ce film, mais tous n’acceptent pas que leurs images soient ré-utilisées pour d’autres créations sur lesquelles ils n’ont aucun contrôle. Il s’agit tout même de leur visage, de leur corps, de leur personne.


    C'est évident. Mes acteurs me laisse le droit d'exploiter leurs images parce qu'ils ont confiance en moi et que je n'en ferai rien de mal (et au pire, ils ont mon numéro).

    ce qui fait donc un autre argument qui fait qu'un film ne peut pas être libre de modification. J'en profite pour rassembler :

    - impossibilité technique : lourdeur du partage rushes, impossibilité de refaire de scène a intégrer sans alterer le film

    - impossibilité ethique : détruit l'envie initiale, l'expression initiale (rien que le montage, bcp n'aime pas le montage contemplatif et préfère le montage expressif), ferait un film qui s'approche d'une volonté d'un autre, une sorte de cinéma a la demande ?

    - impossibilité financière & legislative : un vrai film es cher, le droit à l'image, il faudrais faire un contrat signé pour chaque, or reste le droit moral qui est inalienable et qui peut faire toujours l'objet d'un litige qui peut couter très cher dans le cas d'une reutilisation non appropriée.

    - volonté artistique caduque : je connais personne qui aimerait faire un film a partir d'image déjà tournée, ou deja post-réalisé, quand on fait un film, on veut faire du neuf (sauf dans le cas de la performance et la manipulation numérique).

    Dans le cas de la performance, on peut toujours demander aux artistes sources, au propriétaires des images (parce que c'est un travail de savoir faire des bonnes images) la possibilité de pouvoir utiliser les images. Ca peut se conclure très rapidement si l'entente passe bien.

    Sachant que le droit de citation peut être employé, la jurisprudence est assez précise sur les possibilité que ça donne pour incorporer une scène dans un travail artistique différent.

    Concernant l'envie de refaire un film en changeant le montage, c'est aussi un travail social, demander à l'auteur du film, pour qu'il demande à l'équipe de production, c'est souvent très possible. Mais remonter un film, le changer reste encore une fois à mon sens une performance (refaire du neuf à partir d'un autre) artistique, et ne rentre pas pour moi dans un cadre d'une volonté réel d'un film (puisqu'il s'agit de présenter la performance du changement) , et je suis assez friand de ce genre de travail.

    Même pour moi, les C.C.'s n'ont un sens que dans la bulle internet. SI quelqu'un a envie de diffuser mon film dans une salle pour une raison ou un autre, il m'écris, et il y a peu de chance que je refuse. Pas besoin de faire une froide licence, mes rush, et pusieurs dépot me permette facilement de justifier ma parternité (en plus des acteurs, des gens qui ont donné l'autorisation). Je précise qu'il est copiable, diffusable, mais rien ne changera un vrai contact, et c'est d'autant plus vrai dans le monde du cinema.
  • [^] # Re: Question oubliée

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Oui, j'aurai du précisé "terminé".

    Je ne crois pas a ce projet, et si il aboutissent, je pense que le coté libre sera un leur. Il auront finalement constitué une équipe, comme une équipe de production normal, sauf que les gens seront moins responsabilisé par une sorte de statut flottant de simple contributeurs.

    Ca, c'est pour la production. Pour la post-production, j'ai du mal a imaginer comment ils vont mettre les rush's en libre téléchargement. Sachant que pour un récent court métrage que j'ai réalisé, il aurait fallu 3/4 DVD, et qu'il ne durait que 5 min.
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Tu devrais plutôt voir ça avec ralamax qui sont sans doutes les plus expérimentés dans le sujet de la production cinématographique libre, ils sont notamment entrain de produire Varsovie Express sous licence art libre.

    C'est a partir de ce site que j'ai commencé mon article. J'ai posté une explication de ma pensée sur framasoft.
    http://www.framasoft.net/article4694.html#comments68570